Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Il y a une fulgurance politique qui donne à ce film doux, dont le temps épouse celui du matériau initial (les cartes postales, images fixes d'une histoire mouvementée), une force impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) No pasaran nous prend par la main sans jamais la lâcher. La candeur, l'hébétude dont il se joue, est en cela géniale : sur le fil de cette voix off qui n'affirme aucun discours dominant naît une pluie de questions vives : quand peut-on dire qu'une séquence est finie ? Comment ça communique, deux images ?
(...) Henri-François Imbert échappe à l'exploration nostalgique. No pasarán, c'est la guerre d'Espagne, mais aussi, par écho, tous les camps du monde, tous les engagements politiques déviés, toutes les familles auxquelles l'histoire a arraché un de ses membres... et, évidemment, la France de Sangatte.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) un exercice très subtil de mise en relation entre des images par nature opaques et la parole qui les éclaire dans leur cheminement vers notre conscience.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
A la fois travail sur l'Histoire, sur la mémoire et sur les liens avec le présent (le film fait un parallèle avec les réfugiés de Sangatte), NO PASARAN est aussi le fruit d'une démarche cinématographique originale. Un album " à feuilleter " d'urgence.
Parcellaire, No pasaran entraîne avec douceur dans son enquête subjective. Progressivement, les témoignages (rares) et les parallèles avec l'actualité sinistre du côté de Sangatte trouvent harmonieusement leur place dans ce beau film sobre et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
Il y a une fulgurance politique qui donne à ce film doux, dont le temps épouse celui du matériau initial (les cartes postales, images fixes d'une histoire mouvementée), une force impressionnante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) No pasaran nous prend par la main sans jamais la lâcher. La candeur, l'hébétude dont il se joue, est en cela géniale : sur le fil de cette voix off qui n'affirme aucun discours dominant naît une pluie de questions vives : quand peut-on dire qu'une séquence est finie ? Comment ça communique, deux images ?
Télérama
No pasarán, album souvenir est un constat magnifique et implacable sur la faute par inadvertance, le péché par omission.
Zurban
De la photo au cinéma, de l'événement à la tragédie historique, la trajectoire est passionnante.
Aden
(...) Henri-François Imbert échappe à l'exploration nostalgique. No pasarán, c'est la guerre d'Espagne, mais aussi, par écho, tous les camps du monde, tous les engagements politiques déviés, toutes les familles auxquelles l'histoire a arraché un de ses membres... et, évidemment, la France de Sangatte.
Le Monde
(...) un exercice très subtil de mise en relation entre des images par nature opaques et la parole qui les éclaire dans leur cheminement vers notre conscience.
MCinéma.com
A la fois travail sur l'Histoire, sur la mémoire et sur les liens avec le présent (le film fait un parallèle avec les réfugiés de Sangatte), NO PASARAN est aussi le fruit d'une démarche cinématographique originale. Un album " à feuilleter " d'urgence.
Première
Parcellaire, No pasaran entraîne avec douceur dans son enquête subjective. Progressivement, les témoignages (rares) et les parallèles avec l'actualité sinistre du côté de Sangatte trouvent harmonieusement leur place dans ce beau film sobre et sensible.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com