Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Plutôt que de chercher une hypothétique source au torrent d'épouvante qui recouvre la fin du film, Gus van Sant se contente de peindre en mouvement, dans un geste pudique, impressionniste et profondément subjectif, veiné d'une intarissable compassion, la vie et la mort d'une poignée d'adolescents sans relief, dans toute leur anodine et bouleversante liberté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Le massacre de Columbine est replacé dans l'orbite du cinéma : un questionnement absolu, en regardant les faits dans leur brutalité souvent inexplicable, avec détachement et introspection, mystère et pondération (...) Gus van Sant cherche (et trouve) une solution plastique à un fait divers, là où d'autres se seraient perdus dans des digressions philosophiques ou sociologiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un film lucide, ni moralisateur, ni rassurant, ni outrageusement sombre, qui ne traite pas le spectateur en consommateur infantile à qui il faudrait dire qui sont les bons et les méchants ; un film qui regarde le monde tel qu'il est plutôt que tel qu'il devrait être. Une forme et une pensée en marche, un objet en soi qui conjure la barbarie par le mystère poétique plutôt que par un discours surplombant. Un chef d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Sous le blindage d'une société singulière (les Etats-Unis), par-delà le microcosme d'une journée vaseuse dans un lycée quelconque, Gus Van Sant creuse jusqu'à atteindre des strates immémoriales. De ce magma matriciel, c'est de l'énergie fossile qui jaillit. Il ne s'agit pas d'arracher les racines du mal mais d'en faire la généalogie. Ce qui serait déjà beaucoup pour un seul film si sa façon n'était pas philosophique.
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
ELEPHANT est un long métrage exigeant et fascinant dont le récit, qui va crescendo, et son épilogue, font froid dans le dos.
Positif
par Philippe Rouyer
Au plus fort de l'horreur, Gus Van Sant réussit à conserver ce mélange de réalisme et de détachement qui donne à son film des allures de cauchemar éveillé (...) Comme tous les grands films, Elephant fait résonner le bruit et la fureur du monde afin d'inviter à la méditation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Louis Guichard
Osons le mot, il y a quelque chose de divin dans le regard que Gus Van Sant fait glisser sur les adolescents qui peuplent Elephant. Jamais le simple spectacle de la vie quotidienne dans une high school ordinaire n'aura été aussi émouvant en soi, sans raison objective, rien que par la grâce du regard qui le capte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Philippe Pournier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
aVoir-aLire.com
par Sébastien Tong
Pari audacieux et réussi.
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Olivier De Bruyn
Elephant ressemble à la caricature du film indépendant américain avec son cortège de déstructurations tempérées, d'insistances stylistiques et d'inévitables plans de ciel décoratifs (...) Sur un motif si brûlant, on regrette que Gus se soit contenté de trousser une petite expérimentation poseuse. Quelque chose comme la jolie bande-annonce d'un film à venir...
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Comme ses personnages, le film tourne en boucle, refermé sur lui-même, et le lycée qui lui sert de décor n'est plus qu'un concept esthétique, une sorte d'installation grandeur nature pour une création d'art vidéo, à passer dans un musée. En boucle, évidemment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Plutôt que de chercher une hypothétique source au torrent d'épouvante qui recouvre la fin du film, Gus van Sant se contente de peindre en mouvement, dans un geste pudique, impressionniste et profondément subjectif, veiné d'une intarissable compassion, la vie et la mort d'une poignée d'adolescents sans relief, dans toute leur anodine et bouleversante liberté.
Le Monde
Le massacre de Columbine est replacé dans l'orbite du cinéma : un questionnement absolu, en regardant les faits dans leur brutalité souvent inexplicable, avec détachement et introspection, mystère et pondération (...) Gus van Sant cherche (et trouve) une solution plastique à un fait divers, là où d'autres se seraient perdus dans des digressions philosophiques ou sociologiques.
Les Inrockuptibles
Un film lucide, ni moralisateur, ni rassurant, ni outrageusement sombre, qui ne traite pas le spectateur en consommateur infantile à qui il faudrait dire qui sont les bons et les méchants ; un film qui regarde le monde tel qu'il est plutôt que tel qu'il devrait être. Une forme et une pensée en marche, un objet en soi qui conjure la barbarie par le mystère poétique plutôt que par un discours surplombant. Un chef d'oeuvre.
Libération
Sous le blindage d'une société singulière (les Etats-Unis), par-delà le microcosme d'une journée vaseuse dans un lycée quelconque, Gus Van Sant creuse jusqu'à atteindre des strates immémoriales. De ce magma matriciel, c'est de l'énergie fossile qui jaillit. Il ne s'agit pas d'arracher les racines du mal mais d'en faire la généalogie. Ce qui serait déjà beaucoup pour un seul film si sa façon n'était pas philosophique.
MCinéma.com
ELEPHANT est un long métrage exigeant et fascinant dont le récit, qui va crescendo, et son épilogue, font froid dans le dos.
Positif
Au plus fort de l'horreur, Gus Van Sant réussit à conserver ce mélange de réalisme et de détachement qui donne à son film des allures de cauchemar éveillé (...) Comme tous les grands films, Elephant fait résonner le bruit et la fureur du monde afin d'inviter à la méditation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Osons le mot, il y a quelque chose de divin dans le regard que Gus Van Sant fait glisser sur les adolescents qui peuplent Elephant. Jamais le simple spectacle de la vie quotidienne dans une high school ordinaire n'aura été aussi émouvant en soi, sans raison objective, rien que par la grâce du regard qui le capte.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
aVoir-aLire.com
Pari audacieux et réussi.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Elephant ressemble à la caricature du film indépendant américain avec son cortège de déstructurations tempérées, d'insistances stylistiques et d'inévitables plans de ciel décoratifs (...) Sur un motif si brûlant, on regrette que Gus se soit contenté de trousser une petite expérimentation poseuse. Quelque chose comme la jolie bande-annonce d'un film à venir...
Télérama
Comme ses personnages, le film tourne en boucle, refermé sur lui-même, et le lycée qui lui sert de décor n'est plus qu'un concept esthétique, une sorte d'installation grandeur nature pour une création d'art vidéo, à passer dans un musée. En boucle, évidemment.