Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Guiraudie rêve ses films éveillé, mais il est un sacré bon rêveur. Dans la joie alerte des assonances de couleur, des rebonds, des péripéties, des échos de récits anciens, de films aimés, de moments intimes, voici que se déploie, souveraine et modeste, l'épopée de Basile (...) Guiraudie est un farceur insolent, un styliste doué, un graphiste méridional (...) Mais surtout, Alain Guiraudie est un cinéaste. Quand il fait un plan, c'est un véritable plan de cinéma.
Aden
par Philippe Piazzo
(...) le film le plus vivant qui soit, où l'on traverse des mondes étranges d'un village à l'autre (...) où les panneaux indicateurs des routes du Tarn vous indiquent, à droite, Oncongue, et à gauche, Bouenozaire... Si ces destinations, déjà, vous inspirent, embarquez sans crainte : même les trous d'air sont ici d'inattendues respirations.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La fantaisie guiraudienne, rêverie foutraque et volontariste gouvernée par une secrète nécessité qui en travaille la moindre image, tourne à plein régime (...) Trop de fils peut-être (...), dans cette pelote jouissive et souvent fulgurante entièrement vouée aux puissances de l'imaginaire, mais c'est une autre histoire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Michel Guilloux
Dans le paysage actuel du cinéma français, ce film fait figure de coup de pistolet dans le concert du formatage, porté par un univers onirique, un humour, un regard sur le monde des plus régalants par les temps qui courent, servi par de jeunes acteurs (Thomas Blanchard et Thomas Suire, entre autres) remarquables.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Alain Guiraudie transforme l'ennui provincial en fécond terrain de jeux et de rêves. Pas de repos pour les braves, c'est le Sud-Ouest réinventé à l'échelle du monde, un alliage de philosophie et de fantaisie bariolée, un souffle de fraîcheur revigorant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Alain Guiraudie offre un film joyeux, léger, coloré, fantaisiste, libre comme l'air, extrêmement touchant et, surtout, qui ne se prend pas au sérieux. Tout en disant beaucoup de choses sur les êtres humains, leurs rêves et leur quotidien, le réalisateur se paie le luxe de mêler naturalisme et poésie délirante.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le réel et l'imaginaire pur sont mixés et joyeusement malaxés dans une succession de récits, de séquences et de situations aux résonances très contrastées (...) Il est parfois difficile de maintenir cet état d'indécision joyeuse dans lequel on devrait baigner durant une heure et demie. Pas de repos pour les braves n'évite pas toujours les baisses d'intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Pas de repos pour les braves souffre parfois de son hétérogénéité généreuse, on est obligé de trier, selon son goût. On laisse : les soûlantes digressions de bistrots alternatifs. On prend : la dérobade country et l'océanique mélancolie adolescente.
Première
par Olivier Lemaire
A nouveau langage, décodage obligatoire. Difficile donc parfois de suivre les envolées surréalistes de certaines scènes, d'autant que, dans le cinéma contemporain, il existe peu d'univers aussi personnels et symboliques que celui d 'Alain Guiraudie.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Alain Guiraudie nous fait ainsi son "Basile au pays des merveilles". Mais après une mise en place agréablement fantaisiste, le plaisir de la découverte s'essouffle au profit d'un jeu de rôles dont les pions ont l'air tellement à l'aise dans leur petit monde décalé qu'on finit par les laisser s'amuser tout seuls.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Marine Landrot
Le film tient la route (et quelle route !) pendant une petite heure. Alain Guiraudie vous laisse en plan à chaque plan, pour aller voir ailleurs si vous y êtes. Il invente, se dérobe, chicane et ricane comme personne (...) Ensuite, on a l'impression d'errer sur un terrain vague, butant sur des objets inutiles et cherchant désespérément une issue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Le savoureux tableau d'une commuanuté campagnarde se mélange à la parodie du film de gangsters avec une folie qui finit hélas un peu par s'essouffler. Très à l'aise sur un format de court-métrage, la liberté d'inspiration de Guiraudie n'a pas complètement trouvé sa forme en passant au long. Mais ce n'est qu'un début...
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Eric Derobert
Modernité d'un récit privé de héros, dans une manière un peu brechtienne ? Pour cela, il eût fallu que le foutraque s'organise, et laisse deviner davantage de nécesité aux événements qui s'enchaînent. Le parti-pris d'éclatement de la tonalité du film (...) converge in fine vers un polar sans enjeu, où les personnages disparus au début se voient réintégrés et où pointent, sans être tellement retravaillés, quelques clichés du genre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
Guiraudie rêve ses films éveillé, mais il est un sacré bon rêveur. Dans la joie alerte des assonances de couleur, des rebonds, des péripéties, des échos de récits anciens, de films aimés, de moments intimes, voici que se déploie, souveraine et modeste, l'épopée de Basile (...) Guiraudie est un farceur insolent, un styliste doué, un graphiste méridional (...) Mais surtout, Alain Guiraudie est un cinéaste. Quand il fait un plan, c'est un véritable plan de cinéma.
Aden
(...) le film le plus vivant qui soit, où l'on traverse des mondes étranges d'un village à l'autre (...) où les panneaux indicateurs des routes du Tarn vous indiquent, à droite, Oncongue, et à gauche, Bouenozaire... Si ces destinations, déjà, vous inspirent, embarquez sans crainte : même les trous d'air sont ici d'inattendues respirations.
Chronic'art.com
La fantaisie guiraudienne, rêverie foutraque et volontariste gouvernée par une secrète nécessité qui en travaille la moindre image, tourne à plein régime (...) Trop de fils peut-être (...), dans cette pelote jouissive et souvent fulgurante entièrement vouée aux puissances de l'imaginaire, mais c'est une autre histoire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Dans le paysage actuel du cinéma français, ce film fait figure de coup de pistolet dans le concert du formatage, porté par un univers onirique, un humour, un regard sur le monde des plus régalants par les temps qui courent, servi par de jeunes acteurs (Thomas Blanchard et Thomas Suire, entre autres) remarquables.
Les Inrockuptibles
Alain Guiraudie transforme l'ennui provincial en fécond terrain de jeux et de rêves. Pas de repos pour les braves, c'est le Sud-Ouest réinventé à l'échelle du monde, un alliage de philosophie et de fantaisie bariolée, un souffle de fraîcheur revigorant.
MCinéma.com
Alain Guiraudie offre un film joyeux, léger, coloré, fantaisiste, libre comme l'air, extrêmement touchant et, surtout, qui ne se prend pas au sérieux. Tout en disant beaucoup de choses sur les êtres humains, leurs rêves et leur quotidien, le réalisateur se paie le luxe de mêler naturalisme et poésie délirante.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
Le réel et l'imaginaire pur sont mixés et joyeusement malaxés dans une succession de récits, de séquences et de situations aux résonances très contrastées (...) Il est parfois difficile de maintenir cet état d'indécision joyeuse dans lequel on devrait baigner durant une heure et demie. Pas de repos pour les braves n'évite pas toujours les baisses d'intensité.
Libération
Pas de repos pour les braves souffre parfois de son hétérogénéité généreuse, on est obligé de trier, selon son goût. On laisse : les soûlantes digressions de bistrots alternatifs. On prend : la dérobade country et l'océanique mélancolie adolescente.
Première
A nouveau langage, décodage obligatoire. Difficile donc parfois de suivre les envolées surréalistes de certaines scènes, d'autant que, dans le cinéma contemporain, il existe peu d'univers aussi personnels et symboliques que celui d 'Alain Guiraudie.
TéléCinéObs
Alain Guiraudie nous fait ainsi son "Basile au pays des merveilles". Mais après une mise en place agréablement fantaisiste, le plaisir de la découverte s'essouffle au profit d'un jeu de rôles dont les pions ont l'air tellement à l'aise dans leur petit monde décalé qu'on finit par les laisser s'amuser tout seuls.
Télérama
Le film tient la route (et quelle route !) pendant une petite heure. Alain Guiraudie vous laisse en plan à chaque plan, pour aller voir ailleurs si vous y êtes. Il invente, se dérobe, chicane et ricane comme personne (...) Ensuite, on a l'impression d'errer sur un terrain vague, butant sur des objets inutiles et cherchant désespérément une issue.
Zurban
Le savoureux tableau d'une commuanuté campagnarde se mélange à la parodie du film de gangsters avec une folie qui finit hélas un peu par s'essouffler. Très à l'aise sur un format de court-métrage, la liberté d'inspiration de Guiraudie n'a pas complètement trouvé sa forme en passant au long. Mais ce n'est qu'un début...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
Modernité d'un récit privé de héros, dans une manière un peu brechtienne ? Pour cela, il eût fallu que le foutraque s'organise, et laisse deviner davantage de nécesité aux événements qui s'enchaînent. Le parti-pris d'éclatement de la tonalité du film (...) converge in fine vers un polar sans enjeu, où les personnages disparus au début se voient réintégrés et où pointent, sans être tellement retravaillés, quelques clichés du genre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com