Derniers Avis : L'Ouragan vient de Navarone - Page 2

Film d’action assez malaimé que L’Ouragan vient de Navarone, le souci c’est en fait la comparaison qu’on peut faire avec le premier métrage qui reste quand même un morceau, alors que là on est plus dans la série B guerrière d’action, pas mauvaise, mais sans grand génie.
Le casting est prestigieux, certes c’est un fait. Les interprètes forment le noyau dur du film, qui peut compter sur des acteurs célèbres, mais pas forcément tous cependant au top. Franco Nero est de ceux qui tirent leur épingle du jeu, campant un personnage ambigu avec son charisme et sa présence habituelle. Un acteur capable de choses brillantes quand il le veut. Richard Kiel davantage exploité qu’à l’accoutumer offre aussi une prestation surprenante, impressionnante en méchant colosse, et il parvient à tirer son épingle du jeu. Shaw est à l’aise aussi. En revanche relative déception venant d’Harrison Ford, un peu fade et tiède par rapport à ses collègues, tandis que Weathers semble parfois un peu décalé, pas très à l’aise.
Le scénario mise essentiellement sur l’action. Fusillade, rythme nerveux, rebondissements, L’Ouragan vient de Navarone est avant tout un film d’aventure et il assume bien cet aspect, avec quelques séquences surprenantes qui viendront pimenter le métrage qui réserve quelques surprises. Reste que c’est un peu longuet malgré tout, et que l’intrigue reste comprimée à peu de choses. Ça manque aussi de souffle pour un film de guerre et tout n’est pas d’une grande crédibilité, c’est le moins que l’on puisse dire.
Sur la forme quelques petites choses à redire, notamment sur la photographie des scènes nocturnes. Beaucoup trop sombres, elles ne permettent pas du tout d’apprécier ce qui peut se passer à l’écran à ce moment-là, et si elles ne sont pas très nombreuses c’est quand même ennuyeux. De la même manière Hamilton est aussi parfois un peu brouillon dans ses scènes d’action (dont une riche en pyrotechnie). Néanmoins les décors sont au top, certains paysages sont superbes, la reconstitution d’époque est au niveau, Hamilton réussit aussi d’autres scènes d’action, et la photographie de jour compense assez bien celle de nuit. La bande son est à l’image du film finalement, propre, mais manque de souffle et de recherche.
En conclusion je dirai que L’Ouragan vient de Navarone est un film sympathique, divertissant, mais pas vraiment à la hauteur de son modèle et de son casting. Quand on regarde le titre et les acteurs au générique, on imagine un film de guerre marquant, et on ne peut donc qu’être déçu par le résultat, même s’il ne démérite pas tellement dans le registre série B d’aventure de luxe. Je lui accorde 3.

Que dire de cette suite assez décevante... Le scénario est assez simpliste voir un peu trop, beaucoup d'incohérence dans les personnage de Malory et Miller par rapport au premier opus et malgré tout cela, ce film reste prenant et amusant avec un Harrisson Ford et un Carl Weather implanté dans le décor. A voir au second degré et un jour de pluie où il n'y a rien d'autre à faire.

Guy Hamilton derrière la caméra, Robert Shaw, Barbara Bach et Richard Kiel devant, cela vous dit quelque chose ? Une célèbre saga avec pour héros un célèbre agent de Sa Majesté par exemple ? Et bien non, même s'il y a quand même un peu de ça. Car « L'Ouragan vient de Navarone », ce sont des aventures très peu crédibles, des personnages « à la cool », des gentils, des méchants, des traîtres, des enjeux mondiaux... Bref, un pur divertissement, le fun et le plaisir en moins. On sent bien que tout le monde fait un effort pour ne pas trop se prendre au sérieux, mais c'est long, banal, sans personnalité... Professionnel, certes, pas antipathique, la présence d'autres figures talentueuses (Harrison Ford, Franco Nero, Carl Weathers et surtout l'irrésistible Edward Fox) rendant le plat un peu plus digeste, sans oublier un final plutôt bien foutu. Reste que l'entreprise s'avère vite totalement anecdotique, le genre de film que l'on regarde d'un œil distrait, et que l'on oublie presque aussitôt : revoir plutôt « Les Canons de Navarone » que cette vraie-fausse suite assez poussive.

À ne pas voir.!
À ne pas voir.!
À ne pas voir.!
À ne pas voir.!
À ne pas voir.!
À ne pas voir.!
À ne pas voir.!

Cette suite « des canons de Navarone » est plutôt bien réussie. L’histoire est intéressante et prenante. Les lieux avec les montagnes de Yougoslavie sont un bon terrain pour de l’action. Pas vraiment de quoi s’ennuyer pendant près de deux heures, les amateurs du genre seront ravis. Seul regret, la qualité d’interprétation est loin d’atteindre celle du premier opus. En effet les « monstres » du cinéma que sont Gregory Peck, David Niven, Anthony Quinn ne sont plus là et sont remplacés par un Robert Shaw peu motivé par le scénario, un Harrison Ford à ses débuts et un Edward Fox sympa mais sans plus. Néanmoins ce film a quand même du potentiel et se positionne comme un bon film de guerre. A voir car on passe un agréable moment. Pour ma part, j’ai bien aimé.

Une suite que je trouve légère par rapport à ce qui pouvait être fait. Peut-être une question de moyens? C'est surtout le final qui est intéressant et vraiment bien foutu. La première heure est assez confuse, beaucoup trop de rebondissements, de trahisons et pas assez de rythme. Il y a souvent beaucoup de bruits pour pas grand-chose et la bande originale en rajoute énormément. Heureusement, ça se termine bien, mieux pour être exact !!

Suite spectaculaire du mythique "The Guns of Navarone" (1961) où l'on a du renouveler entièrement la distribution d'origine! Pourquoi attendre le dèluge quand on peut le provoquer! Dynamiter un pont est tout à fait possible et c'est ce que la « Force 10 » vient dèmontrer dans un film de guerre sans temps mort et particulièrement efficace si on aime le genre! La distribution est brillante (Robert Shaw, Harrison Ford, Carl Weathers...) et Guy Hamilton a fait preuve de savoir faire dans les nombreuses sèquences d'action! Dans ce « Navarone n°2 » , la guerre n'est finalement qu'une toile de fond, un prètexte à accumuler quelques morceaux de bravoure rèussis dont la destruction d'un barrage! De plus le personnage d'Edward Fox ne manque pas d'humour avec des arguments techniques qui font leurs petits effets! Bref, formidable divertissement à l'ancienne du dimanche soir que l'on aime voir et revoir avec plaisir un dimanche soir...

33 ans déjà que ce film invraisemblable et baroque est vu par les générations successives qui en ont fait finalement une sorte de film ''culte''. Harison Ford y est pourtant bien maladroit et les acteurs dans l'ensemble ne sont pas son point fort. Son succès provient de son scénario qui accroché au départ à celui des canons de Navaronne n'hésite pas à s'en éloigner pour devenir totalement imprévisible. Les rebondissements sont constants et l'ennui qui naît de l'uniformité n'a aucune chance d'arriver ici. La fin est tout à fait inoubliable et rien que pour elle ce film est à voir. La mise en scène et la bande sonore sont tout à fait correctes et l'humour ''British'' ne manque pas dans la bouche de Robert Shaw. C'est une bonne surprise de retrouver Richard Kiel qui est vraiment destiné à mourir systématiquement mais toujours pour notre plus grand plaisir. L'héroïne est bien belle mais nous sommes un peu privés de sa présence ce qui n'est pas le cas de Franco Nero excellent. Un beau divertissement familial ne se prenant pas au sérieux mais trop fait de brick et de broc pour mériter 4 étoiles.

L'ouragan vient de Navarone, banal film de guerre sans être vraiment plus insignifiant que Les canons de Navarone, n'est sauvé de la plus grande médiocrité que par un Robert Shaw professionnel comme toujours mais qui ici paraît aussi concerné qu'Harrison Ford par un film qui a dû ennuyer toute l'équipe lors des prises de vue, fait confirmé par l'acteur anglais lui même. Les situations comiques semblent tout à fait involontaires, parfois le ridiclue n'est pas loin (voir l'affrontement entre le black et Richard Keel, le mort boche à qui on fait relever le bras). Les personnages n'existent pas, Barbara Bach reste réduite à l'état de potiche et les boches sont d'un ridicule (le lait qui déborde) qui frise le manque de respect vis à vis de leurs victimes. Le film se laisse parfois voir grâce à une action assez rapide dans la succession des événements. Cependant, l'intrigue est totalement improbable : le coup de la pénicilline est à se plier en quatre, faire sauter un barrage pour inonder une valée et faire chuter un pont, joindre à des hommes sur entraînés deux retraités dont Shaw à l'obésité avancée et qui maigrit au fur et à mesure du film (quel manque de raccords ! ainsi que ses douleurs), le vol des munitions dans la caserne fritz, font sourire. Pathétique et triste pour Robert Shaw dont c'est le dernier film achevé.

Le scénario est pas mal grâce notamment à ses différents rebondissements, les acteurs sont bons, la photographie est bonne, c'est un film de guerre plaisant à voir.

une scénario passable, une mie en scène moyenne. Un film sans grand intérêt si ce n'est la présence d'Harrison Ford

Il ne marque pas les esprits,néanmoins,un film de guerre plutôt correct bien que ne faisant pas preuve d'originalité,et à l'intrigue que l'on arrive à suivre tout le long.

un film bâclé avec un humour impitoyable

Cette pseudo suite des fameux « Canons de Navarone », sans valoir l’original, se laisse regarder gentiment, pas mal d’action et un casting peu commun aide à passer un bon moment. On y croise au côté de Robert Shaw, Harrison Ford entre deux « Star wars », Carl Weathers entre deux « Rocky », mais aussi Richard Kiel, Franco Nero et Barbara Bach.

Tres bon film d'action, pour la suite des Canons de Navaronne avec une exellente distribution. Dommage que Gregory PECK n'ait pas tenu le rôle de Keith MALLORY. mais très bonne interpretation générale d'où les 3 Etoiles. sur 4.