Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Synopsis
par Arnaud Malherbe
C'est fin, précis, souvent drôle. Et très instructif. On connaît, enfin, l'acmé de l'ennui : une soirée picole entre adolescents taiseux devant un épisode de Derrick, doublé en polonais par un seul acteur. L'ado a raison. La vie n'est pas toujours au bouquet de violettes.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
récit subtil de la relation (...) bizarre d'un adolescent taciturne et de son condisciple.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La nécessité de l'expansion territoriale, l'insupportable exigence de l'unité communautaire, la soudaine remise en question de sa légitimité au contact de l'étranger, la tentation meurtrière qui répond à cette menace : autant de questions qui, sans qu'ils s'y réduisent pour autant, taraudent ces films et semblent remettte sur le métier du jeune cinéma allemand de vieilles hantises qu'on dit aujourd'hui enterrées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dans l'ensemble, c'est élégant, léger, allusif, subtil, qu'il s'agisse de plans séquences ou d'ellipses. Rien à voir avec la lourde artillerie du cinéma d'auteur français qui, dans le meilleur des cas, reste corseté, scénarisé, acté, musiqué, décoré à l'extrême.
Libération
par Gérard LEFORT
La puissance du réalisateur Henner Winckler, c'est qu'à l'instar de son jeune acteur (Steven Sperling), impeccable d'hermétisme, il joue sur le velours râpé du cliché pour mieux le déchirer et nous faire chuter dans un trou noir imprévisible.
Positif
par Matthieu Darras
Le voyage scolaire constitue un excellent catalyseur d'émotions, idéal pour le cinéma. Il est d'ailleurs un constat étonnant : rares sont les réalisateurs à avoir exploité ce matériau.[...] L'espoir d'un renouveau [...] s'exprime à l'écran pour le jeune cinéma allemand.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par François Forrestier
Film presque documentaire, ce premier long-métrage de Henner Winckler est-il une analyse de la jalousie ou un portrait d'une génération ? Les deux, sans doute.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Gaël Golhen
Cette version allemande du Dogme (DV, errance et refus de toute psychologie) finit par lasser, malgré des instants inspirés (notamment dans Marseille).
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Henner Winckler se distingue dès ce coup d'essai en captant avec tact les ambivalences des premiers émois. Avec ses dérobades, ses va-et-vient entre l'auberge et les rares lieux de distraction alentour, son film est organisé comme un ballet, une lente chorégraphie qui connaît parfois de brusques accélérations burlesques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
La lumière, la cadre et les acteurs suffisent à retenir l'attention, mais on attend en vain que le film sorte de sa jolie maîtrise.
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Un art minimaliste de la catastrophe se déploie dans Voyage scolaire, qui fait vibrer chaque scène sous le poids d'une tension insupportable car inassignable. (...) No fear no brain no pain: de la culpabilité, s'il y en a une, le spectateur reste seul dépositaire.
Synopsis
C'est fin, précis, souvent drôle. Et très instructif. On connaît, enfin, l'acmé de l'ennui : une soirée picole entre adolescents taiseux devant un épisode de Derrick, doublé en polonais par un seul acteur. L'ado a raison. La vie n'est pas toujours au bouquet de violettes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
récit subtil de la relation (...) bizarre d'un adolescent taciturne et de son condisciple.
Le Monde
La nécessité de l'expansion territoriale, l'insupportable exigence de l'unité communautaire, la soudaine remise en question de sa légitimité au contact de l'étranger, la tentation meurtrière qui répond à cette menace : autant de questions qui, sans qu'ils s'y réduisent pour autant, taraudent ces films et semblent remettte sur le métier du jeune cinéma allemand de vieilles hantises qu'on dit aujourd'hui enterrées.
Les Inrockuptibles
Dans l'ensemble, c'est élégant, léger, allusif, subtil, qu'il s'agisse de plans séquences ou d'ellipses. Rien à voir avec la lourde artillerie du cinéma d'auteur français qui, dans le meilleur des cas, reste corseté, scénarisé, acté, musiqué, décoré à l'extrême.
Libération
La puissance du réalisateur Henner Winckler, c'est qu'à l'instar de son jeune acteur (Steven Sperling), impeccable d'hermétisme, il joue sur le velours râpé du cliché pour mieux le déchirer et nous faire chuter dans un trou noir imprévisible.
Positif
Le voyage scolaire constitue un excellent catalyseur d'émotions, idéal pour le cinéma. Il est d'ailleurs un constat étonnant : rares sont les réalisateurs à avoir exploité ce matériau.[...] L'espoir d'un renouveau [...] s'exprime à l'écran pour le jeune cinéma allemand.
TéléCinéObs
Film presque documentaire, ce premier long-métrage de Henner Winckler est-il une analyse de la jalousie ou un portrait d'une génération ? Les deux, sans doute.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Cette version allemande du Dogme (DV, errance et refus de toute psychologie) finit par lasser, malgré des instants inspirés (notamment dans Marseille).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Henner Winckler se distingue dès ce coup d'essai en captant avec tact les ambivalences des premiers émois. Avec ses dérobades, ses va-et-vient entre l'auberge et les rares lieux de distraction alentour, son film est organisé comme un ballet, une lente chorégraphie qui connaît parfois de brusques accélérations burlesques.
Zurban
La lumière, la cadre et les acteurs suffisent à retenir l'attention, mais on attend en vain que le film sorte de sa jolie maîtrise.
Cahiers du Cinéma
Un art minimaliste de la catastrophe se déploie dans Voyage scolaire, qui fait vibrer chaque scène sous le poids d'une tension insupportable car inassignable. (...) No fear no brain no pain: de la culpabilité, s'il y en a une, le spectateur reste seul dépositaire.