Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Aden
Par une série de tableaux secs et précis, où prime l'observation des faits et des gestes, la réalisatrice parvient à donner à ses personnages silencieux une grande force humaine. Rien de sentimental. Mais l'émotion naît de la capacité plus ou moins grande de chacun à résister.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
En dix lettres, un mot résume Struggle : autrichien. Irait aussi en huit lettres : clinique. Ou encore, version plus dépliée : peignant l'exploitation et la tristesse libérales en scènes blafardes et tableaux figés où convergent, (...), quelques traits définitoires de l'auteursime mondialisé, européen surtout (...).
Chronic'art.com
par Romain Le Vern
C'est une expérience de cinéma très crue, en même temps qu'un tour de force : tout à la fois tableau sordide d'une Autriche sclérosée et autopsie crasse de la beaufitude, ce film politique et sauvage possède plus de cynisme que toutes les oeuvres de Michael Haneke et Ulrich Seidl réunies.
Libération
par Antoine de BAECQUE
Struggle est un film hypercomposé et tenu, il est désespérément fort et beau.
Télérama
par Jacques Morice
En refusant le dialogue et le commentaire, en braquant son regard comme une arme, Ruth Mader rejoint ceux qui n'ont plus droit à la parole. On aime à voir dans sa conclusion ouverte les prémices d'une sérénité aussi dérangeante que magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Malgré un début prometteur sur l'aliénation contemporaine, le film s'enferme dans sa noirceur glaciale, confirmant la violence désespérée du cinéma autrichien.
TéléCinéObs
Cadrages rigoureux, mise en scène impassible, jeu atone : la jeune réalisatrice offre une vision âpre et déshumanisée de l'Autriche, où la relation maître-esclave résonne comme une allégorie politique et social.
Première
C'est un cauchemar. Pour ceux qui n'auront pas la chance de s'endormir au bout de dix minutes, il leur faudra supporter les plans interminables de ce film sans intérêt, sans structure ni propos.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
Par une série de tableaux secs et précis, où prime l'observation des faits et des gestes, la réalisatrice parvient à donner à ses personnages silencieux une grande force humaine. Rien de sentimental. Mais l'émotion naît de la capacité plus ou moins grande de chacun à résister.
Cahiers du Cinéma
En dix lettres, un mot résume Struggle : autrichien. Irait aussi en huit lettres : clinique. Ou encore, version plus dépliée : peignant l'exploitation et la tristesse libérales en scènes blafardes et tableaux figés où convergent, (...), quelques traits définitoires de l'auteursime mondialisé, européen surtout (...).
Chronic'art.com
C'est une expérience de cinéma très crue, en même temps qu'un tour de force : tout à la fois tableau sordide d'une Autriche sclérosée et autopsie crasse de la beaufitude, ce film politique et sauvage possède plus de cynisme que toutes les oeuvres de Michael Haneke et Ulrich Seidl réunies.
Libération
Struggle est un film hypercomposé et tenu, il est désespérément fort et beau.
Télérama
En refusant le dialogue et le commentaire, en braquant son regard comme une arme, Ruth Mader rejoint ceux qui n'ont plus droit à la parole. On aime à voir dans sa conclusion ouverte les prémices d'une sérénité aussi dérangeante que magnifique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Malgré un début prometteur sur l'aliénation contemporaine, le film s'enferme dans sa noirceur glaciale, confirmant la violence désespérée du cinéma autrichien.
TéléCinéObs
Cadrages rigoureux, mise en scène impassible, jeu atone : la jeune réalisatrice offre une vision âpre et déshumanisée de l'Autriche, où la relation maître-esclave résonne comme une allégorie politique et social.
Première
C'est un cauchemar. Pour ceux qui n'auront pas la chance de s'endormir au bout de dix minutes, il leur faudra supporter les plans interminables de ce film sans intérêt, sans structure ni propos.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com