Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) la cinéaste voulait faire ressentir ce qui était beau et unique dans ces quelques moments de la vie ordinaire. En filmant la douleur avec la même sérénité que la joie, elle y parvient avec une intensité qui rappelle les maîtres qui l'inspirent, le Russe Andreï Tarkovski et l'Espagnol Victor Erice.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Shara emporte, dans un mouvement d'une puissance inouïe, le récit d'une reconstruction familiale. Récit pourtant classique de l'enfant disparu (...) mais que Naomi Kawase teinte, magiquement, aux couleurs jaune et blanche d'une mise en scène lumineuse et comme en perpétuelle renaissance.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette puissance d'émotion (...) relève d'un mystère qui lui appartient en propre (...) elle tient sans doute à la manière dont il est suggéré qu'en dépit de la férocité du destin nous ne sommes pas seuls au monde. La simple vision de Shara, film infiniment précieux ne serait-ce qu'à ce titre, nous en administre la preuve la plus éclatante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) si la mise en scène à la fois totale et elliptique de Kawase fait autant de bien qu'un bain d'herbes parfumées, et semble nous permettre de voir et de ressentir le monde avec une acuité décuplée, elle est aussi une élégance, une pudeur, une façon d'évoquer les sujets les plus dramatiques avec retenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Telle cette fête dite "de Basara", longuement filmée (...) Shara est lui-même un film désynchronisé : si cotonneux et planant dans sa forme, si violent et ferme dans le fond.
Télérama
par Jacques Morice
Ce n'est presque rien, c'est du cinéma humble, naïf même par moments, et pourtant tout ce qui fonde le cycle de l'existence, naissance, vie, mort, circule à travers cette guirlande de moments impressionnistes où l'ordinaire le dispute à l'unique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une oeuvre atmosphérique, subtile, dont la beauté se diffuse graduellement.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un film à la fois tourmenté et pudique, hanté par l'irrémédiable douleur provoquée par la perte d'un être cher.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
par Olivier de Bruyn
Le talent formel de la cinéaste (...) relève de l'évidence, mais, à force de laconisme et de zénitude, le film, qui n'échappe pas toujours à la pose, suscite un engourdissement évidemment problématique.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
La plupart du temps, l'opacité du propos possède un charme intrigant qui opère sur toute la première partie du film. Dommage qu'à mi-parcours Shara bascule dans l'esthétisation et le trip poseur.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
(...) la cinéaste voulait faire ressentir ce qui était beau et unique dans ces quelques moments de la vie ordinaire. En filmant la douleur avec la même sérénité que la joie, elle y parvient avec une intensité qui rappelle les maîtres qui l'inspirent, le Russe Andreï Tarkovski et l'Espagnol Victor Erice.
Chronic'art.com
Shara emporte, dans un mouvement d'une puissance inouïe, le récit d'une reconstruction familiale. Récit pourtant classique de l'enfant disparu (...) mais que Naomi Kawase teinte, magiquement, aux couleurs jaune et blanche d'une mise en scène lumineuse et comme en perpétuelle renaissance.
Le Monde
Cette puissance d'émotion (...) relève d'un mystère qui lui appartient en propre (...) elle tient sans doute à la manière dont il est suggéré qu'en dépit de la férocité du destin nous ne sommes pas seuls au monde. La simple vision de Shara, film infiniment précieux ne serait-ce qu'à ce titre, nous en administre la preuve la plus éclatante.
Les Inrockuptibles
(...) si la mise en scène à la fois totale et elliptique de Kawase fait autant de bien qu'un bain d'herbes parfumées, et semble nous permettre de voir et de ressentir le monde avec une acuité décuplée, elle est aussi une élégance, une pudeur, une façon d'évoquer les sujets les plus dramatiques avec retenue.
Libération
Telle cette fête dite "de Basara", longuement filmée (...) Shara est lui-même un film désynchronisé : si cotonneux et planant dans sa forme, si violent et ferme dans le fond.
Télérama
Ce n'est presque rien, c'est du cinéma humble, naïf même par moments, et pourtant tout ce qui fonde le cycle de l'existence, naissance, vie, mort, circule à travers cette guirlande de moments impressionnistes où l'ordinaire le dispute à l'unique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Une oeuvre atmosphérique, subtile, dont la beauté se diffuse graduellement.
TéléCinéObs
Un film à la fois tourmenté et pudique, hanté par l'irrémédiable douleur provoquée par la perte d'un être cher.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Le talent formel de la cinéaste (...) relève de l'évidence, mais, à force de laconisme et de zénitude, le film, qui n'échappe pas toujours à la pose, suscite un engourdissement évidemment problématique.
aVoir-aLire.com
La plupart du temps, l'opacité du propos possède un charme intrigant qui opère sur toute la première partie du film. Dommage qu'à mi-parcours Shara bascule dans l'esthétisation et le trip poseur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com