Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par La rédaction
On retrouve en partie, dans CARANDIRU, le nouveau film d'Hector Babenco, la force de PIXOTE, LA LOI DU PLUS FAIBLE, l'un de ses premiers longs métrages. (...) Après LA CITE DE DIEU, véritable révélation de 2003, CARANDIRU vient rappeler l'existence d'un cinéma brésilien exigeant mais souvent brutal et sans concessions.
L'Obs
par Jean-Philippe Guerand
On émerge de cette plongée parmi les damnés de la Terre avec l'impressiond'avoir effectué une (trop) longue croisière à bord d'un bateau ivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Hector Babenco est un cinéaste vigoureux qui sait très bien propulser son film, inspirer juste assez d'effroi pour que l'on retienne sa respiration, dispenser juste assez de burlesque pour que l'on se relâche le temps d'un rire nerveux. Mais lorsque survient le cataclysme final, on a pris l'habitude de considérer Carandiru comme une espèce de théâtre d'ombres, où les destins sont trop capricieux pour que l'on puisse les prendre à coeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gérard Delorme
Très vite, Babenco dévie de son approche initiale (l'histoire est inspirée de l'expérience d'un médecin chargé de limiter la propagation du sida). Sa ville-prison est décrite comme un microcosme du monde extérieur où les personnages circulent librement et n'ont pas l'air plus malheureux que dans la vie normale. Délibérée ou non, cette absence de sentiment d'enfermement retire toute crédibilité au projet, aussi humaniste soit-il.
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
L'horreur n'est pas loin, mais elle est le plus souvent tenue en respect par un scénario paresseux, avec présentation des " cas " en flash-back résumés, comme un kit prêt à l'usage pour le prochain débat télé. Vouloir faire entrer toutes les dérives de la société brésilienne dans ce film-valise, c'était très ambitieux. A l'écran, cela vire souvent au pensum, avec alternance routinière de tranches de vie hyperréalistes et d'envolées lyriques factices qui tuent, elles, les émotions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Relatant la révolte tragique de cette prison, en 1992, le réalisateur du Baiser de la femme araignée en livre une vision qui se résume à des conflits entre des héros stéréotypés comme pour mieux incarner les clivages et les faiblesses de la société brésilienne. Résultat : l'impression d'être devant un mauvais feuilleton dont le sujet, grave, paraît bien moins important que l'envie du film d'être efficace et spectaculaire. Soit l'inverse, très probablement, de l'effet recherché par le réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Brazil
par Alex Masson
Un regard sur l'univers carcéral assez hypocrite, aux airs de mauvais spot pour Amnesty International; surtout un film assez vain face à n'importe quel épisode d'Oz.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
On retrouve en partie, dans CARANDIRU, le nouveau film d'Hector Babenco, la force de PIXOTE, LA LOI DU PLUS FAIBLE, l'un de ses premiers longs métrages. (...) Après LA CITE DE DIEU, véritable révélation de 2003, CARANDIRU vient rappeler l'existence d'un cinéma brésilien exigeant mais souvent brutal et sans concessions.
L'Obs
On émerge de cette plongée parmi les damnés de la Terre avec l'impressiond'avoir effectué une (trop) longue croisière à bord d'un bateau ivre.
Le Monde
Hector Babenco est un cinéaste vigoureux qui sait très bien propulser son film, inspirer juste assez d'effroi pour que l'on retienne sa respiration, dispenser juste assez de burlesque pour que l'on se relâche le temps d'un rire nerveux. Mais lorsque survient le cataclysme final, on a pris l'habitude de considérer Carandiru comme une espèce de théâtre d'ombres, où les destins sont trop capricieux pour que l'on puisse les prendre à coeur.
Première
Très vite, Babenco dévie de son approche initiale (l'histoire est inspirée de l'expérience d'un médecin chargé de limiter la propagation du sida). Sa ville-prison est décrite comme un microcosme du monde extérieur où les personnages circulent librement et n'ont pas l'air plus malheureux que dans la vie normale. Délibérée ou non, cette absence de sentiment d'enfermement retire toute crédibilité au projet, aussi humaniste soit-il.
Télérama
L'horreur n'est pas loin, mais elle est le plus souvent tenue en respect par un scénario paresseux, avec présentation des " cas " en flash-back résumés, comme un kit prêt à l'usage pour le prochain débat télé. Vouloir faire entrer toutes les dérives de la société brésilienne dans ce film-valise, c'était très ambitieux. A l'écran, cela vire souvent au pensum, avec alternance routinière de tranches de vie hyperréalistes et d'envolées lyriques factices qui tuent, elles, les émotions.
Aden
Relatant la révolte tragique de cette prison, en 1992, le réalisateur du Baiser de la femme araignée en livre une vision qui se résume à des conflits entre des héros stéréotypés comme pour mieux incarner les clivages et les faiblesses de la société brésilienne. Résultat : l'impression d'être devant un mauvais feuilleton dont le sujet, grave, paraît bien moins important que l'envie du film d'être efficace et spectaculaire. Soit l'inverse, très probablement, de l'effet recherché par le réalisateur.
Brazil
Un regard sur l'univers carcéral assez hypocrite, aux airs de mauvais spot pour Amnesty International; surtout un film assez vain face à n'importe quel épisode d'Oz.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr