Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
par Emmanuel Denis
S'appuyant sur un sujet d'anticipation original, Omar Naim réalise un film d'anticipation subtil et prometteur. (...) une approche de l'anticipation à la fois intimiste et ambitieuse.
Le Figaro
par Jean-Luc Wachthausen
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle TRANCHANT
Un premier film de science-fiction au sujet original, qui entraîne dans les méandres de la subjectivité et du rapport au temps. Il s'y perd un peu, à vrai dire. Mais le réalisateur, Omar Naim, crée une atmosphère visuelle souvent prenante entre futurisme et nostalgie.
Première
par Gérard Delorme
Comme souvent dans les premiers films, Final Cut pèche par excès: il est peut-être un peu trop substantiel, trop écrit et trop théorique. Mais c'est manifestement le travail d'un passionné qui a pensé chaque image dans ses moindres détails, jusqu'aux références cinéphiles. A l'évidence, Omar Naim est un cinéaste à suivre.
Score
par Anthony Wong
Ce qui impressionne considérablement dans Final cut, c'est avec quelle maîtrise le jeune réalisateur Omar Naim ne sombre pas dans les travers du "premier film qui veut en mettre plein la gueule". En dépit d'un scénario pas aussi malin qu'il le voudrait, Naim réussit à rendre crédible un procédé difficile à gober (...). Ca reste un bon début.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Yasmine Youssi
(...) un premier film atypique et captivant, à mille lieues des sentiers balisés de la SF. Dans le rôle principal, Robin Williams est aussi sobre et dérangeant qu'il était volubile auparavant. Une passionnante métaphore de la création.
Cinéastes
par boris Jeanne
le film ne décolle pas car il ne veut pas enfoncer le barrage du politiquement correct. On en ressort avec l'étrange impression d'être passé à côté du film de l'année : qu'aurait fait un réalisateur moins soumis à la pression de la première tentative américaine (...) avec une idée de départ aussi bonne ?
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Bayon
L'épisode mnésique Final Cut exploite un sujet autrement digne, à la K. Dick [...] Robin Williams, le monteur, a une voix prenante et confirme (contre certaines préventions) son étoffe dramatique [...]. En larron, Jim Caviezel, Monte-Christ qu'on revoit vivant pour la première fois depuis sa mort dans le passionnant péplum de Gibson. Sa barbe bizarre tire Jésus au musulman Ben Laden. Au total : faute de développements et de dénouement, l'argument relevé tourne court.
Ouest France
par La rédaction
Présenté au Festival de Deauville, un premier film original et culotté, fort de la présence de Robin Williams, Jim Caviezel et Mira Sorvino. Dommage que le scénario n'aille pas tout-à-fait jusqu'au bout de ses virtualités.
Paris Match
par Alain Spira
Quel dommage qu'une si bonne idée de départ s'enlise si vite à cause d'un scénario qui part dans tous les sens. Le réalisateur ne parvient pas à choisir un angle, alosr il slalome d'une idée à l'autre sans tenir son cap. Les inconditionnels de Robin Williams seront heureux de retrouver l'acteur tel qu'en lui-même, mais sans plus...Allez, cut !
Positif
par Fabien Baumann
Voici un premier long métrage d'anticipation dont l'énoncé détient une grande idée cinématographique.[...] Il manque cependant à la réalisation une force visuelle qui aurait déployé un véritable imaginaire au-dessus de cette banalité revendiquée.[...] Finalement, c'est un film qui a paresseusement installé une caméra à la place des différents univers mentaux pourtant irréductibles.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Danilo Lemaire
L'esthétique et l'atmosphère sont là. A l'arrivée, un suspense psychologico-policier correctement troussé.
Cahiers du Cinéma
par Xavier Trevsaux
Omar Naïm devra se passer d'un acteur poli (ou bien demander à Bill Murray) q'il veut nous faire, par ses films futurs, concrètement rêver.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Exemple typique de ces films signés de jeunes réalisateurs sortis d'une école de cinéma et nourris par une approche à la fois trop ludique et trop intellectuelle, Final Cut intrigue un moment avant d'être noyé par des ressorts psychologiques convenus et une mise en scène assez terne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert
le film ne décolle pas, zigzaguant jusqu'à une fin en queue de poisson avec course-poursuite, guns et tout le tralala...Omar Naim disposait-il du final cut pour son premier film hollywoodien ?
MCinéma.com
par Camille Brun
THE FINAL CUT devrait rester dans les mémoires comme l'exemple à ne pas suivre par les jeunes scénaristes. (...) Omar Naïm qui signe ici son premier long métrage, se révèle incapable de choisir parmi toutes les options que lui offre son script. Et à courir trop de lièvres à la fois (...), le film ne décolle jamais et Naïm perd en grande partie l'attention de son spectateur.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Omar Naim bâtit un film en toc. Au lieu de jouer sur le pouvoir de l'embaumeur en vidéo, il mise prudemment sur des contrastes classiques : cet homme froid est pourtant sensible, il règne sur les secrets des autres mais il est dépassé par ce qu'il découvre soudain à son propre sujet... Soit, dans une atmosphère fabriquée par le chef opérateur de M. Night Shyamalan, une intrigue finalement assez gnangnan.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Sans avoir recours aux effets spéciaux, le film s'accommode de ses maigres moyens pour traiter d'un sujet délicat (...). Exploité avec plus ou moins de pertinence, le thème de la mémoire est devenu un filon aujourd'hui opportuniste par lequel on peut s'autoriser toutes les pirouettes possibles et les scénarios les plus improbables.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
S'appuyant sur un sujet d'anticipation original, Omar Naim réalise un film d'anticipation subtil et prometteur. (...) une approche de l'anticipation à la fois intimiste et ambitieuse.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un premier film de science-fiction au sujet original, qui entraîne dans les méandres de la subjectivité et du rapport au temps. Il s'y perd un peu, à vrai dire. Mais le réalisateur, Omar Naim, crée une atmosphère visuelle souvent prenante entre futurisme et nostalgie.
Première
Comme souvent dans les premiers films, Final Cut pèche par excès: il est peut-être un peu trop substantiel, trop écrit et trop théorique. Mais c'est manifestement le travail d'un passionné qui a pensé chaque image dans ses moindres détails, jusqu'aux références cinéphiles. A l'évidence, Omar Naim est un cinéaste à suivre.
Score
Ce qui impressionne considérablement dans Final cut, c'est avec quelle maîtrise le jeune réalisateur Omar Naim ne sombre pas dans les travers du "premier film qui veut en mettre plein la gueule". En dépit d'un scénario pas aussi malin qu'il le voudrait, Naim réussit à rendre crédible un procédé difficile à gober (...). Ca reste un bon début.
Zurban
(...) un premier film atypique et captivant, à mille lieues des sentiers balisés de la SF. Dans le rôle principal, Robin Williams est aussi sobre et dérangeant qu'il était volubile auparavant. Une passionnante métaphore de la création.
Cinéastes
le film ne décolle pas car il ne veut pas enfoncer le barrage du politiquement correct. On en ressort avec l'étrange impression d'être passé à côté du film de l'année : qu'aurait fait un réalisateur moins soumis à la pression de la première tentative américaine (...) avec une idée de départ aussi bonne ?
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
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Libération
L'épisode mnésique Final Cut exploite un sujet autrement digne, à la K. Dick [...] Robin Williams, le monteur, a une voix prenante et confirme (contre certaines préventions) son étoffe dramatique [...]. En larron, Jim Caviezel, Monte-Christ qu'on revoit vivant pour la première fois depuis sa mort dans le passionnant péplum de Gibson. Sa barbe bizarre tire Jésus au musulman Ben Laden. Au total : faute de développements et de dénouement, l'argument relevé tourne court.
Ouest France
Présenté au Festival de Deauville, un premier film original et culotté, fort de la présence de Robin Williams, Jim Caviezel et Mira Sorvino. Dommage que le scénario n'aille pas tout-à-fait jusqu'au bout de ses virtualités.
Paris Match
Quel dommage qu'une si bonne idée de départ s'enlise si vite à cause d'un scénario qui part dans tous les sens. Le réalisateur ne parvient pas à choisir un angle, alosr il slalome d'une idée à l'autre sans tenir son cap. Les inconditionnels de Robin Williams seront heureux de retrouver l'acteur tel qu'en lui-même, mais sans plus...Allez, cut !
Positif
Voici un premier long métrage d'anticipation dont l'énoncé détient une grande idée cinématographique.[...] Il manque cependant à la réalisation une force visuelle qui aurait déployé un véritable imaginaire au-dessus de cette banalité revendiquée.[...] Finalement, c'est un film qui a paresseusement installé une caméra à la place des différents univers mentaux pourtant irréductibles.
TéléCinéObs
L'esthétique et l'atmosphère sont là. A l'arrivée, un suspense psychologico-policier correctement troussé.
Cahiers du Cinéma
Omar Naïm devra se passer d'un acteur poli (ou bien demander à Bill Murray) q'il veut nous faire, par ses films futurs, concrètement rêver.
Le Monde
Exemple typique de ces films signés de jeunes réalisateurs sortis d'une école de cinéma et nourris par une approche à la fois trop ludique et trop intellectuelle, Final Cut intrigue un moment avant d'être noyé par des ressorts psychologiques convenus et une mise en scène assez terne.
Les Inrockuptibles
le film ne décolle pas, zigzaguant jusqu'à une fin en queue de poisson avec course-poursuite, guns et tout le tralala...Omar Naim disposait-il du final cut pour son premier film hollywoodien ?
MCinéma.com
THE FINAL CUT devrait rester dans les mémoires comme l'exemple à ne pas suivre par les jeunes scénaristes. (...) Omar Naïm qui signe ici son premier long métrage, se révèle incapable de choisir parmi toutes les options que lui offre son script. Et à courir trop de lièvres à la fois (...), le film ne décolle jamais et Naïm perd en grande partie l'attention de son spectateur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Omar Naim bâtit un film en toc. Au lieu de jouer sur le pouvoir de l'embaumeur en vidéo, il mise prudemment sur des contrastes classiques : cet homme froid est pourtant sensible, il règne sur les secrets des autres mais il est dépassé par ce qu'il découvre soudain à son propre sujet... Soit, dans une atmosphère fabriquée par le chef opérateur de M. Night Shyamalan, une intrigue finalement assez gnangnan.
aVoir-aLire.com
Sans avoir recours aux effets spéciaux, le film s'accommode de ses maigres moyens pour traiter d'un sujet délicat (...). Exploité avec plus ou moins de pertinence, le thème de la mémoire est devenu un filon aujourd'hui opportuniste par lequel on peut s'autoriser toutes les pirouettes possibles et les scénarios les plus improbables.