Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Aucune explication n'est donnée aux crimes de cet être apparemment sain d'esprit, ce qui renforce l'étrangeté du film, qui nous travaille longtemps après l'avoir vu.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avec son air gauche et un peu suffisant d'oeuvre de jeunesse, Las Horas del dia éveille en tout cas la curiosité à l'égard d'un cinéaste débutant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Les Heures du jour nous laisse seuls avec notre pensée face à ces crimes inexpliqués, face à ce personnage opaque, face à nous-mêmes. Et devant un nouveau cinéaste à suivre.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) le seul autre assassin auquel on pense devant Les Heures du jour n'est pas de ces bouchers de l'écran : c'est l'atypique et fascinant héros du fameux roman de Patrick Süskind, Le Parfum. L'insaisissable, l'invisible. Tout rend ce film superbement entêtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Un film glacé n'ayant qu'une seule interrogation (à la limite de la certitude ?) : Sommes-nous tous des assassins ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ne fait pas Elephant qui veut, mais ce premier film convertit à sa manière -ouvertement néoréaliste- le pourquoi en comment par un traitement du temps déceptif.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Antoine de Baecque
Remarqué au dernier festival de Cannes, lors de la Quinzaine des réalisateurs, le premier film de Jaime Rosales semble confirmer l'existence d'une "école catalane du regard".
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Etrange expérience que d'être spectateur des Heures du jour. On tombe dans l'ennui petit à petit jusqu'à l'électrochoc du premier meurtre, entre torpeur et horreur... pour un voyage en enfer qui n'en a pas l'air.
Première
par Olivier Lemaire
Avec le regard distancié d'une étude, le film parvient à déceler l'anormalité dans l'apparence la plus banale.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
(...) le réalisateur espagnol jette sur l'humanité un regard cruel. Quand son film s'achève, on s'en extrait comme d'un mauvais rêve.
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
(...) insister durant 1h49 sur la banalité du quotidien comme de l'horreur, c'est également prendre le risque de provoquer une lassitude que n'évite pas un jeu d'acteurs tout en nuances. Certains spectateurs pourront se sentir interpellés, d'autres pourraient périr d'ennui.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Pour paraphraser le cinéma de Rosales, soyons simple, épuré et objectif : le film est nul, mais les acteurs sont bons.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Aucune explication n'est donnée aux crimes de cet être apparemment sain d'esprit, ce qui renforce l'étrangeté du film, qui nous travaille longtemps après l'avoir vu.
Le Monde
Avec son air gauche et un peu suffisant d'oeuvre de jeunesse, Las Horas del dia éveille en tout cas la curiosité à l'égard d'un cinéaste débutant.
Les Inrockuptibles
Les Heures du jour nous laisse seuls avec notre pensée face à ces crimes inexpliqués, face à ce personnage opaque, face à nous-mêmes. Et devant un nouveau cinéaste à suivre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) le seul autre assassin auquel on pense devant Les Heures du jour n'est pas de ces bouchers de l'écran : c'est l'atypique et fascinant héros du fameux roman de Patrick Süskind, Le Parfum. L'insaisissable, l'invisible. Tout rend ce film superbement entêtant.
Aden
Un film glacé n'ayant qu'une seule interrogation (à la limite de la certitude ?) : Sommes-nous tous des assassins ?
Cahiers du Cinéma
Ne fait pas Elephant qui veut, mais ce premier film convertit à sa manière -ouvertement néoréaliste- le pourquoi en comment par un traitement du temps déceptif.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Remarqué au dernier festival de Cannes, lors de la Quinzaine des réalisateurs, le premier film de Jaime Rosales semble confirmer l'existence d'une "école catalane du regard".
MCinéma.com
Etrange expérience que d'être spectateur des Heures du jour. On tombe dans l'ennui petit à petit jusqu'à l'électrochoc du premier meurtre, entre torpeur et horreur... pour un voyage en enfer qui n'en a pas l'air.
Première
Avec le regard distancié d'une étude, le film parvient à déceler l'anormalité dans l'apparence la plus banale.
TéléCinéObs
(...) le réalisateur espagnol jette sur l'humanité un regard cruel. Quand son film s'achève, on s'en extrait comme d'un mauvais rêve.
aVoir-aLire.com
(...) insister durant 1h49 sur la banalité du quotidien comme de l'horreur, c'est également prendre le risque de provoquer une lassitude que n'évite pas un jeu d'acteurs tout en nuances. Certains spectateurs pourront se sentir interpellés, d'autres pourraient périr d'ennui.
Chronic'art.com
Pour paraphraser le cinéma de Rosales, soyons simple, épuré et objectif : le film est nul, mais les acteurs sont bons.