Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
L'apparition d'une verrue (Arimpara) sur le menton de Krishnanummi (Nedumudi Venu) déclenche une spirale cauchemardesque. Arimpara a une réelle dimension de fable cocasse et cruelle.
Aden
par La rédaction
Un conte fantastique qui va crescendo dans la noirceur, par le réalisateur indien du Trône de la mort, primé à Cannes d'une Caméra d'or en 1999.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Arimpara oscille de façon étonnante entre fantastique et réalisme. Une allégorie incarnée, poétique et humoristique.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Le nouveau film de Murali Nair impose d'emblée la beauté de la luxuriante campagne du Kerala. La fin prend une tournure fantastique, aussi paisible que cruelle, et ouvre cette fable aux plus mystérieuses interprétations.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ainsi périssent, allégoriquement, ceux qui n'opposent pas de résistance au pouvoir politique ou religieux. Le message tombe à pic, mais sa portée est réduite par la mise en scène, qui cède à l'illustration naïve. La verrue est plus cocasse que troublante, et la parabole a des allures de conte pour enfants. Arimpara n'a pas de mal à faire, malgré tout, un drôle d'effet. Un film qui a un grain, et une certaine beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par La rédaction
Le style de Murali Nair n'est pas le plus nerveux qu'on connaisse. Il prend son temps. Ainsi passe-on de manière originale d'une première partie réaliste à une seconde cauchemardesque et quasi gore.
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
La métaphore devient pesante car on la comprend rapidement : ce grain de beauté qui grossit parce qu'il n'est soigné que selon les traditions, c'est l'obscurantisme qui se répand quand on refuse la modernité. Le personnage est puni parce que trop buté. L'idée ne s'enrichit pas. Le mal grossit mais le film, lui, ne bouge pas.
Positif
par Eric Derobert
Le récit s'avère parfois parasité par des défauts de cohérence internes (...) Néanmoins, la simplicité des mouvements de caméra, le naturel de la lumière et la subtilité des glissements d'atmosphère favorisent la prégnance de la métaphore - pour ce qui est de son aspect proprement existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Hugo Deschamps
Murali Nair signe une histoire bien barrée, allégorie sur les mondes ancestraux voués à la destruction. La fable politique menace parfois de tourner au grotesque, mais le scénario, plus kafkaïen que cronenberguien, tient finalement debout avec ses beaux plans désenchantés et sa cruauté au quotidien.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
par Florence Colombani
Le spectacle de cette verrue géante est assez pénible pour que l'on souhaite, en vain, que le propos s'étoffe. Une fois que l'on a saisi ce que signifie le cauchemar vécu par Krishnanunni, le film, faute d'une meilleure maîtrise du fantastique, ne réserve plus grand-chose au spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
L'apparition d'une verrue (Arimpara) sur le menton de Krishnanummi (Nedumudi Venu) déclenche une spirale cauchemardesque. Arimpara a une réelle dimension de fable cocasse et cruelle.
Aden
Un conte fantastique qui va crescendo dans la noirceur, par le réalisateur indien du Trône de la mort, primé à Cannes d'une Caméra d'or en 1999.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Arimpara oscille de façon étonnante entre fantastique et réalisme. Une allégorie incarnée, poétique et humoristique.
TéléCinéObs
Le nouveau film de Murali Nair impose d'emblée la beauté de la luxuriante campagne du Kerala. La fin prend une tournure fantastique, aussi paisible que cruelle, et ouvre cette fable aux plus mystérieuses interprétations.
Télérama
Ainsi périssent, allégoriquement, ceux qui n'opposent pas de résistance au pouvoir politique ou religieux. Le message tombe à pic, mais sa portée est réduite par la mise en scène, qui cède à l'illustration naïve. La verrue est plus cocasse que troublante, et la parabole a des allures de conte pour enfants. Arimpara n'a pas de mal à faire, malgré tout, un drôle d'effet. Un film qui a un grain, et une certaine beauté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Le style de Murali Nair n'est pas le plus nerveux qu'on connaisse. Il prend son temps. Ainsi passe-on de manière originale d'une première partie réaliste à une seconde cauchemardesque et quasi gore.
MCinéma.com
La métaphore devient pesante car on la comprend rapidement : ce grain de beauté qui grossit parce qu'il n'est soigné que selon les traditions, c'est l'obscurantisme qui se répand quand on refuse la modernité. Le personnage est puni parce que trop buté. L'idée ne s'enrichit pas. Le mal grossit mais le film, lui, ne bouge pas.
Positif
Le récit s'avère parfois parasité par des défauts de cohérence internes (...) Néanmoins, la simplicité des mouvements de caméra, le naturel de la lumière et la subtilité des glissements d'atmosphère favorisent la prégnance de la métaphore - pour ce qui est de son aspect proprement existentiel.
Première
Murali Nair signe une histoire bien barrée, allégorie sur les mondes ancestraux voués à la destruction. La fable politique menace parfois de tourner au grotesque, mais le scénario, plus kafkaïen que cronenberguien, tient finalement debout avec ses beaux plans désenchantés et sa cruauté au quotidien.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
Le spectacle de cette verrue géante est assez pénible pour que l'on souhaite, en vain, que le propos s'étoffe. Une fois que l'on a saisi ce que signifie le cauchemar vécu par Krishnanunni, le film, faute d'une meilleure maîtrise du fantastique, ne réserve plus grand-chose au spectateur.