Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Télérama
par Marine Landrot
La naïveté n'a pas droit de cité chez Mamad Haghighat. Amer et désabusé, il dissèque simplement une tentative de prise de pouvoir. Celle de l'innocence et de la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
[Mamad Haghighat] n'a pas seulement brossé un portrait de l'Iran d'aujourd'hui : par l'omniprésence de la musique traditionnelle persane, par la citation d'un poème du XIIIe siècle, et par la multiplication des allusions aux anges (...), il ancre son premier long métrage dans une sorte d'atemporalité mythique.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Deux Anges est un beau poème, un hymne à la tolérance, à la vie, à la liberté dans lequel souffle la magie du nêy.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ange exterminateur contre ange miséricordieux, grande ville culturelle contre petite ville sainte, art contre fanatisme, ces oppositions simples construisent une partition musicale binaire, mais généreuse, parce que jamais manichéenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Mamad Haghighat a osé traiter du rigorisme d'une certaine société iranienne, et livre au final une ode à l'amour et à la musique qui se termine par un poème persan de toute beauté.
Positif
par Pascal Sennequier
A côté de la veine plus cérébrale d'un Kiarostami, Deux anges, par sa poésie enchanteresse, confirme (...) le caractère enjoué et malicieux de peuples qui ne demandent qu'à suivre les mélodies enivrantes de quelques dieu Pan oriental.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Deux Anges attire immédiatement la sympathie, de par sa facture très modeste, la faible atonie de son découpage, la naïveté, en un mot, de sa forme et du moindre de ses plans. Une naïveté à double tranchant, où l'humble candeur du filmage menace à tout instant de faire s'écrouler le fragile édifice...
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Olivier de Bruyn
Si le cinéaste néophyte cède parfois à l'insistance symbolique, Deux Anges contient de nombreuses scènes inspirées et fait preuve d'une louable modestie dans le traitement de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Eric Quéméré
Dommage que la sincérité de son propos soit souvent affaiblie par la maladresse du traitement, et ce malgré la fraîcheur de deux jeunes protagonistes attachants.
Télérama
La naïveté n'a pas droit de cité chez Mamad Haghighat. Amer et désabusé, il dissèque simplement une tentative de prise de pouvoir. Celle de l'innocence et de la liberté.
Aden
[Mamad Haghighat] n'a pas seulement brossé un portrait de l'Iran d'aujourd'hui : par l'omniprésence de la musique traditionnelle persane, par la citation d'un poème du XIIIe siècle, et par la multiplication des allusions aux anges (...), il ancre son premier long métrage dans une sorte d'atemporalité mythique.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Deux Anges est un beau poème, un hymne à la tolérance, à la vie, à la liberté dans lequel souffle la magie du nêy.
Le Monde
Ange exterminateur contre ange miséricordieux, grande ville culturelle contre petite ville sainte, art contre fanatisme, ces oppositions simples construisent une partition musicale binaire, mais généreuse, parce que jamais manichéenne.
MCinéma.com
Mamad Haghighat a osé traiter du rigorisme d'une certaine société iranienne, et livre au final une ode à l'amour et à la musique qui se termine par un poème persan de toute beauté.
Positif
A côté de la veine plus cérébrale d'un Kiarostami, Deux anges, par sa poésie enchanteresse, confirme (...) le caractère enjoué et malicieux de peuples qui ne demandent qu'à suivre les mélodies enivrantes de quelques dieu Pan oriental.
Cahiers du Cinéma
Deux Anges attire immédiatement la sympathie, de par sa facture très modeste, la faible atonie de son découpage, la naïveté, en un mot, de sa forme et du moindre de ses plans. Une naïveté à double tranchant, où l'humble candeur du filmage menace à tout instant de faire s'écrouler le fragile édifice...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Si le cinéaste néophyte cède parfois à l'insistance symbolique, Deux Anges contient de nombreuses scènes inspirées et fait preuve d'une louable modestie dans le traitement de son sujet.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Dommage que la sincérité de son propos soit souvent affaiblie par la maladresse du traitement, et ce malgré la fraîcheur de deux jeunes protagonistes attachants.