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22 critiques presse
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
(...) qu'on ne s'y trompe pas, ce film est bien un petit chef d'oeuvre. Une oeuvre de voyage, universelle et silencieuse, sur notre temps, un temps de proximité distante, de déconnexion à l'autre et d'isolement.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Pascal Mérigaud
Un cinéma de la rencontre, rencontre de deux intelligences et de deux sensibilités, celles du cinéaste et celles du spectateur, un cinéma de communion, qui abat les frontières et fait tomber les murailles.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans un Istanbul hivernal, Nuri Bilge Ceylan observe superbement le gel des sentiments.
Positif
par Alain Masson
Avec Uzak, Nuri Bilge Ceylan dresse le portrait le plus juste, à travers le personnage de Mahmut, de l'homme moderne urbain et solitaire ne sachant pas résister aux sirènes de la facilité et qui, faute d'idéaux forts, voit sa vie comme profondément inutile.
Première
par Olivier De Bruyn
Progressivement, Uzak dévoile sa densité existentielle. La solitude intérieure, la douleur de l'exil, le sentiment inexorable de perte, les relations amoureuses qui s'effilochent, l'incommunicabilité, le film traite ses "grands" thèmes avec une économie de moyens dont seuls sont capables les cinéastes génialement elliptiques.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Dans le moment même où il s'exprime, ce pessimisme en marche est contredit par l'intelligence acérée de Nuri Bilge Ceylan, (...) par le brio de sa mise en scène, à la fois précise et feutrée, par son goût du détail insolite, traqué avec une ironie discrète. Un film triste qui rend heureux, une oeuvre au désespoir radieux, joyeusement communicatif...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Sa beauté contemplative, parfois insolite (la Turquie sous la neige) se place en écho sensitif aux états d'âme, et nous trouble, lentement, profondément.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Uzak déstructure l'espace et mine le temps lui-même : comme si le point de rencontre des personnages n'était que le fruit d'un certain angle de vue.
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
(...) c'est plutôt que la tristesse qui gagne le spectateur, la mélancolie qui sourd des plans et de leur enchaînement semble irrémédiablement venir d'une fondamentale incapacité d'être heureux qui est le grand sujet du film, un grand sujet tout court qu'Uzak traite magnifiquement.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Premier grand film de l'année, Usak, doublement primé à Cannes, est une ouvre exigeante qui impose l'austère rigueur de son écriture.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Ce cinéaste, qui, par quelques plans discrets, rend hommage à Tarkovski et à Yilmaz Guney, est un grand maître.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tourné dans son propre appartement, Uzak fait donc partie d'une entreprise où la fiction et la réalité ne cessent de se nourrir, et qui nous envoie, à l'heure où la Turquie frappe à la porte de l'Europe, des nouvelles d'un pays lointain qui nous est infiniment plus proche qu'on ne le pense.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marc Semo
Bouleversant portrait croisé, oeuvre profondément atypique, Uzak tranche sur le reste du cinéma turc, dominé par le style des séries télés.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par François-Guillaume Lorrain
Cela aurait pu être didactique, compassé ou misérabiliste (...), mais la rigueur et l'humanité du cinéaste transforment chaque scène en un précipité de cruauté et de cocasserie.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Un film sombre, sobre et songulier.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Uzak est un film terriblement ennuyeux et cynique. Nuri Bilge Ceylan semble n'avoir aucune sympathie pour ses protagonistes, des personnages égoïstes auxquels on a le plus grand mal à s'intéresser.
aVoir-aLire.com
par Thomas Carlat
Uzak, en turc, signifie distant, lointain. Et jamais ce mot n'aura aussi bien décrit l'atmosphère générale d'un film, tout autant que la sensation qu'il peut provoquer sur le spectateur.
Fluctuat.net
(...) qu'on ne s'y trompe pas, ce film est bien un petit chef d'oeuvre. Une oeuvre de voyage, universelle et silencieuse, sur notre temps, un temps de proximité distante, de déconnexion à l'autre et d'isolement.
L'Obs
Un cinéma de la rencontre, rencontre de deux intelligences et de deux sensibilités, celles du cinéaste et celles du spectateur, un cinéma de communion, qui abat les frontières et fait tomber les murailles.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Dans un Istanbul hivernal, Nuri Bilge Ceylan observe superbement le gel des sentiments.
Positif
Avec Uzak, Nuri Bilge Ceylan dresse le portrait le plus juste, à travers le personnage de Mahmut, de l'homme moderne urbain et solitaire ne sachant pas résister aux sirènes de la facilité et qui, faute d'idéaux forts, voit sa vie comme profondément inutile.
Première
Progressivement, Uzak dévoile sa densité existentielle. La solitude intérieure, la douleur de l'exil, le sentiment inexorable de perte, les relations amoureuses qui s'effilochent, l'incommunicabilité, le film traite ses "grands" thèmes avec une économie de moyens dont seuls sont capables les cinéastes génialement elliptiques.
Télérama
Dans le moment même où il s'exprime, ce pessimisme en marche est contredit par l'intelligence acérée de Nuri Bilge Ceylan, (...) par le brio de sa mise en scène, à la fois précise et feutrée, par son goût du détail insolite, traqué avec une ironie discrète. Un film triste qui rend heureux, une oeuvre au désespoir radieux, joyeusement communicatif...
Aden
Sa beauté contemplative, parfois insolite (la Turquie sous la neige) se place en écho sensitif aux états d'âme, et nous trouble, lentement, profondément.
Cahiers du Cinéma
Uzak déstructure l'espace et mine le temps lui-même : comme si le point de rencontre des personnages n'était que le fruit d'un certain angle de vue.
Chronic'art.com
(...) c'est plutôt que la tristesse qui gagne le spectateur, la mélancolie qui sourd des plans et de leur enchaînement semble irrémédiablement venir d'une fondamentale incapacité d'être heureux qui est le grand sujet du film, un grand sujet tout court qu'Uzak traite magnifiquement.
L'Humanité
Premier grand film de l'année, Usak, doublement primé à Cannes, est une ouvre exigeante qui impose l'austère rigueur de son écriture.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ce cinéaste, qui, par quelques plans discrets, rend hommage à Tarkovski et à Yilmaz Guney, est un grand maître.
Le Monde
Tourné dans son propre appartement, Uzak fait donc partie d'une entreprise où la fiction et la réalité ne cessent de se nourrir, et qui nous envoie, à l'heure où la Turquie frappe à la porte de l'Europe, des nouvelles d'un pays lointain qui nous est infiniment plus proche qu'on ne le pense.
Libération
Bouleversant portrait croisé, oeuvre profondément atypique, Uzak tranche sur le reste du cinéma turc, dominé par le style des séries télés.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Cela aurait pu être didactique, compassé ou misérabiliste (...), mais la rigueur et l'humanité du cinéaste transforment chaque scène en un précipité de cruauté et de cocasserie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
Un film sombre, sobre et songulier.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Uzak est un film terriblement ennuyeux et cynique. Nuri Bilge Ceylan semble n'avoir aucune sympathie pour ses protagonistes, des personnages égoïstes auxquels on a le plus grand mal à s'intéresser.
aVoir-aLire.com
Uzak, en turc, signifie distant, lointain. Et jamais ce mot n'aura aussi bien décrit l'atmosphère générale d'un film, tout autant que la sensation qu'il peut provoquer sur le spectateur.