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    Fahrenheit 9/11
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    336 critiques spectateurs

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    ocelot
    ocelot

    24 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2011
    Film génial ! Révélations qui n'ont rien avoir avec les théories de complot !
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2010
    Un constat amère, honteux et révoltant mais qui semble si impuissant.
    Enkko-7
    Enkko-7

    43 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2009
    Intéressant mais moins pertinent que "Bowling ...". Instructif. Le sujet est peut-être abordé avec moins de force.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 septembre 2009
    Une bonne analyse qui donne à réfléchir...

    J'me pose une question débile, du coup :
    Si un avion suffit à faire s'écrouler un batiment (et sans toucher les autres autour...), pourquoi les sociétés de démolition mettent si longtemps à calculer des truc divers, variés et avariés pour leurs travaux ?


    Un aéronef, peut donc faire s'écrouler (dans ses fondations) un batiment...

    => Y'à dès fois où l'on se dit qu'ils nous prennent pour des C....s !
    Et là on en est sûr...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 juillet 2008
    Je ne comprend pas très bien... Michael Moore avait cause gagnée, alors pourquoi ne pas être rigoureux dans ses démonstrations ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 juin 2007
    Michael Moore dans ce qu'il fait de plus caricatural. Le propos du film est plongé dans une suite d'images, qui, si elles font mouche au début du film, finissent par lasser. Une déception qui ne mérite certainement pas la palme d'or.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 avril 2007
    Et une Palme d'Or usurpée, une!
    J'aimais bien Michael Moore, mais là, il se prend quelque peu au sérieux et se laisse aller non seulement à la mauvaise foi, mais également à la manipulation la plus éhontée.
    Délaissant l'analyse au profit d'anecdotes plus ou moins pertinentes, laissant le place à un sensationnalisme mal venu et à une émotion bas de gamme, il nous assène un pétard mouillé parfait pour les bobos franchouillards et anti-américains primaires, mais indigeste pour les plus exigeants.
    Regardez plutôt "Le monde selon Bush" de William Karrel, cent fois plus documenté, cent fois plus pertinent et à l'engagement plus éclairé.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce soi-disant brûlot n'a qu'un mérite: celui de s'attaquer à Georges W. Bush. C'est non seulement le seul mérite mais aussi le seul, l'unique, le sempiternel même message: "non, ce n'est pas bien, ne votez pas pour ce crétin qui n'a même pas réagit lors de l'attentat du 11 septembre, qui est resté un livre pour enfants dans les mains dans une classe de maternelle". Il était difficile de s'attaquer à un sujet aussi brûlant et vaste que la violence aux Etats Unis dans Bowling For Columbine. Il est, de la même façon, facile de s'attaquer à la coqueluche texane et incompétente des américains: alors le charme n'opère pas, et l'humour de Michael Moore ne fait plus rire. Il est certain que le réalisateur s'engage et prend parti, mais le film manque de subtilité et apparaît comme une grosse machine propagandiste ( Georges W. Bush est de connivence avec Ben Laden, il déclare la guerre à l'Irak et envoie de jeunes soldats américains sur le front, c'est pas bien, etc... ). Démagogique et vulgaire, à oublier.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Après un regard foutrement subjectif mais des plus justes porté sur l'omniprésence des violences par armes à feu aux USA, Michael Moore revient avec "Fahrenheit 9/11" s'attaquant cette fois à l'administration Bush. Tout y passe de A à Z, de l'élection truquée de ce dernier à la guerre d'Irak en passant par les relations entre les familles Bush et Ben Laden. C'est accablant certes mais au final on y apprend pas grand chose. Moore donne souvent l'impression de brasser de l'air la faute à plusieurs points négatifs assez criards. Si Moore a le bon goût de se mettre bien moins en avant que d'habitude, il n'y a quand même plus une once d'objectivité là-dedans, plutôt une désagréable impression de démagogie manichéenne. En particulier parce qu'il n'y a plus tant de faits incontestables que dans l'excellent "Bowling for Columbine", on a affaire plus souvent aux seules opinions du réalisateur pas toujours clairement fondées, la faute surtout à des coupes envahissantes dans les extraits de discours et d'affaires partiellement dévoilées. Moore a toujours une vraie maîtrise des transitions mais on a souvent l'impression de gratter à peine la surface. Dans le même sens, il semble incomber tous les maux des états-unis du 20ème siècle à Bush, un peu réducteur. Si le documentaire est trop bavard pour pas toujours grand chose, reste le ton délicieux propre à Moore, à la fois cynique et sincère, et plusieurs parties plus intéressantes que la moyenne. Le réalisateur consacre encore pas mal de temps à la culture de la peur aux USA mais en ré-adaptant le tout au propos pour un résultat toujours aussi affligeant (dans le bon sens du terme) et le pan dédié à la guerre en Irak, s'il sombre un peu dans le plaidoyer facile (mais déchirant, faut l'avouer) avec la mère, est tout de même parfaitement servi par les images choc et les témoignages. Dans l'ensemble Moore ne se réfute pas avec ce doc, loin de là, qui s'il est encore une fois porteur d'un bon lot de vérités gagnerait à être plus objectif et à aller chercher un peu plus loin. Une palme d'or contestée et c'est compréhensible.
    Eselce
    Eselce

    1 392 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2016
    Michael Moore a le don de poser les bonnes questions, notamment celles qui dérangent. J'apprécie surtout ses interventions en direct face aux personnes qu'il cherche à comprendre et face aux personnes qu'il critique. Ici, il interroge les américains sur la guerre en Irak et va jusqu'à demander aux hommes qui l'ont voté s'ils enverraient leur fils au combat et sur le but réel de cette guerre. Un reportage qui semble parfois être de la manipulation tant c'est énorme !
    cocolapinfr
    cocolapinfr

    66 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2015
    Mélange d'insinuations, de hors-sujets, de vérités, de sentimentalisme. Fahrenheit est un documentaire convaincant dans lequel on apprends peu de chose. spoiler: Ce film m'a permis de mieux comprendre la scène du président dans Scary Movie 4, tout simplement hilarant : youtube : /watch?v=xzI7XUlkzdE
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2020
    Avec Fahrenheit 9/11, Moore rentre dans un registre quasi cinématographique au dépend du documentaire. Un pamphlet de haut vol.
    Audrey L
    Audrey L

    636 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Make America great again. Pour apprécier ce documentaire passionnant et riche en informations sur l'Amérique face aux attaques du 11 septembre 2001, il faut supporter le ton cabotin parfois agaçant de Michael Moore et les théories qu'il avance "un peu vite" par moments (dès qu'il passe au conditionnel, on se demande : les preuves ?). Mais il faut bien reconnaître que Moore est très intelligent, il sait parler aux autorités sans provocations (moins que dans son émission télévisée) pour avoir des phrases-clés, il interroge les bonnes personnes (les familles des disparus à cause de la guerre, puis en contrepoint ceux qui sont pro-guerre convaincus), il a dix coups d'avance sur l’État américain (lorsqu'il dégaine l'original d'un document qui a été censuré ensuite par l’État... comment avoir confiance dans un système comme celui-ci ?). On comprend le conflit de façon très pédagogique et intéressante, et l'on frissonne lorsqu'on voit l'embrigadement à peine déguisé des esprits : les soldats qui vadrouillent pour faire de la propagande auprès des jeunes défavorisés (la "chair à canon" comme le dit le film), les médias qui disent absolument n'importe quoi sans vérifier... Effrayant autant qu'effarant, pédagogique et éclairant, même en faisant "son tri" dans ce qu'on voit et entend, il y a de quoi être surpris par Fahrenheit 9/11.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2013
    Il a été un temps où Michael Moore se contentait de parler de sa petite ville de Flint, Michigan et comment elle se faisait malmener par les grosses corporations. Depuis, Michael Moore a grandi et s’attaque à plus gros.

    En effet, il s’attaque au Président des Etats-Unis (rien que ça), avec un film totalement dressé contre George W. Bush, qui en prend plein la tronche dès les premières minutes du film. Fahrenheit 9/11 commence plutôt mal, à la manière d’un clash de Rap Contenders avec une série de cheap shots à la limite du ridicule envers un George W. Bush qui passerait presque pour une victime tant il est épié de tous les côtés. Cependant, comme Michael Moore est bien plus intelligent que ça, ce n’était que pour préparer le plat de résistance, qui détonne totalement avec cette première demi-heure, en lui donnant plus de sens, telle une véritable montée en puissance avant l’acmé du film et de l’œuvre de Moore jusque-là : en s’attachant à Lila Lipscomb, travailleuse de Flint (tiens, tiens !) qui a perdu son fils en Irak, dans une guerre à laquelle elle ne croit pas, mais qui ne perd jamais espoir en son pays, même quand son gouvernement la trompe de manière éhontée, il parvient à créer une universalité à son propos alors que c’est quand même très américain : Lila Lipscomb sort son drapeau américain et l’accroche à sa porte en faisant attention à ce qu’il ne touche pas le sol car elle est fière de son pays, tout en sachant qu’il se trompe en ce moment. Voilà une chose particulièrement intéressante. Et c’est là que Fahrenheit 9/11 atteint sa pleine mesure : Michael Moore et les petites gens. Et pourtant, il réussit une dernière séquence fantastique où il demande au Congrès de mettre leurs fils dans l’armée.

    Fahrenheit 9/11 est le digne héritier de Bowling For Columbine, un film parfois drôle mais profondément humain et triste à en pleurer, tout en ayant foi en l’humanité. C’est beau, parfois un peu biaisé (beaucoup ici), mais en termes de cinéma, c’est parfait. Palme d’Or méritée.
    James Betaman
    James Betaman

    64 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2016
    Généralement, j’ai du mal à regarder des documentaires. Le manque de fiction et d’enjeux scénaristiques me manque constamment et rend mes visionnages assez difficile.
    Par contre, j’adore l’humour satirique et la politique ! On mélange les deux, on fout Michael Moore à la réalisation… voici Farenheit 9/11 !
    C’est il y a quelques semaines, mon prof de ciné nous donne une fiche avec marqué dessus « Michael Moore ». Michael Moore… ça me disait quelque chose, je connaissais Alan Moore, Tony Moore mais… Michael Moore ? Et puis, il nous a montré des extraits de certains de ses films, alors oui, c’était foutrement subjectif, mais qu’est-ce qu’on s’était marré dans la salle de classe ! Ce gars, c’est l’incarnation de la satire politique.
    Dans sa filmo, les gens avaient tendance à retenir Bowling For Columbine (que je vais sûrement voir un de ces jours). Mais moi, j’étais plutôt fixé sur Farenheit 9/11. Pourquoi ? Probablement parce qu’il parle d’un sujet que je trouve très intéressant : la responsabilité des USA concernant le terrorisme d’aujourd’hui. Qui était responsable ? D’après Moore, c’est Georges W Bush ! Quel contexte ? Le 11 septembre 2001 !
    Dans un documentaire dénonciateur et granguignolesque, Michael Moore dénonce la politique républicaine de Bush plutôt destinée à remplir les poches de ce président plutôt qu’à protéger son pays. Ainsi, l’inlassable Moore part à la recherche de documents qui pourraient bien révéler le complot Bush avec toute une histoire de pétrole. Tout en, bien évidemment, se moquant ouvertement d’un président disant sans cesse des choses contradictoire (le monde est en guerre, allez à DisneyWorld), et qui adore jouer au golf.
    C’est devant ce genre de film qu’on se rend compte à quel point notre monde est dicté par une minorité riche et égocentrique en dépit d’une majorité pauvre n’attendant qu’une vaine sécurité. Mais visiblement, quand Moore réalise un film, tout le monde n’est pas de son côté. Bah oui, imaginez bien la tête des Bush quand le film a reçu la Palme d’Or à Cannes.
    Et pourtant, malgré son humour satirique parfois un peu violent, Moore sait aussi émouvoir. On ne voit pas d’image des tours jumelles, juste les gens, courant dans les rues, s’écroulant, désemparés. Il montre aussi une guerre en Irak stupide et violente, qui aura au final, tué bien des vies, juste pour remplir les poches de Bush.
    Ce que dit Moore, soit on adhère, soit on s’y oppose violemment, mais face aux preuves et aux documents qu’il s’est procuré, face à ses témoignages, face à ses tentatives de parler ne serait-ce qu’un instant avec un député, lorsqu’on voit Bush dire à Moore d’aller trouver un vrai job pour qu’on le voit ensuite retourner dans son ranch pour jouer au golf, ça donne beaucoup à réfléchir. Je suis bien conscient que le film est une sorte de propagande anti-Bush et que l’objectif de Moore était de convaincre le plus de gens possibles. Comme le disait mon prof de ciné « dans un documentaire, on ne montre que ce que l’on veut montrer, on peut déformer la vérité ». Cette phrase qu’il nous a maintes fois dit à moi et mes autres camarades résonne encore dans ma tête quand je pense à ce Farenheit 9/11.
    Mais pourtant, j’ai été saisi par les propos de Moore, j’ai rigolé quand il se foutait de la gueule de Bush, et j’ai été mal quand j’ai vu ces enfants irakiens morts, et des parents de jeunes soldats effondrés. Farenheit 9/11 est véritable dénonciation du système américains, et de nombreuses fois, on peut être choqués que de telles choses se passent sous nos yeux. Mais comme la dit lui-même Bush, « tu ne m’auras pas deux fois à la suite ».
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