Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
La plus fascinante des îles du film, c'est bien ce piège de filets ocres lestés par des blocs de tuf : L'Isola tourne autour de cet îlot documentaire par lequel le film prend tout son sens.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Vincent Malausa
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
On ne se lasse pas de la beauté simple, sans débordements lyriques, de cette chronique solaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Florence Colombani
Parce qu'il est tout absorbé par le projet de capter ces fragments de vie, le film manque sans doute de tension, de charpente. Mais cela n'importe guère au regard de la justesse du ton. (...) Il n'est guère étonnant que L'Isola ait remporté le prix Cicae jeune public: sa beauté gauche, contardictoire est bien celle de la jeunesse.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"L'Ile" prouve qu'il existe en Italie, à côté des daubes commerciales et informes qu'on tente de nous refourguer régulièrement, des films réalisés par de jeunes cinéastes qui travaillent avec patience, modestie et ambition à décrire le monde tel qu'il est.
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Héritière de Rossellini et de Olmi, Costanza Quatriglio, 31 ans, affiche dès sa première fiction une intelligence et un savoir-faire remarquables. On peut emmener ses enfants.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Jean A. Gili
"L'Île" est un premier film prometteur, un film de femme à la poésie frémissante dans une cinématographie où les réalisatrices ont du mal à se frayer un chemin.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Remettre à la mode les documentaires romancés, tels que les concevaient, à la fin des années 40, Visconti ou Antonioni débutants, soit. A condition de ne pas sombrer dans un esthétisme de carte postale et un lyrisme de roman de gare.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Olivier Lemaire
Là où "Respiro" parvenait à faire décoller un élan poétique, "L'Isola" reste ancré dans une réalité triste et une langueur parfois un peu paralysante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
La plus fascinante des îles du film, c'est bien ce piège de filets ocres lestés par des blocs de tuf : L'Isola tourne autour de cet îlot documentaire par lequel le film prend tout son sens.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
On ne se lasse pas de la beauté simple, sans débordements lyriques, de cette chronique solaire.
Le Monde
Parce qu'il est tout absorbé par le projet de capter ces fragments de vie, le film manque sans doute de tension, de charpente. Mais cela n'importe guère au regard de la justesse du ton. (...) Il n'est guère étonnant que L'Isola ait remporté le prix Cicae jeune public: sa beauté gauche, contardictoire est bien celle de la jeunesse.
Les Inrockuptibles
"L'Ile" prouve qu'il existe en Italie, à côté des daubes commerciales et informes qu'on tente de nous refourguer régulièrement, des films réalisés par de jeunes cinéastes qui travaillent avec patience, modestie et ambition à décrire le monde tel qu'il est.
TéléCinéObs
Héritière de Rossellini et de Olmi, Costanza Quatriglio, 31 ans, affiche dès sa première fiction une intelligence et un savoir-faire remarquables. On peut emmener ses enfants.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
"L'Île" est un premier film prometteur, un film de femme à la poésie frémissante dans une cinématographie où les réalisatrices ont du mal à se frayer un chemin.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Remettre à la mode les documentaires romancés, tels que les concevaient, à la fin des années 40, Visconti ou Antonioni débutants, soit. A condition de ne pas sombrer dans un esthétisme de carte postale et un lyrisme de roman de gare.
Première
Là où "Respiro" parvenait à faire décoller un élan poétique, "L'Isola" reste ancré dans une réalité triste et une langueur parfois un peu paralysante.