Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Libération
par Philippe Azoury
Les Yeux secs est le premier coup de force d'une cinéaste d'une trentaine d'années, soit une double rareté dans un cinéma marocain quasi réservé aux hommes et à une génération plus expérimentée.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En prenant ses distances avec un cinéma manifeste, en osant à la fois une poésie sobre et un romanesque dénué de tout lyrisme, la cinéaste marocaine signe une oeuvre poignante et revendicatrice, inspirée de faits réels.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
La force de ce drame réside aussi dans la beauté profonde et dure de son héroïne, jouée par Siham Assif, qui tient son premier rôle au cinéma. Par sa prestation impeccable, elle apporte la sobriété indispensable au récit.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot
Le réquisitoire féministe de la Marocaine Narjiss Nejjar est un modèle d'humanité et de sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Tout le film est empreint d'une poésie appuyée, très décorative, qui, pour être sincère, laisse les yeux secs.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'ambiguïté de ce genre de "film de festival" décrivant une situation cruelle, c'est qu'il fait en même temps dans le symbolisme pictural, le pittoresque tragique (comme chez Samira Makhmalbaf, par exemple).
Première
par Nicolas Schaller
Exploitant avec grâce la beauté picturale de son pays, (...) Narjiss Nejjar impose un vrai regard par son travail sur le hors-champ, les clairs-obscurs et les mouvements des corps. Du coup, sa tendance à étirer son film et à verser par moments dans la surenchère contemplative apparaît comme des péchés de jeunesse qu'on lui pardonne sans problème.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Dans le champ dévasté des cinémas maghrébins, Les yeux Secs impose une richesse visuelle peu commune. Très vite cependant, le récit de cette malédiction ancestrale (...) fait revenir au galop graisse mélodramatique et romanesque convenu. (...) Mise en scène du refoulé, envers et contre tout tabou, la machine de guerre de Narjiss Nejjar s'emballe et se détraque.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Quand l'esthétisme exploite la souffrance.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le village en question existe réellement au Maroc. Narjiss Nejjar en a fait un film dans lequel elle ne lésine pas sur les symboles : champs de piquets coiffés des voiles rouges de vierges, purification par la neige. Au service d'une compassion bien intentionnée, composés comme une publicité pour lessive, ils nourrissent un pathos difficilement soutenable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
Les Yeux secs est le premier coup de force d'une cinéaste d'une trentaine d'années, soit une double rareté dans un cinéma marocain quasi réservé aux hommes et à une génération plus expérimentée.
L'Obs
En prenant ses distances avec un cinéma manifeste, en osant à la fois une poésie sobre et un romanesque dénué de tout lyrisme, la cinéaste marocaine signe une oeuvre poignante et revendicatrice, inspirée de faits réels.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
La force de ce drame réside aussi dans la beauté profonde et dure de son héroïne, jouée par Siham Assif, qui tient son premier rôle au cinéma. Par sa prestation impeccable, elle apporte la sobriété indispensable au récit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le réquisitoire féministe de la Marocaine Narjiss Nejjar est un modèle d'humanité et de sobriété.
Aden
Tout le film est empreint d'une poésie appuyée, très décorative, qui, pour être sincère, laisse les yeux secs.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
L'ambiguïté de ce genre de "film de festival" décrivant une situation cruelle, c'est qu'il fait en même temps dans le symbolisme pictural, le pittoresque tragique (comme chez Samira Makhmalbaf, par exemple).
Première
Exploitant avec grâce la beauté picturale de son pays, (...) Narjiss Nejjar impose un vrai regard par son travail sur le hors-champ, les clairs-obscurs et les mouvements des corps. Du coup, sa tendance à étirer son film et à verser par moments dans la surenchère contemplative apparaît comme des péchés de jeunesse qu'on lui pardonne sans problème.
Cahiers du Cinéma
Dans le champ dévasté des cinémas maghrébins, Les yeux Secs impose une richesse visuelle peu commune. Très vite cependant, le récit de cette malédiction ancestrale (...) fait revenir au galop graisse mélodramatique et romanesque convenu. (...) Mise en scène du refoulé, envers et contre tout tabou, la machine de guerre de Narjiss Nejjar s'emballe et se détraque.
L'Humanité
Quand l'esthétisme exploite la souffrance.
Le Monde
Le village en question existe réellement au Maroc. Narjiss Nejjar en a fait un film dans lequel elle ne lésine pas sur les symboles : champs de piquets coiffés des voiles rouges de vierges, purification par la neige. Au service d'une compassion bien intentionnée, composés comme une publicité pour lessive, ils nourrissent un pathos difficilement soutenable.