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    Cannibal Holocaust
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    2,1
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    Votre avis sur Cannibal Holocaust ?

    549 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Film tres realiste,voir trop car les meurtres des animaux ont sen passes ,ses ignobles et inhumains,ses qand meme tres trash avec aussi des scenes de viol ,bref je ne suis pas sur qun film pareil voit le jour dans notre epoque actuelle ,dans les année 80 il avait pas peur,et faisait se qil voulait, mais ses malgré tout un film plutot interessant
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 mai 2014
    Ce film est l'un des films les plus gore , les plus décalés et les plus controversés de l'histoire du cinéma , il est vraiment très gore et il mérite sa place dans le cinéma et il mérite sa place dans les classiques . Ma note > 3.5/5 .
    maxime ...
    maxime ...

    243 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 septembre 2022
    Cannibal Holocaust est un film dégueulasse et choquant ! Sa démonstration de la violence ( parfois réelle comme celle sur les animaux ) est pour autant une représentation assez juste de ce que le film dénonce ...

    A vrai dire, j'attendais de ce film, au vue de sa réputation, un " gore gratuit " comme simple justificatif pour filmer l'horreur et la terreur dans son idée minimale et agir en brute sur les consciences. Il n'en est rien ! Je ne cherche pas à être sulfureux lorsque j'écris pareil commentaire, bien au contraire, il y'a je trouve un réel point de vue sur la société, primitive et civilisé ...

    La découpe astucieuse du film est un autre ancrage dans l'idée prônée par Ruggero Deodato, celle-ci résonne avec son ultime interrogation ( auquel il répond à de multiples reprises ), " - Qui sont les vrais cannibales ? " Je me suis fais d'ailleurs un petit parallèle avec un autre cinéaste affilié au mêmes sortes de reproches, Sam Peckinpah. Au fond la violence n'est pas le problème. La crudité de la représentation est bien l'épicentre du grief fait à l'un comme à l'autre. Je peux comprendre le heurt de ce procédé, pas l'hypocrisie autour car oui, la violence est absolument partout, le cinéma plus mainstream en raffole d'ailleurs à foison ( et moi avec, je m'implique dans cet état et rapport ).

    Cannibal Holocaust ne fais pas dans le soft, je me suis moi aussi dans un premier temps poser la question sur le résonnement de son réalisateur, cherche t-il à dénoncer ou à cautionner ? La première option saute avec de la réflexion clairement aux yeux. Vraiment, je me permet d'insister. Voilà pourquoi le " listing " des abominations que je m'apprête à éditer plus bas officie avec relief, chez les autochtones, comme pour les colons ...

    Dès son ouverture, le film m'a rappelé Rosemary's Baby ( la seconde fois cette semaine ! ). Son point de vue sur son lieu, sa composition, son entrain à survolé son sujet avant de se fixé et d'établir une intro rapide et ciblé m'a vraiment fait chavirer. spoiler: La fusillade dans la jungle m'a ensuite rappelé à la raison ! Les premières images de cannibalisme également ... L'hostilité et la rudesse de cette foret, de sa faune et de ses habitants laisse avec du recul son empreinte, plus encore que lors de la découverte. Les protagonistes que l'on suit dans cette première partie sont eux aussi confronté à un rapport de force assez sublime. Le premier, anthropologue, éduqué, bonne âme, pleins de connaissances et d'ignorances mêlé accompagné de ses deux acolytes nettement moins avisés sur les versants psychologiques mais tant de fois mis en situation que plus rien n'a de secret dans leurs vision binaire ( mais non manichéenne toutefois ! ). L'animal mis à mort, sa consommation vue avec fierté, la cocaïne employé, les entrailles de l'animal vue en offrande est une scène que je trouve complètement démente ! Puis viens le rituel mortuaire, de ce qui s'implique au préalable, viol et torture. La barbarie est expliqué, vu comme seul moyen de survie dans ce monde là ... Je vais directement à l'après baignade, à la découverte du " Totem " qui révèle ce que l'on sait déjà sans trop creuser du sort des quatre documentaristes. Les restes qui composent ce vestige de corps additionnés pour faire fuir l'homme blanc est chassé par la communion du partage après dépeçage de la chair cru ! Le long-métrage de Deodato achemine cette première moitié et reviens à la ville avec ses interludes qui dorénavant se mêleront à la suite du récit. Cette fois, celui des quatre reporters. Tout de suite, on laisse présumé qu'ils ne sont pas les pauvres victimes dépeintes dans les prémices de l'histoire. La décapitation de la tortue et l'amusement à jouir de la tripaille de cette dernière ont d'office de confirmer les dires entendus. Celle du singe dans le " camp " d'en face n'est pas plus subtil, elle est ne témoigne toutefois pas du même sadisme. L'horreur chez les quatre se manifestent aussi dans leurs mots, le " - Tu film " lorsqu'ils cautérisent la jambe de leur guide à la machette chaude et de son ultime clin d'œil comme hommage funéraire démontre une perfidie absolu. Le cochon abattu gratuitement, la mise à sac du campement et le crane brandit pour les rendre " célèbres " accrédite une fois encore ce constat. Le coït post-méfait est une autre démonstration du sentiment de toute puissance de ces derniers sur la population qu'ils soumettent à leurs désirs. Le viol collectif, la découverte du corp de la victime empalé, le voyeurisme ambiant sont à faire pâlir ... En opposition, le macabre reste aussi de la partie. La mise à mort de la femme qui accouche et de son nouveau né choque, l'exécution est si sommaire ! Toute la suite qui concerne l'expédition punitive qui va de l'émasculation, à la lapidation jusqu'au meurtre sert aussi le message de mort dont le film est témoin. J'en viens à ces visionnages en studio. Ces derniers réflexives et opportunistes sont endigués par le silence et la décision radicale ( la destruction des images ) qui s'en suivent de ce visionnage terrible, à faire perdre toute foi en quoi que se soit ... Un écho à l'intelligence de ce film qui démonte le voyeurisme et le sensationnalisme, juste car sans esthétisation pour moi. Ruggero Deodato dépeint une ambiance, une atmosphère et film avec fureur et de manière magistrale sont envie folle. Le film sert le bide, donne matière à réfléchir, ses comédiens sont eux aussi entrainé dans l'esquisse de l'ébauche vu avec frénésie et monstruosité. Cannibal Holocaust est une expérience de cinéma, un radicalisme qui tranche avec un certain ronron en la matière. Oui, aussi abject soit-il, ce film est un Chef d'Œuvre !
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    208 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2020
    La torture dans les images est dorénavant plus subversive envers les trois animaux tués durant le tournage, qu'envers les images de dépeçage exeptés deux effets, aujourd'hui encore, des plus impressionnants incluants une emasculation et un embrochement. La structure reste encore moderne et le film est définitivement culte mais les scènes d'erotisme à l'italienne ne se concilient pas toujours avec le genre.
    Objectivons
    Objectivons

    315 abonnés 2 938 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2016
    1 étoile pour un réalisme extraordinaire. Réalisme extraordinaire mais aussi horrible : ce film retourne les tripes. Que l'homme soit capable ou non de réaliser de telles atrocités (et sans doute que oui puisque le scénariste y a songé), le film n'en est pas moins atroce. Les pires éléments d'un film d'horreur sont réunis.
    L'histoire n'est par contre pas du tout recherchée. Et manque de chance, je n'apprécie généralement pas les films d'horreur.
    Yann I
    Yann I

    21 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juillet 2020
    Un film sulfureux que l'on regarde une seule fois par curiosité.
    La violence est poussée au plus au point ce qui est étonnant pour une réalisation de 1980.
    La musique est mal appropriée, la réalisation est sommaire et l'ensemble ressemble à du cinéma bis sans intérêt.
    Tuer des animaux pour un film, fimés en gros plan et sans coupure montre bien que la volonté du réalisateur était de choquer sans état d'âme.
    C'est un film malsain et glauque.
    akinstar
    akinstar

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2010
    Film top pour l'époque. ambiance excellente dérangeante à souhait, suffocante, une bande son bien apropriée. Film souvent copié mais jamais égalé. Et pour ceux qui se sentent un âme de Walt Disney, en 1980, la mode n'était pas à la protection des tortues. Il faut vivre avec son temps.
    mx13
    mx13

    245 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Bon film assez plaisant à voir un spectacle de violence qui ne repousse pas tant que ça les limites mais qui n'oublie pas de faire voyager son spectateur. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 3/5
    lev7
    lev7

    5 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2013
    Film sans intérêt, du grand n'importe quoi, avec des scènes choc calibrés
    pour les psychopathes, on ne peut pas imaginer quel autre genre de spectateur sont viser par la réalisation à part les tarés . Le mot de la fin BEURK
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2013
    Ce film est énorme. Énormément de réflexions à en tirer, bien plus qu'un de ces films gore pour gore que certains regardent avec délectation. J'ai bien fait de me forcer à le regarder, ce film ouvre les yeux sur l'Homme au delà de ses formes de culture car finalement ces grattes-ciels malgré leur degré de sophistication abritent cette même animalité qui ressort par cette équipe de télévision et le besoin qu'ont les spectateurs habitant ces mêmes tours de voir. La volonté même de vouloir montrer et voir la mort et la violence dans les détails révèle cette cruauté cachée de la ville occidentale qui s'en délecte en la mettant sur le dos de l'autre, ici le primitif. Ainsi en voulant montrer et voir le cannibalisme, l'homme civilisé participe indirectement à cette cruauté qui ne lui est pas possible dans son quotidien de petit occidental puritain. Cette dénonciation hypocrite du primitif cannibale permet de cacher ce fantasme que l'Homme moderne ne peut admettre.
    Un jour le "civilisé" viole, le lendemain c'est lui qui est violé... la violence pour la violence appelle la violence et vice versa, le réel progrès repose sur l'admission de cette constatation. Aussi on remarquera une nette différence dans la façon de tuer les animaux entre les deux expéditions: la seconde fait face à la réalité et tue le rat pour se sustenter, la première tue la tortue mais va plus loin en prenant plaisir à brasser la bestiole à moitié vivante et en fixant sa souffrance en gros plans dans la caméra.
    Le fait que les animaux aient vraiment été tués et que ça se sache est important car renvoie à la dure réalité de ce monde et amplifie le film. De plus leur sacrifice est d'autant plus utile par les leçons pour les milliers de spectateurs de ce film que s'ils avaient été tués pour être réellement mangés, là n'est donc pas vraiment le problème, si ce film gène autant c'est qu'il constitue une importante blessure narcissique pour l'Homme qui se voit tel un miroir face à l'animalité de sa réalité.

    Bref une très grande leçon de vie et les gens qui ne veulent pas comprendre le sens de ce film par sensiblerie (merci la censure débile) sont aussi méprisables que ceux qui l'apprécient pour ses scènes violentes "vachement mieux que Saw". Voila, j'crois que s'il est vu dans le bon sens ce film peut rendre meilleur, pour ma part ça m'a ôté toute envie de violence corporelle et relationnelle (pour l'instant !), parce-que typiquement la femme qui se fait traiter de "bourgeoise" alors qu'elle demande d'être embrassée alors que l'autre lui saute dessus devant le village cramé, ça aussi c'est très intéressant.

    Ce film est un réquisitoire contre la violence les films gores en nous en écoeurant, dommage qu'il ait été mal compris des deux côtés...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    Je me suis amusé à aller voir les critiques négatives avant de faire la mienne, et donc je ferai cette critique en fonction de celles-ci. J'ai vu ce film il y a pas mal de temps déjà j'étais jeune et je l'ai vu en cachette, et je l'ai regardé plusieurs fois pour pouvoir bien le comprendre, et je ne regrette pas, je ne suis pas devenu un psychopathe ou bien un type socialement inadapté pour autant ;)
    Pour moi ce film est réussis, a tout points de vu, beaucoup se plaigne d'être mal à l'aise et qu'il soit malsain mais c'est exactement le but de ce film, ce n'est pas un divertissement a regarder en famille, il nous fait nous interroger sur les médias les journalistes en particuliers, et cette violence gratuite et simplement le reflet de notre société si bien qu'a la fin Monroe se demande qui sont vraiment les cannibales.
    La violence faites aux animaux est réelle bien sur et inexcusable et atroce mais le message du film est encore plus atroce.
    Quand on sait que les compagnies qui organisent la déforestations en Amazonie raflent les femmes des tribus d'indigènes pour ensuite les revendre dans des bordels ou bien les offrir a leurs ouvriers pour qu'ils prennent un peu de bon temps, l'ingérence de l'homme dit "civilisé" dans ces cultures premières est bien plus horrible que n'importe quelle tortue tuée pour bouffer.
    Quand au message sur les médias et leur inhumanité le film est sortie en 1980, 5 ans plus tard en Colombie un volcan entre en éruption, causant beaucoup de dégâts et une fillette se retrouve prise au piège dans une coulé de boue... la calvaire d'Omayra Sanchez durera 3 jours et sera filmé par toutes les télévision du monde et photographié par tous les journalistes du monde, y en a même un qui fera une interview, les secours ne sont jamais arrivé en trois jours alors que tous les journalistes de la terre étaient là, et malgré la présence d'hélicoptère on a rien fait enfin si on a juste laissé cette gamine mourir en la filmant et en la prenant en photo. Quand je pense a ça j'ai honte de l'humanité, et je remercie Ruggero Deodato d'avoir voulu dénoncer les dérives du journalisme et de notre société fascinée par le morbide dans son film, et je ne suis pas étonné que ce film puisse déranger autant car il est le reflet d'une société malade, notre société.
    Juju Rasta
    Juju Rasta

    5 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 janvier 2020
    Honnêtement je m'attendais à un bon film mais malheureusement il n'en est rien... C'est long, c'est mal tourné et puis pour un film qui a fait scandale bah faudra m'expliquer la raison car y a vraiment pas de quoi... Bref un film à oublier rapidement et ça sera sans mal...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 octobre 2007
    Bon ce m'attendais a un grand film car j'avais entendu parlais du film en bien.Finalement il ne fait pas peur ,certaine scene peuvent "dérangé" mais c'est tout.De plus ,ils tuent de vrai animaux donc bon rien que pour ça ,le film mérite une sale note.
    Takoyaki Pierogi
    Takoyaki Pierogi

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2018
    Au visionnage de ce film, on comprend que le réalisateur voulait principalement nous faire réfléchir sur la diffusion d’images violentes. Il semblerait qu'il veuille dénoncer la représentation de ces violences au cinéma mais aussi à la télévision. Malheureusement, le film se discrédite lui-même. En effet, les scènes violentes y sont nombreuses, extrêmes, aussi bien de la part des cannibales que des hommes soi-disant civilisés (six animaux réellement tués pour le tournage, viols, tortures, actes de cannibalisme), mais certes rendues très difficilement supportables à regarder notamment car elles ont été tournées comme un reportage et semblent très réalistes (ce qui évite me semble-t-il de banaliser cette violence). Mais le vrai problème de Cannibal Holocaust, c'est qu'il ne relate de rien, on a vraiment l’impression d’assister à de la violence gratuite. Ces types de violences existent bel et bien mais le contexte du film ne justifie pas toujours de les montrer. Et ce ne sont d’ailleurs pas les violences en elles-mêmes qui sont dénoncées mais le fait de les montrer. Finalement les intentions sont confuses, paradoxales et on assiste à un vulgaire spectacle de voyeurisme. Le film ne défend rien, prétend dénoncer la violence alors qu'il est lui-même d'une violence extrême, jamais justifiée et qui n'arrive à aucun moment à réellement remettre en cause le spectateur (au contraire de Funny Games, qui selon moi aborde cette problématique d'une manière bien plus intelligente).
    ocelot
    ocelot

    24 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2013
    Quelle claque pour l'époque ! Du gore, du sang, du vrai et du faux. A voir !
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