AlloCiné
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Votre avis sur Elephant ?
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bah , déçu . un film inspirée du massacre colombine on peut en faire baucoup de chose . on peut se concentrer sur les personnages , se concentrer sur le spéctacle , se concentrer sur la manière de presenter le massacre qui a eux lieux .... mais on n'y arrive pas , o se concntre sur les personnages mais pas trop , on se concentre sur le massacre mais pas trop .... on passe + d'1H sur des personnage dont on connait a peine le nom , qui ne vont rien changer a l'hstoire et qui ne sont en aucun cas utile . on a pas peur , on est a peine divertie , juste on atend de voir comment sa va se dérouler . jusqu'a ce qu'arive la fin , le massacre
spoiler:
la meuf qu'on a suivi pendant 20 minutes meurt d'une manière osef , après on a du shoot qui aurait put être mieux maitriser je trouve . avec une fin ... nul , mais vraiment . on dirait que ils ont du s'areter en pleine production . a peine un peux de tension a peine fini
le film traine beacoup trop en longueur , c'est pas interessant de voir des nuages pendant 5 minutes , spoiler: la scène du piano est bien longue , et ne sert qu'a montrer un des tireurs sur un jeux vidéos . dont-on en conclure que c'est a cause des jeux vidéos ?
. au final , elephant est remplie de bonne idées mais a bien d'autre problème . on s'ennuit , il y a peine de l'interet a regarder ce film .
le film traine beacoup trop en longueur , c'est pas interessant de voir des nuages pendant 5 minutes , spoiler: la scène du piano est bien longue , et ne sert qu'a montrer un des tireurs sur un jeux vidéos . dont-on en conclure que c'est a cause des jeux vidéos ?
. au final , elephant est remplie de bonne idées mais a bien d'autre problème . on s'ennuit , il y a peine de l'interet a regarder ce film .
euh... Vraiment vraiment bof... au début on est sous tension grâce à ces plans lents et la présentation des personnages... mais le final est mou, incohérent, inintéressant. aucune émotion alors que je m'attendais vraiment à être bouleversé 2/5.
Le film commence avec un garçon blond arrivant en retard au lycée car il a dû s'occuper de son père ivre. Origine difficile d'un coup de folie, "teasé" par le sujet du film, les tueries scolaires aux USA ? Pas du tout, le film nous présente le quotidien des lycéens : les filles "cools", la solitaire, le photographe amateur... Entre vie banale et problèmes de l'adolescence. Jusqu'à la fin terrible.
Le film fait le choix de ne pas prendre le point de vue des tueurs, et de nous en montrer peu sur eux, mais plutôt d'après les autres élèves. Une manière de montrer que certains ont une vie agréable entre amis et amours, que d'autres ont des difficultés, des soucis... La caméra les suit dans les couloirs, avec des plans qu'on imaginerait plutôt pour les tueurs, mais qui ici replacent les élèves dans leur lycée, des couloirs qui e sont pas que dans le contrôle des tueurs, mais aussi traversés pour le quotidien par les élèves.
Un film fort qui cherche à rendre hommage aux victimes des tueries, avec une forte esthétisation mais qui est bien loin de rendre grâce aux assassins.
Le film fait le choix de ne pas prendre le point de vue des tueurs, et de nous en montrer peu sur eux, mais plutôt d'après les autres élèves. Une manière de montrer que certains ont une vie agréable entre amis et amours, que d'autres ont des difficultés, des soucis... La caméra les suit dans les couloirs, avec des plans qu'on imaginerait plutôt pour les tueurs, mais qui ici replacent les élèves dans leur lycée, des couloirs qui e sont pas que dans le contrôle des tueurs, mais aussi traversés pour le quotidien par les élèves.
Un film fort qui cherche à rendre hommage aux victimes des tueries, avec une forte esthétisation mais qui est bien loin de rendre grâce aux assassins.
Une étoile. Alors oui, c'est sévère, mais c'est à la hauteur de mon incompréhension et de mon ennui. Car oui, j'ai attendu pendant 1h10 (le film durant 1h20) qu'il se passe quelque chose. Les plans fixes (nuages, terrain de sport vide, une fille qui s'approche face caméra en 30s), les très longs plans où l'on suit de dos les personnages ne m'ont rien apporté. Les dialogues sont réduits au minimum, et on n'a pas le temps d'entrer dans la psychologie des différents protagonistes...conséquence :
spoiler:
même si la fusillade de la fin est évidemment choquante, la mort de ces personnages laisse presque indifférent - un comble !
. Je ne vois pas non plus l'intérêt de revoir une même scène à différents moments, cela n'apporte rien et n'a que renforcé mon ennui. Bref, je vois bien "palme d'or", des critiques extrêmement élogieuses sur ce style sobre et épuré, mais je n'ai pas du tout accroché. Chacun ses goûts...
. Je ne vois pas non plus l'intérêt de revoir une même scène à différents moments, cela n'apporte rien et n'a que renforcé mon ennui. Bref, je vois bien "palme d'or", des critiques extrêmement élogieuses sur ce style sobre et épuré, mais je n'ai pas du tout accroché. Chacun ses goûts...
Elephant s inspire de la tragédie survenue au lycée de Columbine le 20 avril 1999. Palme d or à Cannes, considéré comme un chef d œuvre pour certains, un film ennuyeux et lent pour d autres. Ce qui est sûr c est que pour apprécier le film de Gus van Sant il faut bien se documenter sur ce qui s est passé ce jour là et se pencher sur les personnalités de Harris et Klebold car le moindre détail a son importance. Un film dérangeant et nécessaire.
Inspiré du terrible massacre de Columbine en 1999, Elephant se fonde sur un dispositif délicat et intelligent de boucle temporelle qui offre un suspense coupable (mais jamais malsain) et nous immisce dans le « simple » quotidien de plusieurs lycéens américains du début des années 2000. Ses esquisses aléatoires de personnalités qui se croisent dans ce lycée jamais nommé sont plus fascinantes les unes que les autres et agissent comme une photographie stupéfiante des États-Unis. Gus Van Sant ne juge pas, n’offre pas de réponse, il ne fait que raconter une histoire singulière de l’Amérique, la plus terrifiante, la plus incompréhensible, dans une mise en scène sèche, aérienne et ultra-maîtrisée. (Entre autres) Palme d’Or à Cannes en 2003.
Je n'avais jamais eu l'occasion de voir le travail de ce réalisateur avant de regarder ce film, et je dois dire que ça m'a vraiment donné une claque. De la BO, en passant par la réal ou encore par les dialogues, rien n'est placé ici par hasard et cela forme un ensemble "agréable" (dans la mesure du sujet tout de même) et divertissant. Néanmoins il y a quelques scènes qui tirent un peu en longueur et qui m'ont fait, par moment, décroché du long-métrage. Cet aspect peut sembler être un détail, mais pour moi il est primordial d'être plongé dans un film du début à la fin et c'est pour ça que je ne peux pas me permettre de mettre une note plus élevée
Au lycée américain de Columbine, un choeur de jeunes gens archétypaux constitué entre autres de Michelle, fille disgracieuse mal dans sa peau, Alex, jeune garçon agoraphobe brimé par ses camarades, Elias, photographe passionné, et John, blond de pure souche en conflit avec ses parents, vivent leur vie d'étudiant une dimension spatiale perçue par le spectateur. Ils ignorent alors quasiment tous le malheur dont l'établissement s'apprête à faire face. En effet, au mauvais endroit au mauvais moment, une dizaine de ses élèves et deux personnels de la vie scolaire se retrouvent pris au piège par Alex et Eric, les deux parias... Projet lauréat de la Palme d'or du festival de Cannes édition 2003, s'appuyant sur les normes du teen movie et sur un fait réel tragique survenu en 1999 pour explorer progressivement une question existentielle, "Elephant" est une vive réponse aux questions suscitées par le parti républicain américain, auquel le titre fait implicitement écho. Depuis le vertigineux labyrinthe spatio-temporel aménagé par une narration étalée sur les 75 minutes de film, il peut sembler à vue d'oeil qu'il ne s'y passe rien de décisif (Gus van Sant proposant des variations de ses scènes), mais la structure nous invite à approfondir la question du point de vue abordé en soulignant l'importance du moment relaté.
spoiler:
Tout en accompagnant ses personnages tout au long d'une matinée désolante, le cinéaste leur accorde certains instants de répit privilégiés, notamment le ralenti suscité par le jeu entre le chien et John, ou encore la rencontre entre ce dernier, Elias et Michelle, à l'instant où tout contact social au sein de l'établissement scolaire commence à se dissoudre.
Les protagonistes sont mis sous le feu des caméras à travers la fluidité des mouvements de caméra et les variations des ambiances produites par la lumière. La longueur de certains plans(-séquences), aussi déroutante soit-elle, nous sensibilise à cet enjeu, par rapport à la destinée des antagonistes. Au cours de leurs quelques instants de gloire, les brimades dont sont victimes les deux futurs assassins se retrouvent noyées dans le brouhaha du public, tel un mal passé sous silence. spoiler: Alexander au cours de la séquence de la cafétéria, subit l'une des seules manifestations de son mal de vivre par la compression sonore écrasant son rapport avec autrui: le brouhaha remplit l'espace et semble littéralement "noyer" le jeune homme.
Au moment du climax de cette histoire au traitement prestigieux, les plans s'élargissent, posant une borne à une large portion d'espace autour de ses personnages anéantis au fur et à mesure de la fusillade. La solitude de chacun, mise en lumière par le minimalisme des jeux de regards et de dialogues, arrive au point mort dans cette séquence d'une brutalité suprême et dont la vivacité surpasse nos attentes. Faux-raccords à outrance (paradoxes temporels, interrogations suscitées par le manque de vie de la vie scolaire laissant sur la faim) pardonnés par un montage unique en son genre, discours acerbe sur la politique et la jeunesse américaine, le tout dans un réalisme à fleur de peau, "Elephant" est une oeuvre puissance et actuelle. Dans son rapport à l'univers adolescent, ce film envoûtant et bouleversant relève d'une expérience spatiale et temporelle en filature, aux limites d'accuser nous spectateurs, des maux qui y sont endurés.
Les protagonistes sont mis sous le feu des caméras à travers la fluidité des mouvements de caméra et les variations des ambiances produites par la lumière. La longueur de certains plans(-séquences), aussi déroutante soit-elle, nous sensibilise à cet enjeu, par rapport à la destinée des antagonistes. Au cours de leurs quelques instants de gloire, les brimades dont sont victimes les deux futurs assassins se retrouvent noyées dans le brouhaha du public, tel un mal passé sous silence. spoiler: Alexander au cours de la séquence de la cafétéria, subit l'une des seules manifestations de son mal de vivre par la compression sonore écrasant son rapport avec autrui: le brouhaha remplit l'espace et semble littéralement "noyer" le jeune homme.
Au moment du climax de cette histoire au traitement prestigieux, les plans s'élargissent, posant une borne à une large portion d'espace autour de ses personnages anéantis au fur et à mesure de la fusillade. La solitude de chacun, mise en lumière par le minimalisme des jeux de regards et de dialogues, arrive au point mort dans cette séquence d'une brutalité suprême et dont la vivacité surpasse nos attentes. Faux-raccords à outrance (paradoxes temporels, interrogations suscitées par le manque de vie de la vie scolaire laissant sur la faim) pardonnés par un montage unique en son genre, discours acerbe sur la politique et la jeunesse américaine, le tout dans un réalisme à fleur de peau, "Elephant" est une oeuvre puissance et actuelle. Dans son rapport à l'univers adolescent, ce film envoûtant et bouleversant relève d'une expérience spatiale et temporelle en filature, aux limites d'accuser nous spectateurs, des maux qui y sont endurés.
Lycée les enfants passent une journée normale, deux autres enfants prennent des photos. Elephant est un parfait exemple de la façon dont un film sans valeur peut se cacher derrière un message important et être félicité pour le faire. Comment est-il possible que ce film ait remporté autant de prix ?????? Il n'y a absolument rien ici pour le justifier. La plupart du film consiste en des plans fixes d'étudiants qui marchent dans des couloirs, de longs couloirs sans fin. Parfois, ils s'arrêtent et disent quelque chose d'inutile à d'autre élèves. Puisqu'il s'agit d'un "film d'art", la chronologie est en panne et nous pouvons voir les mêmes événements sous différents angles. Si vous ne saviez pas que ce film parlait de tournages scolaires, le regarderiez-vous toujours après les 30 premières minutes ? La vie de John, Elias, Nathan et de tous les autres est-elle vraiment si intéressante ? Ou attendez-vous simplement que les armes commencent à flamboyer. Il n'y a pas de réponses dans ce film. Pour être honnête, il n'y a pas non plus de vraies questions posées. Elephant apporte-t-il quelque chose de nouveau à la discussion concernant les fusillades dans les écoles ? Non. Je suppose que le jeu d'acteurs improvisés et les longues prises sont censés ajouter un élément de réalisme au film. Mais c'est juste faux et forcé. Pas une seconde je ne crois en aucun de ces enfants et ils sont aussi stéréotypés que dans tous autres films. Je ne crois pas que Gus Van Sant se soit intéressé à donner une vraie représentation dans ce genre de tournages. Elephant est le pire genre de film prétentieux qui soit. Il sait qu'il n'a rien à dire, alors il se couvre au nom de l'art, de cette façon, les gens peuvent le regarder et dire : Oh, c'est tellement beau et poétique !!!!! La seule chose que Elephant a réussi à faire est de gagner une place à égalité avec Battle Royale sur ma liste des plus mauvais films jamais réalisés. Regardez plutôt l'excellent Bowling for Columbine de Michael Moore vous en apprendrez plus sur ce sujet s'il vous intéresse. Les habituels Bobos adorent et trouvent ça poétique, rien de plus normal...
Ce film est original par sa mise en scène. J'ai beaucoup aimé ses plans séquence et le fait de voir la même scène trois fois en suivant un point de vue différent. La musique du film tisse l'ambiance angoissante. Satire de la société et inspiré de la fusillade de Columbine survenue en 1999, quatre ans avant sa sortie, le film saisit par son apparence fadeur : c'est juste un lycée, dans un coin des Etats-Unis, avec des élèves qui pleurent, aiment, rient, se passionnent. L'apparence tout à fait ordinaire ajoute à la surprise qui se développe après. Ce film, court, passe vite et rappelle que tout peut arriver.
L'idée de présenter un massacre scolaire, fait réel qui plus est, était plutôt bien pensée. Après, je n'ai pas du tout accroché avec la réalisation, et je regrette le manque d'implication dans la vie privée des fauteurs de trouble. Quitte à nous représenter un drame réel, autant nous en expliquer un peu plus.
spoiler:
Une Lettre à Elise qui résonne en boucle
comme une inévitable issue d'une jeunesse sacrifiée sur l'autel de la sauvagerie.
comme une inévitable issue d'une jeunesse sacrifiée sur l'autel de la sauvagerie.
Film sorti très peu après la tragédie de Columbine. Il y a peu de dialogue dans ce film et en tant que tel il est très réaliste et crédible. Les personnages sont tous très abstraits et dépeints d'une manière très "artistique" mais je ne pense pas que cela soit approprié compte tenu du sujet du film. C'est simplement l'histoire d'un couple de parias qui organisent un massacre de masse dans un lycée et qui sont présentés comme des enfants de tous les jours. Ils sont en mesure de s'armer suffisamment pour anéantir une grande partie de la population étudiante. "Elephant" le titre ne veut rien dire et ce film ne veut rien dire !!! J'espère qu'il n'a pas été vu par des enfants qui en tireront des leçons pour réaliser une copie de la catastrophe. Certains "loosers" peuvent regarder ce film et le trouver fascinant à imiter. Il faut plus que de belles images pour faire un bon film et je n'arrive pas à comprendre pourquoi ce film a de bonnes notes...Sur le même sujet regardez plutôt "Bowling for Columbine" le documentaire de Michael Moore !
En 1h21, le réalisateur américain parvient à convaincre de son art grâce à une impressionnante maîtrise technique, doublée par un scénario choc.
Palme d'Or et prix de la mise en scène du festival de Cannes en 2003 octroyée par le réalisateur français Patrice Chéreau, Elephant est une oeuvre particulièrement bien réalisée, dont on apprécie la grande qualité narrative. S'inspirant de la tragique tuerie du lycée de Columbine (Etats-Unis) Gus Van Sant décide de livrer une vision personnelle de l’événement qui déchira l'Amérique, ôtant la vie à 15 lycéens, en blessant 24.
Grâce à une caméra sobre, intimiste et intelligente, le metteur en scène s'immisce au sein d'un véritable lycée américain, en choisissant de filmer non pas des acteurs, mais plutôt de vrais adolescents n'ayant aucun passé dans le monde du cinéma.
Palme d'Or et prix de la mise en scène du festival de Cannes en 2003 octroyée par le réalisateur français Patrice Chéreau, Elephant est une oeuvre particulièrement bien réalisée, dont on apprécie la grande qualité narrative. S'inspirant de la tragique tuerie du lycée de Columbine (Etats-Unis) Gus Van Sant décide de livrer une vision personnelle de l’événement qui déchira l'Amérique, ôtant la vie à 15 lycéens, en blessant 24.
Grâce à une caméra sobre, intimiste et intelligente, le metteur en scène s'immisce au sein d'un véritable lycée américain, en choisissant de filmer non pas des acteurs, mais plutôt de vrais adolescents n'ayant aucun passé dans le monde du cinéma.
Bon dans l'ensemble même si quelques erreurs auraient pu être modifiées mais sinon très simple, sobre et poignant
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