Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) étonnante création cinématographique dont l'élément fondateur est le jaillissement de la parole.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Emile Breton
(...) le plus merveilleux ici, c'est le sérieux avec lequel sont traités ces contes de fées. Sérieux non dénué d'un humour qui n'est jamais, bien au contraire, prise de distance ou ironie, mais face à face du cinéaste avec ce qui appartient à un autre monde que celui que le cinéma a pour vocation d'enregistrer : le " réel ".
Libération
par Didier Péron
On ne sait plus faire le départ du vrai et du faux, de la distance facétieuse et de l'adhésion mystique, du fait et du rêve. Le film s'amplifie, du jeu de rôles médiéval à l'étude d'un conflit très ancien, la crise ou la tension entre l'exprimé et l'inexprimable et la manière dont le cinéma conspire à organiser en une sorte de communauté magique les choses du visible et leur revers immatériel.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Témoin d'un cinéma de pure croyance, le film d'Eugène Green avance selon une ligne de conduite têtue : éthique de la discussion, éloge de l'accord verbal filmé jusque dans ses extrêmités les plus sacralisées - la promesse tenue d'une résurrection, à la condition de croire davantage au verbe qu'à la chair - s'y déploient sur un mode joyeusement volontariste.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le Monde vivant, récit picaresque minimaliste en forme de conte médiéval, poursuit sur un mode très ludique la réflexion sur quelques fondamentaux de l'expression cinématographique (l'incarnation, la parole, la croyance).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Eugène Green donne à ce récit légendaire la force de l'évidence. Tout a un éclat et une fraîcheur merveilleux, dans ce " monde vivant " animé par des énergies naturelles et des souffles surnaturels. Tout respire et tout palpite, drôle, imprévu, gracieux. Le charme opère.
Le Monde
par Isabelle Régnier
En faisant de la parole le lieu d'une vérité transcendante, Eugène Green réaffirme une croyance dans le cinéma parlant dont le maniérisme avait fait son deuil.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Eugène Green n'impose pas son monde, son film est plutôt une proposition, celle de se prendre au jeu, proche d'une invitation à danser un menuet malicieux qui intervertirait les partenaires et ferait ainsi alterner les couples.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le Monde Vivant s'attaque à un sujet tout bonnement énorme : celui de la représentation cinématographique. Et rappelle (...) que le cinéma n'est qu'une question de convention (...) De façon assez étonnante, la démonstration se révèle à la fois loufoque, poétique et efficace.
Télérama
par François Gorin
(...) une spontanéité poétique fruit non du hasard mais d'un travail tout à fait concerté, unique en son genre (...) Eugène Green entretient avec le cinéma le même rapport que ses jeunes gens avec l'objet de leur flamme : passionné et courtois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) Le Monde vivant peut ennuyer ou agacer les spectateurs en attente d'action et de magie merveilleuse. Soit on marche, soit on saute en cours de route. A vous de voir.
Première
par Sophie Grassin
La distanciation dont font preuve les quatre acteurs ainsi que le recours quasi systématique aux plans fixes peuvent laisser (très, très) froid, mais l'humour du texte - et ses imparfaits du subjonctif casse-gueule - fait parfois mouche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
C'est peu dire que Green semble influencé par Bresson (...) Mais, alors que Bresson est troué par la transcendance et réussit à composer une matière plastique vibrante, les films de Green créent un système clos qui tourne à vide et n'évoque qu'une ritournelle maniériste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
(...) étonnante création cinématographique dont l'élément fondateur est le jaillissement de la parole.
L'Humanité
(...) le plus merveilleux ici, c'est le sérieux avec lequel sont traités ces contes de fées. Sérieux non dénué d'un humour qui n'est jamais, bien au contraire, prise de distance ou ironie, mais face à face du cinéaste avec ce qui appartient à un autre monde que celui que le cinéma a pour vocation d'enregistrer : le " réel ".
Libération
On ne sait plus faire le départ du vrai et du faux, de la distance facétieuse et de l'adhésion mystique, du fait et du rêve. Le film s'amplifie, du jeu de rôles médiéval à l'étude d'un conflit très ancien, la crise ou la tension entre l'exprimé et l'inexprimable et la manière dont le cinéma conspire à organiser en une sorte de communauté magique les choses du visible et leur revers immatériel.
Cahiers du Cinéma
Témoin d'un cinéma de pure croyance, le film d'Eugène Green avance selon une ligne de conduite têtue : éthique de la discussion, éloge de l'accord verbal filmé jusque dans ses extrêmités les plus sacralisées - la promesse tenue d'une résurrection, à la condition de croire davantage au verbe qu'à la chair - s'y déploient sur un mode joyeusement volontariste.
Chronic'art.com
Le Monde vivant, récit picaresque minimaliste en forme de conte médiéval, poursuit sur un mode très ludique la réflexion sur quelques fondamentaux de l'expression cinématographique (l'incarnation, la parole, la croyance).
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Eugène Green donne à ce récit légendaire la force de l'évidence. Tout a un éclat et une fraîcheur merveilleux, dans ce " monde vivant " animé par des énergies naturelles et des souffles surnaturels. Tout respire et tout palpite, drôle, imprévu, gracieux. Le charme opère.
Le Monde
En faisant de la parole le lieu d'une vérité transcendante, Eugène Green réaffirme une croyance dans le cinéma parlant dont le maniérisme avait fait son deuil.
Les Inrockuptibles
Eugène Green n'impose pas son monde, son film est plutôt une proposition, celle de se prendre au jeu, proche d'une invitation à danser un menuet malicieux qui intervertirait les partenaires et ferait ainsi alterner les couples.
TéléCinéObs
Le Monde Vivant s'attaque à un sujet tout bonnement énorme : celui de la représentation cinématographique. Et rappelle (...) que le cinéma n'est qu'une question de convention (...) De façon assez étonnante, la démonstration se révèle à la fois loufoque, poétique et efficace.
Télérama
(...) une spontanéité poétique fruit non du hasard mais d'un travail tout à fait concerté, unique en son genre (...) Eugène Green entretient avec le cinéma le même rapport que ses jeunes gens avec l'objet de leur flamme : passionné et courtois.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
(...) Le Monde vivant peut ennuyer ou agacer les spectateurs en attente d'action et de magie merveilleuse. Soit on marche, soit on saute en cours de route. A vous de voir.
Première
La distanciation dont font preuve les quatre acteurs ainsi que le recours quasi systématique aux plans fixes peuvent laisser (très, très) froid, mais l'humour du texte - et ses imparfaits du subjonctif casse-gueule - fait parfois mouche.
Positif
C'est peu dire que Green semble influencé par Bresson (...) Mais, alors que Bresson est troué par la transcendance et réussit à composer une matière plastique vibrante, les films de Green créent un système clos qui tourne à vide et n'évoque qu'une ritournelle maniériste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com