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DarioFulci
102 abonnés
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2,0
Publiée le 25 novembre 2011
L'énorme du succès du premier ne pouvait rester sans suite. Casey Ryback est donc de retour dans un train avec sa nièce (!) bourré de terroristes menés par un geek énervé. Déjà à l'époque, le ton et l'action paraissait daté. Surtout qu'il sortait à peine un mois après "Die Hard 3", un film d'action-modèle des années 90 annonçant un changement pour la décennie suivante. "Piège à grande vitesse" est l'exemple typique de la suite opportuniste: le studio ne veut que de l'argent en plus, la star accepte contre un salaire mirobolant (et la promesse de pouvoir réaliser ce qu'il veut ensuite, à savoir "Terrain miné"...). Le scénario ne fait donc que copier l'original, en se la coulant douce niveau vraisemblance (la fin, franchement les gars), n'hésitant pas à abuser de personnages caricaturaux et outranciers (ce qui nous vaut quelques fous rire), avec en prime un excès de violence éhonté pour mettre en valeur ce cher Steven. Pas de chance, "Piège en haute mer" était le chant du cygne d'un genre appelé à s'éteindre. Cette suite était déjà ringarde avant qu'elle ne sorte. Sans compter son côté ridicule, de plus en plus prononcé avec les années qui passent.
"Une leçon d’aïkido express" de la part S.Seagal vis à vis d'une bande de terroristes "malchanceux" de tomber sur "Casey Ryback", ancien retraité de la marine devenu chef cuisinier, et préparant les plus belles" tartes de phalanges" au monde, et en plus dans tous les moyens de locomotion existant. Je viens de le revoir sur TMC, et c'est du cinéma d'action correct au même titre que "piège en haute mer". G.Murphy offre une photographie plutôt pauvre, vieillissante sauvée par une "bonne chorégraphie de combat" combinée à une "agréable composition musicale" de B.Poledouris. Néanmoins, ce film figure parmi les mieux de cet acteur au sommet de sa carrière dans les années 90.
Dans la même lignée que piège en haute mer. On reprend les même éléments du film d'action efficace, on passe un bon moment et le suspens est là. Bien mieux que la plupart des bouzes qui passent a la tv.
On continue la panoplie du grand Steven, les époustouflants combats, les répliques à vous faire pleurer, les effets spéciaux mis en valeur, et la classe du personnage. Bref, un concentré de volonté pompé sur Walker Texas Ranger et James Bond. Un mélange délicieux pour vous faire gerber après une overdose de nulité.
Piège à grande vitesse est un film médiocre de Geoff Murphy. La mise en scène du réalisateur reste très simple, les acteurs comme Steven Seagal, Katherine Heigl ou encore Morris Chestnut sont peu convaincants dans leurs rôles, le scénario est plat et le film n’a aucun intérêt. Bref, ça vaut une étoile.
Cette suite du catastrophique "Piège en haute mer" pousse encore plus loin le parfum de nanar en accumulant encore plus les stéréotypes (eh oui, c'est possible). Cependant, grâce à ça, il est peut-être plus amusant et moins amorphe. Malheureusement, le personnage de Steven Seagal reste un super-héros grotesque et sans charisme.
Du Steven Seagal dans toute sa splendeur. Pas un chef-d'oeuvre ni un navet, juste un film d'action qui nous met de gros coup de rangers dans la gueule.
C'est steven seagal il est piégié dans un train avec un noir qui reluque sa petite nièce, alors il lui fait une clé de bras puis il lui casse la gueule. Après y'a des terroristes roumains et un informaticiens qu'arrivent pour faire pêter une bombe et emerder la nièce à steven Seagal, alors ils leurs fait un Ippon retourné et il leur cassent leur gueules. A la fin du film la petite nièce à Steven elle se fait prendre en otage par le chef des terroristes, qui est le plus fort de la bande. Mais steven seagal il lui fait une clé de bras puis il finit par lui casser sa geule aussi au roumain. Puis comme elle est vraiment trop conne sa nièce, il la laisse avec le noir, et puis lui il descend à sa station. Il est vraiment trop fort steven Seagal.
Un film estampillé "Bac à Cerveaux" encore plus réussi que son prédécesseur, pourtant très efficace. L'histoire est transposée dans un train, et le scénario comme l'action profitent judicieusement de toutes les possibilités offertes par ce type de lieu en huis-clos. La motivation et l'équipement des ennemis sont assez développés pour être salués, tout comme les personnages secondaires (dont la jeune Catherine Heigl ayant percé depuis). Ils sont certes superficiels, mais la fille, le black, le méchant ou même son sous-fifre sont convaincants et apportent un peu d'humour ou au moins de consistance à l'ensemble. Mais bon, en gros, on a ce qu'on est venu chercher : Casey Ryback est de retour et tue les méchants de toutes les façons possibles sans jamais être inquiété (ou si peu, une balle de snipe dans l'épaule qui n'a pour ainsi dire aucun effet et une patate dans la tronche qui ne fait que plus l'énerver lors d'un combat), et en gardant toujours son air zen avec un brin d'humour (le "You're Fucked" sur la bombe m'a fait me bidonner). Un film d'action en gros très efficace et bien rempli aux quelques moments jouissifs, qui ravira à coup sûr les amateurs, dont je fais humblement partie.