Un brulôt dévastateur contre l'amérique de bush , qui a l'avantage d'ouvrir les yeux et le désavantage d'être atrocement partial.Moore met en avant la propagande républicaine pour justifier ceçi ou cela et se livre lui même à une propagande terrible contre bush ! Fait ce que je te dis , ne fait pas ce que je fait !Reste que les situations cocasses ne manquent pas et parviennent à faire rire et à interpeller. A voir .
Ce film doit nous ouvrir les yeux sur la politique de GW Bush, mais en faite je les avais déja ouvert, il ne mérite que sa palm d'or à Cannes pour un tremplin aux états unis qui eux devraient les ouvrir, pour moi c'est Old boy qui devait avoir la palm. Bref 2 étoiles pour moi car le film ne nous donne que des vérités que nous savons déja, par contre 2 étoile parce que si vous ne savez pas, voyez le !
Superbe film documentaire sur l'administration Bush (et ses manœuvres politiques)et la guerre en Irak. Recueil de témoignages poignant et de documents écrits ou audiovisuels, ce film dénonce la politique-business américaine.Cependant ce film n'est pas totalement objectif puisque Michael Moore est clairement perçu comme un antibush ( en effet, tout le long du film Bush est présenté comme une marionnette au service de son père).Film à voir
Personnellement, le plus mauvais "documentaire" que j'ai jamais vu. Comment peut-on applaudir un tel navet ? Ce film est à l'image de l'amérique et de Michael Moore : lourd. Je ne sais pas si ce film est représentatif du niveau de débat au Etats-Unis, mais çà fait peur. Que Bush ait fait des bêtises et soit un mauvais président, c'est sur et certain. Le problème du film est qu'il rentre dans de l'anti Bush (et anti amérique) primitif avec des arguments lourds et caricaturaux. On se croirait dans X-Files : le président nous ment, le gouvernement nous ment ... Les arguments et interprètations sont totalement subjectives. Au final, en réfléchissant un peu, on aurait presque de la sympathie pour Bush. De nombreux documentaires à charge sur l'administration Bush ont été réalisés, 100 fois meilleurs et 100 fois plus crédibles ... et donc 100 fois plus méchants. Rien ne rattrape le film : mauvaise organisation du film, mauvaise photographie (on a l'impression que c'est pris avec le vieux camescope de mon oncle), le néant total. En plus, ce film aura une durée de vie très courte et n'aura aucun intérêt dans le futur, tellement le sujet est braqué sur un personnage et non un système. En conclusion, un film à éviter.
Un dossier implacable avec des révélations effrayantes sur l'administration bush. Très intéressant. Seul défauts : les arguments se suivent et se mélangent, on est un peu perdu ce qui rend parfois le procès moins accablant.
Révélation au grand jour des dessous de la politique de Bush au moyen d'une réflexion rudement bien menée autour des attentats du 11 septembre. Découverte ou simple confirmation de ce que l'on savait déjà, ce documentaire n'en demeure pas moins riche, intéressant, intelligent, percutant et pousse (un peu trop parfois !) le spectateur "lambda moins" à faire appel à son esprit critique pour discerner un monde politique construit autour du profit, de l'hypocrisie et de la manipulation embaumé par des médias manipulés. Michaël Moore, en donneur de leçons insolent, nous impose néanmoins sa propre vision des faits en jouant de manière perverse avec nos émotions (récit de la mère ayant perdu son fils à la guerre). Moore manipulateur ? Attention à ne pas tomber dans son propre piège !
Bush et son gouvernement en prennent pour leur compte dans ce pamphlet brûlant de Michael Moore. La première partie est interessante, dommage que la deuxième s'enlise dans les bons sentiments.
Un film d'utilité publique! A mettre entre toutes les mains! (Attention malgré tout, des scènes très difficiles mais comment pourrait-il en être autrement avec un sujet comme celui-ci?)
Le travail de Michael Moore est nécessaire dans un pays comme les Etats-Unis où il ya tellement de choses à dénoncer. Mais son travail n'en reste pas moins détestable. Parfois autant dans le fond que dans la forme. Informations en raffales, chiffres en veux-tu en voilà... M. Moore procède à un abrutissement total pour arriver à ses fins, c'est-à-dire, que tout le monde soit d'accord avec lui. Et ça marche. Seulement là où son entreprise devient carrément douteuse c'est quand il aborde le sujet de la guerre en Irak. A l'écran une petite Irakienne sur une balançoire. Ralenti, musique (la larme du spectateur coule). En voix off, le réalisateur dit en gros que ce peuple s'est fait envahir après le 11/09 alors qu'il n'avais rien demandé à personne. Que les Irakiens ne voulaient pas cela. Eux les Irakiens qui n'ont jamais tués un américain... Oh la la... Et le Golfe? C'était pour rire? Un réalisateur à des responsabilités, il ne peut pas dire n'importe quoi quand même. Au final Michael Moore devient exactement ceux qu'il dénonce en employant les mêmes méthodes.
Violent pamphlet ou réflexion posée et intelligente ? Lorsque l’on visionne "Fahrenheit 9/11" c’est la question que l’on se pose pendant deux heures et c’est souvent vers la première option que se portent nos jugements. En effet, après ce que l’on peut appeler son chef d’œuvre "Bowling for Colombine" Michael Moore s’attaquait au président Bush pour interpeller les consciences dans un seul but : empêcher sa réélection. Et même si cette Palme d’Or 2004 a suscité bien des controverses à son égard avouons que le cinéaste n’a rien perdu de son talent ; il sait appuyer là ou ça fait mal. Il sait également introduire magistralement son récit en prenant toujours le soin d’apporter un certain second degré et une jolie pointe d’humour noir pour amplifier son brûlot. Et visiblement ça marche car la première partie du film est très efficace, parfois même marquante tant les thèses et les exemples s’enchaînant s’avèrent passionnants. Seulement contrairement à "Bowling for Colombine", le propos perd grandement de sa vitesse à mi-parcours car Moore a usé presque toutes ses balles dans sa première moitié sans prendre le temps de penser à la seconde. Et plutôt que d’affronter ses failles le cinéaste préfère rebrousser chemin ; il prend des raccourcis, contourne ses obstacles et se réfugie trop souvent dans le tire larmes (on pense au passage des soldats en Irak) ce qui est bien dommage au vue de ce qui avait été annoncé. Mais quoi qu’il en soit "Fahrenheit 9/11" ne laisse pas indifférent.