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Un visiteur
4,0
Publiée le 7 janvier 2007
Très bon documentaire qui se distincte surtout sur le travail de terrain, ce qui rend l'ouvrage plus vivant. C'est vrai que Michaël Moore y va parfois un peu fort, mais bon cela porte ses fruits et cela donne des résultats concrets. Les séquences sont aussi très bien mises place puisqu'on a l'impression d'avoir des effets de rebondissement dans le reportage. Seulement, je ne pense pas que Farenheit 9/11 méritait cette palme d'or. Je trouve dommage d'avoir utiliser ce film comme propagande. Et dommage pour less autres films qui lui étaient supérieurs comme Old Boy. Cependant, Farenheit 9/11 reste un très bon documentaire dont l'esprit critique permet de préserver une certaine démocratie.
Sans avoir le même enthousiasme que le festival de Cannes au sujet de ce film, je dois bien reconnaitre qu’une fois de plus, je ne peux qu’apprécier la patte de Michael Moore pour sa provocation, ses confrontations et montages pertinents et bien évidemment pour la rigueur de sa démonstration. Seulement voilà, il y a toujours la même faiblesse : le pathos. OK, ça marche auprès du grand public ricain ça, mais moi je ne supporte pas qu’on utilise le sentimentalisme pour m’amadouer. Il suffit de me convaincre, ce que ce film fait malgré tout de manière fort convenable…
Ce film dépeint avec un humour corrosif et une grande ironie, la spécialité de Michael Moore, le mandat d'un homme qui n'aurait jamais dû se retrouver à la tête de l'état le plus puissant du monde! La première partie est consternante de vérité mais seulement un point de vue nous est exposé mais il est renforcé par de nombreux témoignages sur le président des Etats Unis ! La deuxième partie traite de la guerre en Irak et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle est choquante de réalisme ! Le témoignage de la mère d'un soldat, vous crève le coeur (j'en est pleurer) et les méthodes de recrutement des soldats sont honteuses indignes d'un Etat qui se veut le plus démocrate ! Un pamphlet dont on retiendra la décontraction d'un président face à une situation de crise, autant dire un incapable au mauvais endroit au mauvais moment ! Avant d'aller voir ce film, j'avais de la sympathie (un peu mais vraiment pas beaucoup) pour George W.Bush maintenant j'espère une chose c'est que cet homme ne soit pas réélu ! Bravo M.Moore, on connait enfin toute la vérité !
La subjectivité de Michael Moore ne fait aucun doute mais son pamphlet anti-Bush est monté de manière incroyable, il ne perd jamais le spectateur et sait livrer ses informations toujours avec pertinence et humour.
Si la démagogie n'est souvent pas loin, nous ne pouvons pas nier que ce que dit Michael Moore touche souvent juste. Beaucoup l'ont critiqué à l'époque, force est de constaté qu'aujourd'hui plus que jamais, il avait raison !!!
On se souvient tous du précédent documentaire de Michael Moore, Bowling For Columbine qui avait été un véritable choc. Aujourd'hui, le journaliste revient avec un documentaire sur la politique de George W Bush. Une fois de plus, le réalisateur assassine la politique de son gouvernement, le Patriot Act, la guerre en Irak, ... Et il le fait bien. Le premier quart d'heure est magistral, montrant la réaction du président face aux attentats du 11 Septembre 2001. Et ce n'est que le début. Avec plus de deux heures de film, Michael Moore argumente de manière brillante, avec des images chocs, avec humour et talent. On ne peut pas rester indifférent à sa manière de voir les choses. Certains pensaient que trop de Moore tue le Moore. Je le pensais moi même. Mais c'est faux. Fahrenheit 9/11 est son meilleur film avec Bowling For Columbine. Il est alors impossible de s'imaginer que, après la sortie de ce film, George W Bush aie été réélu. Un documentaire choc, qui laisse KO. Indispensable.
Bien que je l'ai trouvé moins bien que le précédent je lui met quand même 3 étoiles car j'adore l'action de michael moore et tout ce qu'ils dénonce dans ce film.Vive la lutte anti Bush.C'est un documentaire très intéressant...
Palme de Plomb Farenheit 9/11 devait être LE pamphlet ultime anti-Bush. Après un Bowling For Columbine passionnant, virage à 180° pour Moore : malgré lengouement dithyrambique quil a suscité, son dernier film nest quune daube conçue dans lunique but de satisfaire les anti-américains du monde entier ( une mode très prisée actuellement, surtout dans lHexagone ) et imposer aux spectateurs SA vision des choses. Lorsquil filme une mère de G.I inconsolable à grands renforts de gros plans, et ce sur une durée de 10 minutes plus que gênantes pour celui qui regarde, le gros réalisateur à casquette est digne d'un bon reportage démago de Villeneuve sur TF1. Emotions humaines et politique sont allègrement mélangées. Quant aux gens scandalisés par la réaction du président américain lors du 9/11, il serait légitime de leur demander de quelle manière auraient-ils réagi devant lampleur du désastre bien sûr, vous répondront-ils, pas comme Bush ! Les affaires financières entre ce dernier et les barbus intégristes ( on nous les fait pratiquement passer pour de gentils bonshommes ) ont t-elles un rapport avec le 9/11 ? Pour Moore il semble que oui, alors les gens le suivent dans son délire . Et lorsquil « interroge » un membre des services secrets, les déductions de Moore atteignent les cimes du pitoyable. Regardez plutôt le document de William Karel, aux antipodes de cette uvre nauséeuse. Le film na que le « mérite » , nationalement parlant, de mettre en lumière lhypocrisie générale qui règne ici bas : Moore ( se sent-il une seule fois américain ? ) réalise un défouloir dans lequel les petits rebelles sengouffrent à pieds joints contre la Méchante bannière étoilée, ne se doutant pas que leur « formidable » pays fut longtemps colonialiste, vendit des armes en Afrique et négocia du nucléaire à Saddam Pauvre France.
Après Bowling for Columbine, Michael Moore va encore plus loin, là où ça fait mal avec le génial Fahrenheit 9/11. Lhumour ravageur, lironie et la colère engendrés par les sujets du documentaire sont indéniables à ressentir. Tout y est réel, non truqué et tellement brut que lon a envie de réagir, de tirer la sonnette dalarme : ça suffit ! On ne peut plus continuer ainsi virons B*** and cie ! Et cela na pas marché à notre grande stupéfaction. Je ne vous raconte pas ma haine en voyant la scène de B*** à lécole peut-être que Michael Moore la trafiquée ? Et si ce nétait pas le bon jour ? Bref : on y croit à fond à son documentaire, qui dit docu dit réel, réalisme, naturel, et dit fiction dit iréel, imaginaire A vous de juger.
Profondément didactique et résolument anti-Bush, Michael Moore, plus que jamais herault populaire de l'amerique d'en bas, fustige avec véhémence la guerre en Irak. Que l'on soit d'accord ou non, force est de reconnaître que son exhaustive et sardonique composition ne manque ni de charme, ni de talent. Beaucoup de talent.
Dans ses documentaires engagés, Michael Moore a toujours oscillé entre l'information et la manipulation. Si "Bowling for Columbine" posait des questions intéressantes, et était le fleuron des tactiques oratoires de Moore (il interviewe ses cibles en se faisant passer pour un redneck naïf, puis les pique au vif lorsqu'ils ont baissé leur garde), "Fahrenheit 9/11" marque un tournant dans sa carrière. D'une part, Moore laisse toute objectivité au placard, en réalisant ce pamphlet anti-Bush (trucage d'élection, incompétence, guerre injustifiée, etc.), parfois trop appuyé pour être sérieux. D'autre part, Moore est devenu trop célèbre, et ne peut plus interviewer ses cibles avec les mêmes stratégies ingénieuses. Néanmoins, le montage et la voix-off cynique sont toujours aussi maîtrisés, et l'humour caustique toujours présent. "Fahrenheit 9/11" est donc à prendre avec des pincettes, mais demeure efficace.
Noter un film de Michaël Moore repose souvent sur l'affection qu'on a ou non pour le personnage et sa démarche. Moi je n'aime pas. Ce Monsieur tire sur l'ambulance en truquant les cartouches. Les informations contenues dans ce film sont plus douteuses et tendancieuses les unes que les autres. Qu'on se fasse du fric avec ça me dérange assez.
Fahrenheit 9/11 vaut plus pour les américains que pour nous qui avons moins subit un blocage de l'information. Loin de l'exemplaire Monde Selon Bush de William Karel, le film de Michael Moore se termine mieux que le début ne le laissait espérer. Son ton ricanant, ses commentaires déplacés sur certaines images que l'on aurait aimé découvrir sans effets de montage et avec leur son sont assez déplaisants. Mais dans le dernier tiers du film , lorsque Moore se tait et s'éloigne un peu de Bush, laissant ainsi la parole aux gens et les images s'exprimer d'elles mêmes, on se sent tout de suite moins manipulé et le film devient intéressant. Il parvient même à de rares fois à se situer en parfait complément au docu de Karel en explorant les effets sur la société américaine de la politique de guerre de Bush. Cinématographiquement pauvre malgré des intentions louables (se servir du film pour contrecarrer la rééléction de Bush, je ne suis pas totalement contre), le film ne mérite quand même pas sa Palme d'Or, ni ses critiques dythirambiques.
Michael Moore ne manque pas d'ingéniosité et son film est très bien réalisé et monté. Son argumentation tient la route et ses images sont prenantes. Mais je préfère emettre un bémole vis a vis de cette palme d'or 2004, car sa vision du sujet reste quand même assez partial.
Les premières questions qui nous viennent en tête en évoquant le documentaire de Michael Moore, sont les suivantes : Fahrenheit 9/11 mérite-t-il vraiment la Palme d'Or et tout ce tapage médiatique ? Après avoir visualisé Fahrenheit 9/11 je répondrai sans aucune hésitation oui tellement M. Moore a réussi quelque chose de grand en réalisant le meilleur documentaire de l'histoire du cinéma. Il pose les vrais problèmes auxquels sont confrontés les USA et donne une vraie image de son pays sans jamais en rajouter. Avec Fahrenheit 9/11, Moore revient en plus des relations entre Bush et B. Laden, sur des évènements qui n'ont malheureusement pas été dévoilés par les médias, comme le retour des soldats US, le plus souvent blessés, dans leur pays. Moore n'épargne rien et son documentaire risque bien de faire date dans l'histoire du septième Art. :)