Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Jamais Kurosawa, qui tourne ici avec deux caméras numériques, n'avait réalisé film aussi beau. (...) Le cinéaste fait un pari audacieux, esthétique et politique : alors qu'un nouveau type d'image s'impose partout dans l'espace domestique (...), il s'emploie à retrouver du collectif et à réoccuper la ville.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Comme d'habitude chez Kurosawa, l'éclatante limpidité de ce travail esthétique renverse, sans rien céder à sa puissance de fascination, la part obtuse et mystérieuse du film et de sa métaphore.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film froid tourné en vidéo très contrastée montre (...) une société industrielle dépourvue de pères et de repères, envahie par une nature néfaste. Mais c'est peut-être aussi une proposition pour une alternative individuelle à la fameuse " mondialisation ". Cette ambiguïté est tout l'enjeu de ce captivant film d'expérimentation sociale.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce film parfois hésitant et à d'autres moments insistant finit par laisser sourdre un sentiment très fort d'espoir qui enlève toute intonation ironique à son titre original.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Avec "Jellyfish", entièrement tourné en numérique haute définition, Kiyoshi Kurosawa réalise un film formellement irréprochable, mais dont le propos ne séduit pas totalement. On attendait mieux de sa part, après le très fascinant "Kairo".
Positif
par Fabien Baumann
Si la peinture de moeurs est tranchante lorsqu'il montre le malaise social au coeur de l'usine ou la haine d'un fils pour son père trop pauvre à son goût, Jellyfish souffre de nombreuses lourdeurs (le motif de la méduse).
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Kiyoshi Kurosawa nous livre un film littéralement médusant : histoire hallucinée - on y voit les méduses empoisonnées envahir les canaux de Tokyo! - tout autant que le portrait de la jeunesse japonaise et de son tendre penchant pour l'anarchisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Thomas Carlat
Malgré son originalité, l'ensemble manque parfois de liant. Le rôle joué par la méduse n'est pas toujours très clair, et l'analogie entre sa présence et les jeunes personnages du film est parfois loin d'être évidente. (...) Reste néanmoins un film ambitieux et original, à l'image de son héroïne, flottante et languissante.
Aden
par Philippe Piazzo
Entre deux propos assommants et un surplace scénaristique sans grand intérêt, l'auteur des envoûtants Cure et Charisma tombe dans l'autocitation complaisante. (...) Le plus étrange, c'est de voir Kiyoshi Kurosawsa, après plusieurs films remarquables, réussir un film aussi insipide.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
(...) tout montre qu'il s'agit d'une oeuvre de transition émise par un cinéaste en plein couscous philosophique, cherchant un sens au désastre généralisé du monde.
Première
par Olivier de Bruyn
Avec ce film pénible, le prolixe Kiyoshi Kurosawa (Cure, Charisma, Kairo) confirme à ses dépens que sa passion de toujours pour la bizzarrerie rime avec préciosité formelle et surenchère dans le n'importe quoi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par François Gorin
Forme flasque à l'opacité laiteuse, le film finit par justifier son titre plus que la réputation du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Jamais Kurosawa, qui tourne ici avec deux caméras numériques, n'avait réalisé film aussi beau. (...) Le cinéaste fait un pari audacieux, esthétique et politique : alors qu'un nouveau type d'image s'impose partout dans l'espace domestique (...), il s'emploie à retrouver du collectif et à réoccuper la ville.
Chronic'art.com
Comme d'habitude chez Kurosawa, l'éclatante limpidité de ce travail esthétique renverse, sans rien céder à sa puissance de fascination, la part obtuse et mystérieuse du film et de sa métaphore.
L'Humanité
Ce film froid tourné en vidéo très contrastée montre (...) une société industrielle dépourvue de pères et de repères, envahie par une nature néfaste. Mais c'est peut-être aussi une proposition pour une alternative individuelle à la fameuse " mondialisation ". Cette ambiguïté est tout l'enjeu de ce captivant film d'expérimentation sociale.
Le Monde
Ce film parfois hésitant et à d'autres moments insistant finit par laisser sourdre un sentiment très fort d'espoir qui enlève toute intonation ironique à son titre original.
MCinéma.com
Avec "Jellyfish", entièrement tourné en numérique haute définition, Kiyoshi Kurosawa réalise un film formellement irréprochable, mais dont le propos ne séduit pas totalement. On attendait mieux de sa part, après le très fascinant "Kairo".
Positif
Si la peinture de moeurs est tranchante lorsqu'il montre le malaise social au coeur de l'usine ou la haine d'un fils pour son père trop pauvre à son goût, Jellyfish souffre de nombreuses lourdeurs (le motif de la méduse).
TéléCinéObs
Kiyoshi Kurosawa nous livre un film littéralement médusant : histoire hallucinée - on y voit les méduses empoisonnées envahir les canaux de Tokyo! - tout autant que le portrait de la jeunesse japonaise et de son tendre penchant pour l'anarchisme.
aVoir-aLire.com
Malgré son originalité, l'ensemble manque parfois de liant. Le rôle joué par la méduse n'est pas toujours très clair, et l'analogie entre sa présence et les jeunes personnages du film est parfois loin d'être évidente. (...) Reste néanmoins un film ambitieux et original, à l'image de son héroïne, flottante et languissante.
Aden
Entre deux propos assommants et un surplace scénaristique sans grand intérêt, l'auteur des envoûtants Cure et Charisma tombe dans l'autocitation complaisante. (...) Le plus étrange, c'est de voir Kiyoshi Kurosawsa, après plusieurs films remarquables, réussir un film aussi insipide.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) tout montre qu'il s'agit d'une oeuvre de transition émise par un cinéaste en plein couscous philosophique, cherchant un sens au désastre généralisé du monde.
Première
Avec ce film pénible, le prolixe Kiyoshi Kurosawa (Cure, Charisma, Kairo) confirme à ses dépens que sa passion de toujours pour la bizzarrerie rime avec préciosité formelle et surenchère dans le n'importe quoi.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Forme flasque à l'opacité laiteuse, le film finit par justifier son titre plus que la réputation du réalisateur.