Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Du cinéma populaire comme en n'en fait (presque) plus, et que l'on aime justement parce qu'il joue avec nos besoins de spectateur les plus simples : rire et pleurer, et, malgré toutes les cartes postales du monde, se laisser encore surprendre par la splendeur éternelle de la lumière italienne sur les murs ocre des palais de Bologne.
La critique complète est disponible sur le site Aden
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Un coeur ailleurs est un film sage, classique et sans surprise, mais qui se regarde sans déplaisir. Une fresque populaire à l'italienne, soignée et filmée en cinémascope, à la traditionnelle.
Positif
par Jean A. Gili
On l'a compris, Un coeur ailleurs est le film d'une terrible amertume. Sous le charme des images et le ton enjoué (le récit bascule souvent du poignant au comique, et vice versa) se cache un drame intime dévastateur.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Bernard Achour
Sous un vernis formel on ne peut plus classique, Un coeur ailleurs autopsie la monstruosité humaine de son héroïne et l'insignifiance de sa victime avec une froideur proche du sadisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat
Deux atouts pour cette comédie au romanesque suranné : une nouvelle venue, Vanessa Incontrada, et la gouaille de Giancarlo Giannini. Voir le couturier de Ses Saintetés expliquer comment l'habit fait le pape est un moment jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jennifer Homère
Parfois, il est agréable de regarder le cinéma comme une oeuvre, non pas d'art, mais d'artisanat, comme c'est le cas ici : pas de grande surprise ni de grande émotion, certes, mais un émerveillement devant la beauté picturale de certaines scènes, révélée par l'harmonie des lumières et la délicatesse des couleurs.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Pas un personnage ne sauve les autres dans ce film étouffant de ressentiment. Accessoirement, la direction et le jeu d'acteurs sont un désastre, sans parler du cadrage, qui frôle parfois l'absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
La musicalité de la langue italienne et le plaisir de revoir Gianini ne sauvent pas ce cinéma vieillot et démago.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Hugo Deschamps
Malgré quelques éclairs, ce film passéiste et paresseux peine à convaincre Et Neri Marcore, qui joue Nello, cabotine en boucle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
Du cinéma populaire comme en n'en fait (presque) plus, et que l'on aime justement parce qu'il joue avec nos besoins de spectateur les plus simples : rire et pleurer, et, malgré toutes les cartes postales du monde, se laisser encore surprendre par la splendeur éternelle de la lumière italienne sur les murs ocre des palais de Bologne.
MCinéma.com
Un coeur ailleurs est un film sage, classique et sans surprise, mais qui se regarde sans déplaisir. Une fresque populaire à l'italienne, soignée et filmée en cinémascope, à la traditionnelle.
Positif
On l'a compris, Un coeur ailleurs est le film d'une terrible amertume. Sous le charme des images et le ton enjoué (le récit bascule souvent du poignant au comique, et vice versa) se cache un drame intime dévastateur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Sous un vernis formel on ne peut plus classique, Un coeur ailleurs autopsie la monstruosité humaine de son héroïne et l'insignifiance de sa victime avec une froideur proche du sadisme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Deux atouts pour cette comédie au romanesque suranné : une nouvelle venue, Vanessa Incontrada, et la gouaille de Giancarlo Giannini. Voir le couturier de Ses Saintetés expliquer comment l'habit fait le pape est un moment jubilatoire.
aVoir-aLire.com
Parfois, il est agréable de regarder le cinéma comme une oeuvre, non pas d'art, mais d'artisanat, comme c'est le cas ici : pas de grande surprise ni de grande émotion, certes, mais un émerveillement devant la beauté picturale de certaines scènes, révélée par l'harmonie des lumières et la délicatesse des couleurs.
Le Monde
Pas un personnage ne sauve les autres dans ce film étouffant de ressentiment. Accessoirement, la direction et le jeu d'acteurs sont un désastre, sans parler du cadrage, qui frôle parfois l'absurde.
Les Inrockuptibles
La musicalité de la langue italienne et le plaisir de revoir Gianini ne sauvent pas ce cinéma vieillot et démago.
Première
Malgré quelques éclairs, ce film passéiste et paresseux peine à convaincre Et Neri Marcore, qui joue Nello, cabotine en boucle.