Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Pascal Sennequier
(...) l'un des premiers films les plus audacieux et novateurs de ces dernières années, tant sur la plan narratif (...) que sur le plan esthétique, le metteur en scène ayant développé avec l'équipe qu'il a rencontrée pendant ses études un univers fantasmagorique d'une grande richesse visuelle et sonore, qui contribue pour beaucoup au charme insolite de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Si, dès les premiers instants, l'un des protagonistes (...) paraît nous dévoiler la règle en soutenant l'architecture labyrinthique et vertigineuse du film, on reste séduit jusqu'à la fin.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Michaël Mélinard
C'est paradoxalement dans cette oeuvre stylisée, où l'auteur retravaille les images à l'instar d'un tableau sur lequel les différentes couches de peinture s'amoncellent, créant ainsi une distance avec le réel, qu'il trouve de manière éclatante une étonnante proximité avec la vie.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
Pour son premier long métrage, le Danois Christoffer Boe joue avec le spectateur. Voici un puzzle : à construire, déconstruire, reconstruire. Vous aimez ça ? Tant mieux : le film compte beaucoup sur ses effets. Il oublie juste un peu vite ses joueurs.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Avec un certain machiavélisme, le Danois Christoffer Boe, doué pour la manipulation, réinvente une façon de filmer une histoire d'amour. La construction du film est originale et mystérieuse. Et le récit, ancré dans la réalité, frôle sans arrêt le fantastique.
MCinéma.com
par Camille Brun
(Le) film ne raconte pas grand-chose, mais le fait de manière prétentieuse et irritante. Difficile de ne pas s'agacer devant ces tics qui cachent toute forme de psychologie ou d'émotion, noient chaque petit moment qui nous était sympathique, et nous empêche de nous attacher aux personnages.
Première
par Hugo Deschamps
(...) Un grand film adulte, triste, lyrique et envoûtant, qui imprime (...) son ton, son style et son regard sur un monde parallèle : l'histoire d'amour en train de s'écrire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Isabelle Fajardo
Reconstruction est un bel exercice de style (on appréciera la façon dont la voix off devance l'histoire, ou l'utilisation de photos satellite pour situer les personnages dans la ville), qui nous ouvre les portes d'une autre dimension, froide et comique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Carlat
Le film est trop tout : le propos est trop cérébral, Boe fait trop étalage de ses talents techniques, parfois au détriment de l'histoire. Mais Reconstruction n'en demeure pas moins un film réussi, et probablement le porte-drapeau de la nouvelle vague, post-Dogme, du cinéma danois.
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
Les circonvolutions du scénario reconduiront toujours au même cul-de-sac : le schéma de l'amour "en soi". De cette triste formule, le scénario explore les possibilités jusqu'à assèchement.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Philippe Azoury
Déjà frappées d'embaumement, les images de Boe roulent comme en circuit fermé, et il faudrait fournir au spectateur, qui serait tenté par une éventuelle plongée en apnée, un masque à oxygène pour régulièrement alimenter ses poumons de ce souffle de vie qui manque cruellement au film.
Positif
(...) l'un des premiers films les plus audacieux et novateurs de ces dernières années, tant sur la plan narratif (...) que sur le plan esthétique, le metteur en scène ayant développé avec l'équipe qu'il a rencontrée pendant ses études un univers fantasmagorique d'une grande richesse visuelle et sonore, qui contribue pour beaucoup au charme insolite de l'ensemble.
TéléCinéObs
Si, dès les premiers instants, l'un des protagonistes (...) paraît nous dévoiler la règle en soutenant l'architecture labyrinthique et vertigineuse du film, on reste séduit jusqu'à la fin.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
C'est paradoxalement dans cette oeuvre stylisée, où l'auteur retravaille les images à l'instar d'un tableau sur lequel les différentes couches de peinture s'amoncellent, créant ainsi une distance avec le réel, qu'il trouve de manière éclatante une étonnante proximité avec la vie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Pour son premier long métrage, le Danois Christoffer Boe joue avec le spectateur. Voici un puzzle : à construire, déconstruire, reconstruire. Vous aimez ça ? Tant mieux : le film compte beaucoup sur ses effets. Il oublie juste un peu vite ses joueurs.
Le Figaroscope
Avec un certain machiavélisme, le Danois Christoffer Boe, doué pour la manipulation, réinvente une façon de filmer une histoire d'amour. La construction du film est originale et mystérieuse. Et le récit, ancré dans la réalité, frôle sans arrêt le fantastique.
MCinéma.com
(Le) film ne raconte pas grand-chose, mais le fait de manière prétentieuse et irritante. Difficile de ne pas s'agacer devant ces tics qui cachent toute forme de psychologie ou d'émotion, noient chaque petit moment qui nous était sympathique, et nous empêche de nous attacher aux personnages.
Première
(...) Un grand film adulte, triste, lyrique et envoûtant, qui imprime (...) son ton, son style et son regard sur un monde parallèle : l'histoire d'amour en train de s'écrire.
Télérama
Reconstruction est un bel exercice de style (on appréciera la façon dont la voix off devance l'histoire, ou l'utilisation de photos satellite pour situer les personnages dans la ville), qui nous ouvre les portes d'une autre dimension, froide et comique.
aVoir-aLire.com
Le film est trop tout : le propos est trop cérébral, Boe fait trop étalage de ses talents techniques, parfois au détriment de l'histoire. Mais Reconstruction n'en demeure pas moins un film réussi, et probablement le porte-drapeau de la nouvelle vague, post-Dogme, du cinéma danois.
Cahiers du Cinéma
Les circonvolutions du scénario reconduiront toujours au même cul-de-sac : le schéma de l'amour "en soi". De cette triste formule, le scénario explore les possibilités jusqu'à assèchement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Déjà frappées d'embaumement, les images de Boe roulent comme en circuit fermé, et il faudrait fournir au spectateur, qui serait tenté par une éventuelle plongée en apnée, un masque à oxygène pour régulièrement alimenter ses poumons de ce souffle de vie qui manque cruellement au film.