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Votre avis sur La Chambre de l'évêque ?
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Excellente comèdie de Dino Risi qui s'est malheureusement fait conspuèe lors de sa sortie en salles! C'est drôle et frais avec une histoire très misogyne oscillant entre la farce et le drame et surtout une sublime Ornela Muti qui allait remettre le couvert chez Risi avec un autre grand cru du cinèaste italien: "Les nouveaux monstres", la même annèe! Patrick Dewaere et Ugo Tognazzi forment un duo improbable mais èpatant! D'après les critiques de l'èpoque, cette "Chambre de l'èvêque" a fait un tabac en Italie quand il est sorti...Dewaere avait eu des soucis de drogue après le film de Risi! il voulait en finir avec l'hèroïne mais comment faire ? En plus en 1977, la mèthadone ou le subitex n'existent pas! il y a pas de remède miracle, pas de mèdicament de substitutions! il n'y a d'autre solution que de se faire hospitaliser mais quand on s'appelle Patrick Dewaere, qu'on est cèlèbre, passer inaperçu dans ce genre d'ètablissement est mission impossible! On passe de la comèdie de moeurs à l'èrotisme, du fantastique au suspense, dans un dècor de rêve: le lac Majeur, avec une joie communicative quand on sait que c'est Risi qui rèalise le film! A noter la très belle musique d'Armando Travajoli! Une petite rèhabilitation s'impose...
Une comédie de mœurs très cynique qui commence de façon très débridée et qui se termine façon polar avec quelques maladresses. Les images du lac majeur sont magnifiques, Tognazi et tellement fabuleux en obsédé sexuel mytho,qu'il laisse peu d'espace à Dewaere pour pouvoir s'exprimer. Ornella Mutti est décevante, le côté érotique est assuré par Katia Tchenko et Karina Verlier complètement déchaînées.
Charmante comédie potache et grinçante avec à la clé un improbable duo franco-italien Dewaere-Tognazzi voguant le long du Lac Majeur à la recherche d'âme en peine mais surtout de femmes en tenue légère !
On ne s'ennuie jamais dans ce film un tantinet foutraque, les idées de Dino Risi ne sont pas toujours bien comprises mais elles tiennent le spectateur en haleine devant ce flot d'action déchainé où l'érotisme latent côtoie l'homicide puis le rire.
NB : Les décors sont splendides et les immenses envolées lyriques d'Armando Trovajoli ne font souligner cela.
Si vous n'avez pas envie de vous jeter à corps perdu dans le visionnage de cette satire italienne du mariage, levez seulement les yeux au ciel, vers ceux d'Ornella Muti !
On ne s'ennuie jamais dans ce film un tantinet foutraque, les idées de Dino Risi ne sont pas toujours bien comprises mais elles tiennent le spectateur en haleine devant ce flot d'action déchainé où l'érotisme latent côtoie l'homicide puis le rire.
NB : Les décors sont splendides et les immenses envolées lyriques d'Armando Trovajoli ne font souligner cela.
Si vous n'avez pas envie de vous jeter à corps perdu dans le visionnage de cette satire italienne du mariage, levez seulement les yeux au ciel, vers ceux d'Ornella Muti !
C'est assez bien joué mais le personnage "Orimbelli" porte vite sur les nerds alors qu'il devrait nous amuser. Patrick Dewaere est éteint. Ornella Muti, pas mieux. Et la mort de la femme d'Orimbelli n'arrive pas au moment opportun. On ne comprend plus bien où va le scénario ni l'intérêt de la mort de cette femme. Pas terrible. Je préfère, pour un scénario similaire, "Le ciel peut attendre".
Le personnage principal du film est magnifique : c'est le Lac Majeur.... après il y a Ugo Tognazzi et Ornella Muti qui jouent un couple improbable tout comme l'amitié entre Tognazzi et Patrick Dewaere, étrangement sous exploité. Un drôle de film où l'on voit une sorte de satyre lubrique sautant sur tout ce qui bouge avec la complaisance des gens autour de lui....... pas d'amour au sortir de la guerre (l'action se passe en 1946) mais du sexe et la mort... le massacre des sentiments..... très beau film de Risi
Un jeune homme s'immisce dans la vie d'une famille d'aristocrate italien. Le couple d'aristocrates ne s'entend pas, et la femme meurt, tuée sans doute par son mari. Celui-ci épouse alors sa jeune belle-soeur qui, elle, est amoureuse du jeune homme. L'action se passe dans une belle villa, et sur le voilier du jeune homme.
Tout finira en tragédie.
C'est une comédie dramatique italienne, sorte de mélodrame avec pas mal d'humour. La réalisation n'est pas du tout ennuyeuse grâce à de bons dialogues, à quelques séquences très drôles, et à de bons acteurs, Tognazzi en tête, mais Ornella Muti est assez nulle. La fin tragique est bien amenée. Les personnages principaux ne sont pas sans profondeur psychologique, même le vieil aristocrate, ancien officier de l'armée italienne. C'est une histoire crédible racontée avec un talent certain dans de très beaux décors de palais italien et de paysage lacustre d'une grande beauté.
Il n'y a pas de recherche formelle de style, mais seulement une histoire d'amour et de mort.
Tout finira en tragédie.
C'est une comédie dramatique italienne, sorte de mélodrame avec pas mal d'humour. La réalisation n'est pas du tout ennuyeuse grâce à de bons dialogues, à quelques séquences très drôles, et à de bons acteurs, Tognazzi en tête, mais Ornella Muti est assez nulle. La fin tragique est bien amenée. Les personnages principaux ne sont pas sans profondeur psychologique, même le vieil aristocrate, ancien officier de l'armée italienne. C'est une histoire crédible racontée avec un talent certain dans de très beaux décors de palais italien et de paysage lacustre d'une grande beauté.
Il n'y a pas de recherche formelle de style, mais seulement une histoire d'amour et de mort.
« La chambre de l’évêque » de Dino Risi (1977) nous emmène en 1946 sur le Lac Majeur. Dans une grande bâtisse vivent Maître Orimbelli (Ugo Tognazzi) et son épouse, la très riche Cleofe, un couple qui se déteste. Sur le lac, Marco (Patrick Dewaere) parti en Suisse pour échapper à la guerre, passe son temps sur son voilier, le Tinca, allant à son gré d’un port à l’autre et d’une femme à l’autre. Maître Orimbelli s’invitera sur le bateau de Marco et invitera celui-ci à diner et dormir chez lui. Marco fera la connaissance de la ténébreuse Matilde (Ornella Mutti), la belle-sœur de Cleofe dont le mari a été porté disparu à la guerre et il dormira dans la chambre de l’évêque, un oncle, légat qui est mort noyé dans la darse de la villa pour – on le saura plus tard – un histoire de c.. mais sa chambre a été conservée intacte avec son habit sacerdotal dans une armoire à la porte grinçante. Dans cette chambre, se trouve également un coffre contenant tous les secrets de Maître Orimbelli qui a disparu après la campagne d'Abyssinie entre 1936 et 1946 ! Bref Mario ne peut échapper à amener sur son bateau le maître des lieux et Mathilde qui est pour lui comme sa fille… L’aventure va se corser quand il dira qu’elle est en fait la femme de sa vie, un amour empêché par la présence de Cleofe. Marco ira de découvertes en découvertes et Maître Orimbelli d’histoires en histoires. Un jour Maître Orimbelli postera une lettre pour son épouse… qui sera retrouvée noyée dans la darse. Suicide ou homicide se demandera le juge… Le frère de Cleofe n’est en fait pas mort mais son mariage n'ayant pas été consommé, il est invalidé… Maître Orimbelli et Mathilde de se marier rapidement. Mais le frère de Cleofe apportera au juge une lettre que sa sœur lui a envoyé le jour de sa mort faisant allusion à la lettre postée par Maître Orimbelli. Suicide ou homicide se demandera donc de nouveau le juge… et un dernier élément permettra de trancher.
Un film qui a comme défaut de commencer trop lentement nous amenant à penser qu’il s’agit uniquement d’une histoire de fesses alors que les rebondissements nous tiennent en haleine : qui dit la vérité Maître Orimbelli, Mathilde ou son mari ?
Patrick Dewaere est d’une grande subtilité dans ce rôle plein de mystères et Ugo Tognazzi excelle dans ce rôle bien trouble et cette farce tragique.
Ce film a été sifflé à Cannes et a eu peu de succès en France alors qu’en Italie il fut très bien accueilli ! Comme quoi, il mérite assurément d’être vu voire revu !
Un film qui a comme défaut de commencer trop lentement nous amenant à penser qu’il s’agit uniquement d’une histoire de fesses alors que les rebondissements nous tiennent en haleine : qui dit la vérité Maître Orimbelli, Mathilde ou son mari ?
Patrick Dewaere est d’une grande subtilité dans ce rôle plein de mystères et Ugo Tognazzi excelle dans ce rôle bien trouble et cette farce tragique.
Ce film a été sifflé à Cannes et a eu peu de succès en France alors qu’en Italie il fut très bien accueilli ! Comme quoi, il mérite assurément d’être vu voire revu !
Le problème fondamental du film est qu'il ne sait jamais s'il veut être une comédie un mystère ou un drame sérieux. Au centre de l'histoire se trouve Temistocle Mario Orimbelli un homme qui a épousé une femme riche et qui vit dans sa magnifique villa donnant sur le Lac Majeur. Un soir Mario aperçoit par hasard un homme plus jeune qui essaie de faire des courses pour son dîner dans un magasin qui vient de fermer pour la journée. Mario décide d'inviter l'étranger chez lui mais pour s'y rendre, ils prennent le bateau car il dispose d'une installation d'amarrage. Ugo Tognazzi apporte une bonne contribution au film. Ce n'est pas de sa faute si le scénario n'a pas de sens il est comme d'habitude efficace en livrant ce qu'on attendait de lui. Patrick Dewaere joue mal et a l'air dans le brouillard de cette histoire. Ornella Muti fait une belle Matilde ma ca ne suffit pas a en faire un bon film loin de la...
Un des plus beau rôle de Mr Dewaere. Presque magique.
Ce film commence comme une comédie grivoise (vulgaire diront certains) de bonne facture, avec un Ugo Tognazzi brillant dans un rôle assez hilarant. Et puis vient
spoiler:
la mort de sa femme
, et là on se retrouve dans un film policier de seconde zone assez mal fichu. A partir de là l'humour n'est plus du tout présent et ça devient franchement pénible à suivre. Vraiment dommage ! J'avais envie de mettre 3.5 voire 4 mais finalement ce sera 2.5 à cause de cette seconde partie bancale et limite hors sujet !
, et là on se retrouve dans un film policier de seconde zone assez mal fichu. A partir de là l'humour n'est plus du tout présent et ça devient franchement pénible à suivre. Vraiment dommage ! J'avais envie de mettre 3.5 voire 4 mais finalement ce sera 2.5 à cause de cette seconde partie bancale et limite hors sujet !
J'adore Risi mais là, il faut reconnaître, que les invraisemblances du scénario, combinées avec un humour qui, pour une fois, ne passe pas du tout la rampe, ne permettent pas à cette Chambre de captiver le spectateur. L'association Dewaere / Tognazzi ne convainc en effet pas, ce dernier - malgré son génie - ne parvenant pas à être crédible dans son rôle de tombeur égrillard. Restent Ornella Muti, magnifique mais, alors, piètre comédienne, dont il faudra attendre quelques années pour qu'éclose son talent ("Conte de de la folie ordinaire", "Le futur est femme"...) et le lac Majeur, particulièrement bien filmé.
Malgré la vulgarité ambiante de ce film, l'univers du lac Majeur lui donne un certain charme.
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