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Si l'on admet ce principe - que tout le film soit une bande dessinée d'aventures trépidantes où les héros n'ont d'autre dimension que leur silhouette (fort bien esquissée) -, on sera ravi du tour de manège.
La critique complète est disponible sur le site Aden
En dépit de ses origines littéraires, Arsène Lupin est devenu une oeuvre cinématographique parfaitement maîtrisée par son réalisateur visiblement enthousiaste, qui a su insuffler sa passion à ses images inventives (...).
Que ceux qui n'ont pas goûté le Belphégor de Jean-Paul Salomé lui laissent une chance. (...). Pour une fois que le renouveau du film de genre français va au-delà du fantastique et du polar, il serait dommage de la négliger.
Cette suite d'aventures romanesques, pimentée d'effets spéciaux jamais gratuits et spectaculaires, est également portée par quelques acteurs et actrices qui ont oublié d'être mauvais. Et bien que l'intrigue ait tendance à partir un peu dans tous les sens, elle reste assez prenante pour qu'on ne s'ennuie pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
Que demande le peuple ? La réalisation de Jean-Paul Salomé n'est pas devenue soudainement miraculeuse, mais elle charpente bien l'histoire et l'action. (...) Du grand spectacle à la sauce de chez nous.
La critique complète est disponible sur le site Score
Les personnages, assez truculents (Arsène Lupin, Pascal Greggory et Kristin Scott Thomas sont remarquables) donnent par instants au film l'épaisseur que la plate réalisation de Salomé tente continuellement d'aplanir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Du moment où les effets spéciaux (...) prennent le pas sur l'interaction entre les trois principaux personnages, Arsène Lupin s'embourbe dans un ennui que zèbrent explosions de machines infernales et poursuites échevelées. On dirait que réalisateur et producteur ont préféré dépenser jusqu'au dernier sou d'un budget colossal plutôt que de se contenter d'un film plus modeste mais plus harmonieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Comment une entreprise aussi ambitieuse, promise à un succès populaire, a-t-elle pu aboutir à un film aussi long, frisant du même coup le très sélect cercle des films malades ?
Ce nouvel Arsène Lupin est " mieux que " (...) bon nombre de " blockbusters " français sortis depuis le début de l'année (...). Cela étant posé, mieux ne veut pas dire bien. C'est le syndrome " ceinture et bretelles " du cinéma français à ambition populaire, le fantasme de plaire à tout le monde (...) au risque de la surcharge, du hachis et de la confusion la plus totale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) Salomé écrabouille les quelques bonnes idées du film (...) pour en revenir à ses obsessions d'artificier pataud. (...) Il ne reste plus qu'à pleurer en attendant le second épisode.
Arsene Lupin est un écrin, une chambre forte où on s'ennuie à 23 carats la minute et à 23 millions d'euros du film (...). A la fin, c'est le spectateur qui se sent volé.
Arsene Lupin est mieux que Belphegor, le précédent long métrage de Salomé. Mais on est encore bien loin du film réussi ou ne serait-ce que divertissant.
Le gentleman cambrioleur imaginé par Maurice Leblanc ne se ressemble plus beaucoup. (...) Un lifting artificiel qui confond savate et kung-fu et semble bien vieillot par rapport aux aventures trépidantes dont il prétend s'inspirer.
Aden
Si l'on admet ce principe - que tout le film soit une bande dessinée d'aventures trépidantes où les héros n'ont d'autre dimension que leur silhouette (fort bien esquissée) -, on sera ravi du tour de manège.
L'Ecran Fantastique
En dépit de ses origines littéraires, Arsène Lupin est devenu une oeuvre cinématographique parfaitement maîtrisée par son réalisateur visiblement enthousiaste, qui a su insuffler sa passion à ses images inventives (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Positif
Que ceux qui n'ont pas goûté le Belphégor de Jean-Paul Salomé lui laissent une chance. (...). Pour une fois que le renouveau du film de genre français va au-delà du fantastique et du polar, il serait dommage de la négliger.
Première
Cette suite d'aventures romanesques, pimentée d'effets spéciaux jamais gratuits et spectaculaires, est également portée par quelques acteurs et actrices qui ont oublié d'être mauvais. Et bien que l'intrigue ait tendance à partir un peu dans tous les sens, elle reste assez prenante pour qu'on ne s'ennuie pas.
Score
Que demande le peuple ? La réalisation de Jean-Paul Salomé n'est pas devenue soudainement miraculeuse, mais elle charpente bien l'histoire et l'action. (...) Du grand spectacle à la sauce de chez nous.
Chronic'art.com
Les personnages, assez truculents (Arsène Lupin, Pascal Greggory et Kristin Scott Thomas sont remarquables) donnent par instants au film l'épaisseur que la plate réalisation de Salomé tente continuellement d'aplanir.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Du moment où les effets spéciaux (...) prennent le pas sur l'interaction entre les trois principaux personnages, Arsène Lupin s'embourbe dans un ennui que zèbrent explosions de machines infernales et poursuites échevelées. On dirait que réalisateur et producteur ont préféré dépenser jusqu'au dernier sou d'un budget colossal plutôt que de se contenter d'un film plus modeste mais plus harmonieux.
Les Inrockuptibles
Comment une entreprise aussi ambitieuse, promise à un succès populaire, a-t-elle pu aboutir à un film aussi long, frisant du même coup le très sélect cercle des films malades ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ce nouvel Arsène Lupin est " mieux que " (...) bon nombre de " blockbusters " français sortis depuis le début de l'année (...). Cela étant posé, mieux ne veut pas dire bien. C'est le syndrome " ceinture et bretelles " du cinéma français à ambition populaire, le fantasme de plaire à tout le monde (...) au risque de la surcharge, du hachis et de la confusion la plus totale.
Cahiers du Cinéma
(...) Salomé écrabouille les quelques bonnes idées du film (...) pour en revenir à ses obsessions d'artificier pataud. (...) Il ne reste plus qu'à pleurer en attendant le second épisode.
Elle
Grand spectacle fouillis, schématique, hétérogène dans l'interprétation, sans profondeur ni poésie. Au fond on dirait une BD.
L'Obs
Arsene Lupin est un écrin, une chambre forte où on s'ennuie à 23 carats la minute et à 23 millions d'euros du film (...). A la fin, c'est le spectateur qui se sent volé.
MCinéma.com
Arsene Lupin est mieux que Belphegor, le précédent long métrage de Salomé. Mais on est encore bien loin du film réussi ou ne serait-ce que divertissant.
TéléCinéObs
Le gentleman cambrioleur imaginé par Maurice Leblanc ne se ressemble plus beaucoup. (...) Un lifting artificiel qui confond savate et kung-fu et semble bien vieillot par rapport aux aventures trépidantes dont il prétend s'inspirer.