Amis des nanars, bonsoir! Après avoir perdu sa femme et retrouvé sa fille traumatisée après s'être fait violer par Jeff Goldblum (précédent opus), voilà que notre bon vieux vengeur, qui a quitté New-York pour Los Angeles, perd sa bonne et sa fille, violée ce coup-ci par Laurence Fishburne... Bon, ce Justicier n°2 est au n°1 ce que Rambo II est à Rambo : La même forme, violente et impitoyable, mais privée de fond. Le 1er opus nous montrait la dégringolade d'un simple citoyen, humain et non-violent, qui après la perte de ses proches menait une guerre sans merci aux voyous, les exécutant sommairement et au hasard... Ben, dans ce 2nd film, notre ami Charles a de la chance, il retrouve par hasard tous les membres du gang qui ont violé et tué sa bonne et sa fille! (Faut avouer que c'est petit Los Angeles...). Ce qu'on perd (beaucoup) en questionnements et réflexion on le gagne (un peu) en action. Et si Bronson agit mécaniquement, ça lui laisse le temps de s'organiser (planque, armes dissimulées, radio de police...). Bref, à part la scène du viol de la bonne (assez crue) et l'exécution d'un prisonnier diagnostiqué irresponsable car atteint psychiatriquement, on ne peut pas dire que Justicier n°2 soit un film choc, en comparaison du n°1... Bref, ça se laisse regarder, mais comme souvent avec les 2nd volets, on est un peu déçu...
Après le succès du justicier , il fallait malheureusement s'attendre à une suite . Malheureusement , car évidemment on reprend exactement les mêmes ingrédients , en tentant d' y ajouter des scènes plus choquantes . Bilan , tout y est plus mauvais et outrancier.
Un Justicier Dans La Ville 2 est un bon petit film au rythme soutenu et au message toujours aussi réactionnaire. Particulièrement violent (le viol collectif du début est assez gratiné), cet opus toujours porté par le justicier Charles Bronson perd en réflexion ce qu’il gagne en action pour finalement nous faire passer un très bon moment dans les rues infames de Los Angeles.
Comment peut on, penser une seule seconde, filmer une scène aussi terrible que ce viol pour augmenter le box office d'un film ? honteux. Ce film est merdique.
Charles Bronson et son âme de justicier reprend du service, cette fois à Los Angeles. Bon premièrement il faut le dire cette homme à pas de pot, voila que maintenant il tombe sur un groupe de petite frappe, ou on peut y voir l'acteur Laurence Fishburne bref, je disais donc que Bronson y perd la bonne qui s'occupe de sa nouvelle maison après avoir subit un viol, et il perd également sa fille déjà bien traumatiser dans le précédent volet. Ce second volet est bien plus malsain, le viol de la bonne est bien plus salace, le personnage de Bronson gagne en maturité et il est bien plus méthodique. Un justicier dans la ville second opus est tout de même en deçà du premier.
Le premier était très bien mais j'ai trouvé cette suite encore meilleure. Il n'y a plus de psychologie mais la vengeance et le suspense font terriblement effet ! Cette fois-ci, les violeurs sont punis, ce qui rend palpitant cette croisade solitaire dans les rues de Los Angeles. Charles Bronson fait de nouveau preuve de talent dans ce rôle de justicier qui lui va à merveille. Le flic de New York, interprété par Vincent Gardenia, est de retour et apporte un peu d'humour dans cet univers malsain !
Un film qui paraît un peu ringard aujourd'hui. Il se laisse voir mais sans plus, le scénario n'étant pas vraiment à la hauteur, on était en droit d'attendre mieux après un premier volet ayant "cartonné".
Un excellent thriller (le dernier grand film de Michael Winner) à redécouvrir. Malgré une scène de viol trop longue et too much (d'un mauvais goût absolu), le reste du film élève l'ensemble à un niveau extrêmement bon. La composition sobre d'un Charles Bronson granitique et quasi-minéral, ainsi que la mise en scène très rigoureuse et souvent très efficace (sans compter une bande originale atmosphérique du meilleur effet) font de ce film un petit hit en soi. Un film important, charnière presque essentielle entre les 70's et les 80's, réalisé pour un petit budget, mais probablement l'une des meilleures productions de la Cannon. Le meilleur épisode de la saga, le plus franc et le plus jusqu'au-boutiste aussi (pour le pire et pour le meilleur). Il faudra néanmoins encore du temps pour que ce film trouve enfin le statut culte qu'il mérite amplement...
Un film réaliste et ultraviolent mais à la limite du racisme que montrent certains dialogues d'assez mauvais gout.Cette suite a trés mal vieilli mais est audacieuse dans quelques scénes et fait surtout office de programme anti criminalité.Mention spéciale à la gueule la plus hardcore du cinoche le susnommé Charles Bronson.
Une pauvre fille qui se fait violer dans chaque ville où elle passe, ne rend pas son père triste ou en colère (il a l'habitude maintenant), mais le transforme en justicier. Ainsi, de simple architecte il devient un tueur professionnel capable de retrouver comme par magie des petits voyous dans une ville aussi grande que Los Angeles. Si le premier volet se laissait regarder, cet épisode n'était pas vraiment indispensable.
Paul Kersey de retour. Une excellente histoire de vengeance avec cependant des scènes de viol insoutenables. Laurence Fishburne faisait là ses débuts, dans le rôle d'un des loubards.
Merde alors ! La fille de Charles Bronson s'est encore fait violer. Coup dur pour notre Justicier qui voulait lui offrir une glace deux boules avec cornet. Mais la goutte d'eau qui fait déborder la douille, c'est que sa femme de ménage se fait violenter aussi, et par Morpheus qui avait troqué ses rayban noires matrixiennes pour des lunettes roses d'un goût douteux. Sa moustache n'ayant fait qu'un tour, Charlie repart en croisade et affute ses dialogues : "Tu crois en Jésus ?" demande t'il au méchant à mulette. "Oui je crois..." répond celui-ci. Et le Justicier de lui caler un pruneau sur un magnifique "Alors tu vas le voir de près." Et ça, c'est bien vrai.
Second volet de la saga Death Wish, Un Justicier Dans La Ville 2 est un bon petit film au rythme soutenu et au message toujours aussi réactionnaire. Particulièrement violent (le viol collectif du début est assez gratiné), cet opus toujours porté par le justicier Charles Bronson perd en réflexion ce qu’il gagne en action pour finalement nous faire passer un très bon moment dans les rues infames de Los Angeles. Un bon divertissement !
C'est pire que le précédent épisode, ici le justicier solitaire apprend à d'autres personnes les "joies" du 'self-defence'... C'est encore plus nauséabond que Le Justicier dans la ville n°1 !