Un film français comme il y en a trop : on cherche le sensationnel, en atteint que le banal et la médiocrité. Hollywood s'en serait certainement mieux sorti pour faire ce genre de film. Une réuissite tout de même : les scènes d'action.
Cet "Arsène Lupin" m'a fait très peur au début, à cause de successions de plans frénétiques assez déplaisantes, heureusement ça se calme par la suite (ou je m'y suis peut-être habitué). Le scénario est quant à lui minimaliste et prévisible. Rien de bien intéressant de ce film, qui se laisse cependant regarder.
C'est honteux! De quel droit ce nullard de Romain Duris s'est-il glissé dans la peau du gentleman-cambrioleur ??? Son seul point commun avec le grand Arsène, c'est peut-être effectivement un certain culot, le culot d'avoir osé jouer le rôle de Lupin, un rôle qui méritait beaucoup beaucoup beaucoup mieux que ce piètre comédien, maniéré et crispant. Maurice Leblanc doit se retourner dans sa tombe!
Un film français qui bouge bien basé sur la légende du robin des bois français ma scène préferé c est l 'entrainement de boxe français ou savate avec son père.
Un vrai gros navet à la française ... ou comment avec des acteurs ridicules on transforme un personnage mythique en personnage grotesque (Arsène donc ... pour les plus démunis d'entre nous coté neurones)
Kristin Scott Thomas est remarquable comme toujours d'ailleurs ... pour le reste de la distribution ... hum ... c'est "plus belle la vie joue à arsène lupin" ...
Mais la france a un avantage sur le reste du monde ... le cinéma vit de subvention de l'état. Du coup inutile de faire bons films ... c'est un peu un cinéma ... allez laissons tomber ...
Mais ça met en colère quand même quand on sait les acteurs, actrices, réalisateurs, .... qui galère en faisant des courts métrages ... de voir des "merdes" qui ont des millions d'euros de subventions ...
Le charme de Green et de Christin Scott Thomas et quelques bonnes idées de mise en scène ne parviennent pas à nous faire oublier que le film a été monté à la tronçonneuse. L'agaçant Romain Duris surjoue constamment, s'habille et se déshabille, se coiffe et se décoiffe, sans parvenir à donner à son Lupin l'étoffe du gentilhomme cambrioleur. Le scénario holywoodien, avec tous ses ingrédients attendus (traumatisé-dans-l'enfance-femme-fatale-vengeance), est pour beaucoup dans le naufrage de ce film d'action sans saveur et bourré de fric. La fin, réellement émouvante car jouant sur le thème de la filiation, est sabordée en même pas cinq minutes. Bref, toutes les bonnes intentions du film sont méticuleusement flinguées à vue. Décidément, qu'il est dur de trouver de la grâce à cet Arsène Lupin: autant chercher une aiguille creuse dans une botte de foin.
Je n'ai pas du voir le même film que les autres spectateurs car j'ai trouvé ce film très bon. Moi qui n'ai jamais été attiré par les livres d'AL, j'ai changé d'avis depuis ce film. On a rarement des films français de cette qualité.
Un héros élégant et raffiné, parfaitement retranscrit par le jeu d'acteur fabuleux de Romain Duris, charmant et mystérieux, et une mise en scène particulièrement délicieuse.
Difficile de faire un film de 2h avec un scénario qui tient sur dix pages. C'est pourquoi il faut mettre beaucoup de remplissages et ça transparait énormément dans ce film. Beaucoup trop de scènes, de moments qui sont sans intérêt pour l'histoire, comme les scènes de sexe, d'enfance, de rêves. Tout ceci n'apporte rien, ni au personnage, ni au scénario. Un ensemble plus que mauvais, avec un Romain Duris toujours aussi affligeant, un peu comme tout le casting d'ailleurs qui semble autant s'ennuyer que nous. Non vraiment! Ce film est à oublier!!
J'ai eu du mal à sauver grand chose de ce film. "Arsène Lupin" le gentleman cambrioleur, qui est ici tout sauf un gentleman (je ne sais pas comment Clarisse continue à tomber dans ses bras tant cet homme est détestable) et surement le cambrioleur le moins discret du monde. On rajoute à ca l'antagoniste, la comtesse Joséphine, femme centenaire manipulatrice et terroriste (c'était vraiment dans les romans de Maurice Leblanc ?). Le background d'Arsène est pour le moins sommaire et permet juste de nous introduire un personnage formé à la savate par son père et dont ses parents disparaissent après dix minutes. Le film fait une bonne demi-heure de trop, le "je pars-je reviens" entre d'un côté Joséphine et de l'autre Clarisse, un plan qui n'a aucune ombre de cohérence, le personnage de Beaumagnan d'une inutilité totale. Et si on commence à s'attarder sur les détails, ca devient encore plus savoureux. On est ici devant un condensé des différentes oeuvres de Leblanc, mais l'ensemble n'a plus aucune logique et nous ennuie très vite. Le film n'est pas sauvé par l'interprétation entre Duris qui en rajoute des caisses, la pauvre Eva Green et K.Scott Thomas qui pouvait se permettre de jouer en roue libre tant son personnage est répétitif. Beaucoup de scènes numériques sont présentes et forcément pas très réussies. On pourra heureusement se soulager en remerciant des films de cette qualité comme "Vidocq", "Belphégor" ou "Arsène Lupin" sans lesquels nous n'aurions peut-être pas eu le "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie avec là aussi un personnage plus bagarreur que dans les livres mais où l'essence restait intacte. spoiler: Quant à la fin qui laisse suggérer une suite, elle m'a doucement fait rigoler.