Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Aden
par La rédaction
La réussite du film est là : utiliser la fiction pour nous permettre de ressentir intimement la réalité. Une réalité faite d'angoisse et d'une condamnation sans appel de la condition féminine. Au coeur de laquelle Siddiq Barmak inscrit la trajectoire d'une enfant, symbole de la tragédie de toutes les femmes.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Hendy Bicaise
Stupidement, on oubliait qu'un tel projet pouvait aboutir sur du cinéma et du grand. La beauté de la mise en scène, le travail sonore, la justesse de l'actrice, tout nous le rappelle à chaque instant. L'évidence surgit alors, Osama est un film somptueux, irréprochable, immanquable.
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
Le film prouve à lui seul que le temps de l'image interdite est bien révolu, et fait partie d'un passé qu'on peut mettre à distance. Siddiq Barmak, grâce à ce cinéma afghan qu'il n'a cessé de défendre (président de l'Afghan Film Organization de 1992 à 1996, puis à son retour d'exil), montre à son pays et au monde qu'on peut renaître de ses cendres.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Michèle Levieux
Siddiq a pu réaliser une oeuvre profondément afghane : un cri venu du fond de la barbarie, tel est le corps torturé d'une petite fille nommée Osama.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Philippe Azoury
C'est une chose de voir que des hommes obligent des femmes, réduites à l'état de fantôme, à porter une burqa ; c'en est une autre que de se projeter une heure trente sous cette burqa et d'étouffer à son tour jusqu'à en crever. Voilà pourquoi Osama est un film aussi impressionnant que nécessaire.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Il n'y a pas de violence gratuite dans Osama. La seule torture y est morale. (...) Elle entre dans un autre cercle de l'enfer, suggère Siddiq Barmak. En un plan qui, à lui seul, vaut signature d'un grand cinéaste en puissance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
"Les images frappent" : c'est la force et la limite de ce premier long métrage tourné dans le pays depuis la fin des Talibans, et qui est moins un récit que l'empilement brut de visions-chocs. Il n'est pas construit comme une narration mais comme un cauchemar (...).
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Osama parle de cette folie furieuse, il la montre à travers une histoire simple, bercée par les contes de l'enfance, mise en images avec une volonté de séduire parfois trop voyante, une histoire qui fait mal, un film qui fait peur, qui fait se demander ce qu'il en est là-bas aujourd'hui et ce qu'il en est ailleurs.
MCinéma.com
par Camille Brun
Osama donne foi en l'avenir. Peut-être pas celui de l'Afghanistan, mais celui de Siddiq Barmak, cinéaste qui vient de faire ses preuves.
Première
par Estelle Ruet
Les images de Siddiq Barmak, d'autant plus violentes qu'elles nous renvoient à une actualité récente et longtemps passée sous silence, dénoncent avec force une barbarie sans nom.
TéléCinéObs
par Véronique Le Bris
Unanimement salué - et à juste titre - pour sa hardiesse et son courage, Siddiq Barmak a opté pour un parti pris scénaristique étrange, mélangeant un fond quasiment documentaire (très réussi) à une petite histoire qui ne s'intègre pas toujours très bien à ce qu'il dénonce.
aVoir-aLire.com
par Sébastien Tong
Premier film afghan tourné depuis la chute du régime taliban, Osama sonne comme un électrochoc tant pour la dureté de ses images que par le destin tragique de son personnage central. Le cinéaste Siddiq Barmak, qui servit sous les ordres du regretté Massoud (...), y dissèque sans concessions ni larmoiements les rouages d'un système insensé et barbare.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Son souci de parsemer de belles images cette dénonciation de la terreur crée une confusion : Osama a-t-il besoin de plans décoratifs pour fustiger la barbarie des talibans ? (...) Osama fait partie de ces films dont l'importance se mesure surtout au geste politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sur l'obscurantisme des talibans, un film démonstratif et édifiant.
Aden
La réussite du film est là : utiliser la fiction pour nous permettre de ressentir intimement la réalité. Une réalité faite d'angoisse et d'une condamnation sans appel de la condition féminine. Au coeur de laquelle Siddiq Barmak inscrit la trajectoire d'une enfant, symbole de la tragédie de toutes les femmes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Stupidement, on oubliait qu'un tel projet pouvait aboutir sur du cinéma et du grand. La beauté de la mise en scène, le travail sonore, la justesse de l'actrice, tout nous le rappelle à chaque instant. L'évidence surgit alors, Osama est un film somptueux, irréprochable, immanquable.
Fluctuat.net
Le film prouve à lui seul que le temps de l'image interdite est bien révolu, et fait partie d'un passé qu'on peut mettre à distance. Siddiq Barmak, grâce à ce cinéma afghan qu'il n'a cessé de défendre (président de l'Afghan Film Organization de 1992 à 1996, puis à son retour d'exil), montre à son pays et au monde qu'on peut renaître de ses cendres.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Siddiq a pu réaliser une oeuvre profondément afghane : un cri venu du fond de la barbarie, tel est le corps torturé d'une petite fille nommée Osama.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
C'est une chose de voir que des hommes obligent des femmes, réduites à l'état de fantôme, à porter une burqa ; c'en est une autre que de se projeter une heure trente sous cette burqa et d'étouffer à son tour jusqu'à en crever. Voilà pourquoi Osama est un film aussi impressionnant que nécessaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Il n'y a pas de violence gratuite dans Osama. La seule torture y est morale. (...) Elle entre dans un autre cercle de l'enfer, suggère Siddiq Barmak. En un plan qui, à lui seul, vaut signature d'un grand cinéaste en puissance.
Cahiers du Cinéma
"Les images frappent" : c'est la force et la limite de ce premier long métrage tourné dans le pays depuis la fin des Talibans, et qui est moins un récit que l'empilement brut de visions-chocs. Il n'est pas construit comme une narration mais comme un cauchemar (...).
L'Obs
Osama parle de cette folie furieuse, il la montre à travers une histoire simple, bercée par les contes de l'enfance, mise en images avec une volonté de séduire parfois trop voyante, une histoire qui fait mal, un film qui fait peur, qui fait se demander ce qu'il en est là-bas aujourd'hui et ce qu'il en est ailleurs.
MCinéma.com
Osama donne foi en l'avenir. Peut-être pas celui de l'Afghanistan, mais celui de Siddiq Barmak, cinéaste qui vient de faire ses preuves.
Première
Les images de Siddiq Barmak, d'autant plus violentes qu'elles nous renvoient à une actualité récente et longtemps passée sous silence, dénoncent avec force une barbarie sans nom.
TéléCinéObs
Unanimement salué - et à juste titre - pour sa hardiesse et son courage, Siddiq Barmak a opté pour un parti pris scénaristique étrange, mélangeant un fond quasiment documentaire (très réussi) à une petite histoire qui ne s'intègre pas toujours très bien à ce qu'il dénonce.
aVoir-aLire.com
Premier film afghan tourné depuis la chute du régime taliban, Osama sonne comme un électrochoc tant pour la dureté de ses images que par le destin tragique de son personnage central. Le cinéaste Siddiq Barmak, qui servit sous les ordres du regretté Massoud (...), y dissèque sans concessions ni larmoiements les rouages d'un système insensé et barbare.
Le Monde
Son souci de parsemer de belles images cette dénonciation de la terreur crée une confusion : Osama a-t-il besoin de plans décoratifs pour fustiger la barbarie des talibans ? (...) Osama fait partie de ces films dont l'importance se mesure surtout au geste politique.
Les Inrockuptibles
Sur l'obscurantisme des talibans, un film démonstratif et édifiant.