Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Il est des démonstrations d'une force implacable. FAHRENHEIT 9/11 en fait partie. Le nouveau documentaire de Michael Moore bouscule et bouleverse !
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot (pour)
Michael Moore avance, révèle, décode, glace, bouleverse, au triple galop (...) Chaque scène de Fahrenheit 9/11 est un tract que Michael Moore distribue courageusement, et qu'on n'a pas envie de jeter en boule dans le caniveau. (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Cette oeuvre salvatrice, qui s'attache surtout à réveiller les consciences du public américain, est un film coup de poing (...) Sans renier son style et ses références habituels, Moore surprend par sa capacité à se renouveler et à s'effacer devant la gravité du sujet.(critique cannoise)
Aden
par La rédaction
Le sujet du documentaire de M.Moore est clair: éviter la réelection de Bush. Un pamphlet efficace sans compromis.
L'Humanité
par Dominique Widemann
La charge de Michael Moore est brutale. On comprend les hésitations de Disney à laisser sa filiale Miramax le diffuser au pays du président Bush. L'Amérique pourra néanmoins le voir dès août prochain. Le monde entier a tout intérêt à savoir à quelle sauce on le mange. Michael précise la recette.(critique cannoise)
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tantôt caustique, tantôt émouvant mais toujours percutant, " Fahrenheit 9/11 " est au grand écran ce que le pamphlet fut, à sa grande époque, à la littérature. Le Scud Moore a mis dans le mille.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Il faut voir le film pour ce qu'il est: en aucun cas une enquête journalistique prétendant à l'objectivité, mais un pamphlet, un billet de mauvaise humeur, une entrprise de destabilisation revendiquée, une énorme comédie dont le héros involontaire se trouve être le président. Une busherie en somme.
Télérama
par Marine Landrot
Documentaire virulent sur la présidence Bush, la Palme d'or de Cannes ne fait pas l'unanimité. Chaque séquence du film est un tract électoral de haute volée qu'il tend avec panache à ses compatriotes. Certains conformistes l'accusent de verser dans la propagande. Mû par l'urgence, Moore avance, assène, décode, glace, bouleverse, au triple galop. Un brûlot salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Ne jouons pas les blasés et acclamons l'efficacité de ce brûlot qui confirme ce qu'on n'osait croire. Dans son opus, sorte de tract édifiant qui oscille entre drôlerie et horreur, tragédie et grotesque, tout en restant très convaincant, Moore montre, démontre et démonte férocement le clan Bush, et pointe du doigt une effroyable manipulation des masses.
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Michael Moore survole avec rage et bonhomie trois années de présidence George W. Bush.Entre humanisme vague et argument proprement politique, la confusion est typiquement Moorienne. Le ton du commentaire donne au moindre énoncé le souffle de la révélation, et à la plainte elle-même les accents de triomphe.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La micro-réussite de Fahrenheit 9/11 vient de ce que, pour une fois, l'adversaire choisi par Moore semble exactement à la hauteur de ses procédés de mise en scène minables et putassiers. L'effet Fahrenheit 9/11, docu-bis et fanfaronnant, ce n'est au fond presque que du cinéma.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Louis Douin
Ce pamphlet efficace mais simpliste, parfois démagogique ne lésine pas sur les moyens pour atteindre son objectif: empêcher la réelection du président américain. Farhenheit 9/11 est un nouveau symptôme de la façon dont le cinéma américain pratique le spectacle comme un art de la dénonciation des axes du mal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'auteur de "Bowling for Columbine" signe un pamphlet efficace qui vire parfois à la propagande. (critique cannoise)
Les Inrockuptibles
par Sylvain Bourmeau
Succession d'images chocs et de témoignages tire-larmes, martelant un unique message, "Stop Bush". Un pamphlet baclé.
Libération
par Philippe Azoury
(...) le Karl Zero made in USA finit par enchaîner, sans avoir le temps nécessaire de les approfondir, des thèses passionnantes qui méritent autre chose qu'un zapping (...) Moore n'évite pas quelques confusions (...) deux-trois bourbiers (...) et finit par montrer ses propres limites de cinéaste lorsqu'il choisit d'incarner le retournement de l'opinion américaine à travers les pleurs d'une ex-patriote ayant perdu son fils à Kerbela. (critique cannoise)
Positif
par Hubert Niogret
Entre farce tragique et décryptage le nouveau M.Moore ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Sur le fond les idées développées par Moore sont plus discutables et ne disent pas grand-chose de neuf. A force d'amalgames, de simplifications et de raccourcis, Moore s'est mis dans la même position d'accusé que sa cible. Entre documentaire et pamphlet, ce cinéma mérite pourtant d'être considéré comme un genre à part entière.
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
Si les arguments de Moore sont recevables, les film réduit des décennies de politique étrangère américaine à un dessin animé en noir et blanc qui fait porter toute la responsabilité à une famille.(critique cannoise)
Variety
par Todd McCarthy
On peut partager le point de vue politique de Moore (...) mais on regrettera qu'il n'ait pas mieux exploité son riche matériau (...) On a le sentiment que, derrière cette surface, beaucoup de choses pouvaient surgir mais que Moore, tout à sa hâte de terminer son film avant l'élection, n'a pas su le voir.(critique cannoise)
Le Figaro
par Jean-Luc Wachthausen
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Télérama
par Aurélien Férenczi (contre)
(...) moins inventif, plus manipulateur que ses précédents films, Farenheit 9/11, devient dans sa seconde partie un montage récapitulatif sur l'intervention en Irak, avec chantage final à l'émotion. Où est passée la pétulance libertaire de Michael Moore ? (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Il est des démonstrations d'une force implacable. FAHRENHEIT 9/11 en fait partie. Le nouveau documentaire de Michael Moore bouscule et bouleverse !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Michael Moore avance, révèle, décode, glace, bouleverse, au triple galop (...) Chaque scène de Fahrenheit 9/11 est un tract que Michael Moore distribue courageusement, et qu'on n'a pas envie de jeter en boule dans le caniveau. (critique cannoise)
Zurban
Cette oeuvre salvatrice, qui s'attache surtout à réveiller les consciences du public américain, est un film coup de poing (...) Sans renier son style et ses références habituels, Moore surprend par sa capacité à se renouveler et à s'effacer devant la gravité du sujet.(critique cannoise)
Aden
Le sujet du documentaire de M.Moore est clair: éviter la réelection de Bush. Un pamphlet efficace sans compromis.
L'Humanité
La charge de Michael Moore est brutale. On comprend les hésitations de Disney à laisser sa filiale Miramax le diffuser au pays du président Bush. L'Amérique pourra néanmoins le voir dès août prochain. Le monde entier a tout intérêt à savoir à quelle sauce on le mange. Michael précise la recette.(critique cannoise)
Le Parisien
Tantôt caustique, tantôt émouvant mais toujours percutant, " Fahrenheit 9/11 " est au grand écran ce que le pamphlet fut, à sa grande époque, à la littérature. Le Scud Moore a mis dans le mille.
TéléCinéObs
Il faut voir le film pour ce qu'il est: en aucun cas une enquête journalistique prétendant à l'objectivité, mais un pamphlet, un billet de mauvaise humeur, une entrprise de destabilisation revendiquée, une énorme comédie dont le héros involontaire se trouve être le président. Une busherie en somme.
Télérama
Documentaire virulent sur la présidence Bush, la Palme d'or de Cannes ne fait pas l'unanimité. Chaque séquence du film est un tract électoral de haute volée qu'il tend avec panache à ses compatriotes. Certains conformistes l'accusent de verser dans la propagande. Mû par l'urgence, Moore avance, assène, décode, glace, bouleverse, au triple galop. Un brûlot salutaire.
aVoir-aLire.com
Ne jouons pas les blasés et acclamons l'efficacité de ce brûlot qui confirme ce qu'on n'osait croire. Dans son opus, sorte de tract édifiant qui oscille entre drôlerie et horreur, tragédie et grotesque, tout en restant très convaincant, Moore montre, démontre et démonte férocement le clan Bush, et pointe du doigt une effroyable manipulation des masses.
Cahiers du Cinéma
Michael Moore survole avec rage et bonhomie trois années de présidence George W. Bush.Entre humanisme vague et argument proprement politique, la confusion est typiquement Moorienne. Le ton du commentaire donne au moindre énoncé le souffle de la révélation, et à la plainte elle-même les accents de triomphe.
Chronic'art.com
La micro-réussite de Fahrenheit 9/11 vient de ce que, pour une fois, l'adversaire choisi par Moore semble exactement à la hauteur de ses procédés de mise en scène minables et putassiers. L'effet Fahrenheit 9/11, docu-bis et fanfaronnant, ce n'est au fond presque que du cinéma.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Ce pamphlet efficace mais simpliste, parfois démagogique ne lésine pas sur les moyens pour atteindre son objectif: empêcher la réelection du président américain. Farhenheit 9/11 est un nouveau symptôme de la façon dont le cinéma américain pratique le spectacle comme un art de la dénonciation des axes du mal.
Le Monde
L'auteur de "Bowling for Columbine" signe un pamphlet efficace qui vire parfois à la propagande. (critique cannoise)
Les Inrockuptibles
Succession d'images chocs et de témoignages tire-larmes, martelant un unique message, "Stop Bush". Un pamphlet baclé.
Libération
(...) le Karl Zero made in USA finit par enchaîner, sans avoir le temps nécessaire de les approfondir, des thèses passionnantes qui méritent autre chose qu'un zapping (...) Moore n'évite pas quelques confusions (...) deux-trois bourbiers (...) et finit par montrer ses propres limites de cinéaste lorsqu'il choisit d'incarner le retournement de l'opinion américaine à travers les pleurs d'une ex-patriote ayant perdu son fils à Kerbela. (critique cannoise)
Positif
Entre farce tragique et décryptage le nouveau M.Moore ne laisse pas indifférent.
Première
Sur le fond les idées développées par Moore sont plus discutables et ne disent pas grand-chose de neuf. A force d'amalgames, de simplifications et de raccourcis, Moore s'est mis dans la même position d'accusé que sa cible. Entre documentaire et pamphlet, ce cinéma mérite pourtant d'être considéré comme un genre à part entière.
The Hollywood Reporter
Si les arguments de Moore sont recevables, les film réduit des décennies de politique étrangère américaine à un dessin animé en noir et blanc qui fait porter toute la responsabilité à une famille.(critique cannoise)
Variety
On peut partager le point de vue politique de Moore (...) mais on regrettera qu'il n'ait pas mieux exploité son riche matériau (...) On a le sentiment que, derrière cette surface, beaucoup de choses pouvaient surgir mais que Moore, tout à sa hâte de terminer son film avant l'élection, n'a pas su le voir.(critique cannoise)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Télérama
(...) moins inventif, plus manipulateur que ses précédents films, Farenheit 9/11, devient dans sa seconde partie un montage récapitulatif sur l'intervention en Irak, avec chantage final à l'émotion. Où est passée la pétulance libertaire de Michael Moore ? (critique cannoise)