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    Inside Job
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    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    21 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mai 2014
    Film assez figé, ou le metteur en scène use et abuse d'une ambiance factice, a base de lenteur, de plans fixes, de lents travellings, de scène dialoguées avec des acteurs immobiles, le tout soutenu par une incessante "musique" (?) de type ronronnement mécanique qui devient assez vite fatigante et souligne le côté artificiel de l'ambiance. Il y a une nette différence entre les critiques pros qui aiment plutôt et les spectateurs moyens qui se font tartir devant une narration qui met une heure pour raconter quelques minutes d'action !
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 646 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2021
    Je viens de voir ce film, le seul que je n'avais pas vu de la filmographie de Winding Refn. Il s'agit de l'histoire d'un vigile qui tente de découvrir qui et pourquoi on a tué son épouse. On y trouve l'ambiance des films de ce réalisateur et les acteurs sont tous à la hauteur. Maintenant vous expliquer la seconde partie, je serai bien en peine. J'ai cru suivre le scénario et la fin me montre que je n'ai pas saisi quelque chose. J'ai donc beaucoup de mal a évaluer ce film. Il évident que ce n'est pas le meilleur de son réalisateur, mais l'expérience vaut la peine. Selon moi, il n'y a pas de longueur , comme je l'ai lu. Au contraire, j'ai trouvé le film beaucoup trop court. Le gros point noir reste tout de même le scénario, beaucoup trop opaque sur la toute fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 décembre 2011
    A la fin du film, c'est un peu l'incompréhension absolue qui domine. "Non, mais c'était quoi ça, qu'est ce qui c'est passé ?". Et en faite, c'est bien simple, si vous êtes perdus, pas de soucis c'est tout à fait normal, Nicolas Winding Refn s'est jouer de nous, un point c'est tout !
    Un peu à l'instar du grand Lynch, le film me fait d'ailleurs penser à "Lost Highways", la perfection formelle en moins, même si Refn montre déjà un talent certain pour la mise en scène. Il donne l'impression d'offrir au spectateur un thriller tout ce qu'il y a de plus banale, tant bien dans son sujet que dans sa conception. Et pourtant, et pourtant...
    Petit coup de génie, on en reste sur le cul, rien ne laissait présager cela, ce qui le démarque fortement de Lynch puisque chez lui les indices sont finalement nombreux. Ici non, tout est fait pour nous mettre sur une mauvaise piste et tout est fait pour ne jamais éveiller de soupçon. Et bon, c'est génial, parce que quelque part logique sur un plan psychologique, puisqu'on suit Harry Cain et qu'on ne peut savoir que ce que celui-ci sait !
    De nouveau, il y en aura qui apprécieront de s'être fait rouler dans la farine et d'autre beaucoup moins, pour ma part, je dis OUI, OUI et encore OUI !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 mai 2012
    Nicolas Winding Refn réalise encore un bon film mais celui là n'est pas son meilleurs mais vaut le coup d’être vu pour un très bon scénario,John Turturro est juste génial dans le film!!On reconnait toute suite la patte de Nicolas Winding Refn dans ce film,avec un bon décors glacial au Canada et les silences dans le dialogues et le très peu de paroles!La lumières dans ce film est magnifique et très bien utilisé même si le rythme du film est un peu lent,c'est un bon film à voir!!!
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2012
    Voila un film qui laisse perplexe. Tout d'abord on retrouve cette ambiance et cette esthétique que met brillamment en scène le réalisateur. L'histoire est avant tout intriquant mais très vite le scénario s'avère tordu jouant entre imaginaire et réalité. On ne sait plus vraiment ou se placer néanmoins la réalisation est maîtrisée et le réalisateur nous emmène bien là où il veut au final. spoiler: Un scénario étrange mais bien réel pour le spectateur jusqu'à ce final qui laisse perplexe avec un petit goût d'abandon ou de "débrouillez-vous" qui remet en cause ce que l'on vient de voir
    . J'ai pas été envouté non plus même si certain y trouveront un chef d'œuvre, pour ma part ce sont les films à venir de l'excellent Winding Refn qui s'en rapprocherons le plus!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 janvier 2012
    Fear X représente idéalement le type de thrillers du début des années 2000, dans la lignée d'un Memento il s'inscrit dans ces longs-métrages qui troublent profondément le spectateur, et ce pendant toute la durée du flm. Mettant en scène un homme solitaire, qui n'arrive pas à accepter le meurtre de sa femme, nous allons suivre ses investigations, pour essayer comme lui de comprendre ce qui s'est passé.

    L'obsession et la folie qui se dégagent de la personnalité du héros le rende particulièrement attachant, l'empathie étant donc présente de long en large, nous conduisant à nous sentir dans des états similaires aux siens. John Turturro s'implique tellement dans son rôle qu'il nous apparait plus réaliste que jamais. La tristesse qui le guette et l'habite dès les premières minutes s'intègrent avec perfection à l'ambiance globale, dans laquelle il se retrouve comme prisonnier. Cette sensation d'enfermement émotionnel en devient même gênante, lorsqu'il passe des heures entières à fixer des bandes de vidéosurveillance, par exemple. Est-il réaliste ? Est-il parano ? Est-il fou ? Ce sont les questions que nous ne cessons de nous poser, sans trouver une limite rassurante, nous laissant dans un flou constant, qui entrecroise fascination et rejet avec brio.

    Un flou psychologique qui se retrouve transcendé par l'incorporation d'un flou artistique. Nicolas Refn joue donc sur le principe des illusions pour perturber le spectateur comme il se doit, organisant son long-métrage d'images toujours plus originales et plus perturbantes, qui définissent son talent de réalisateur. Les images se suffisent à elles-même, l'ensemble du film se révélant assez silencieux, s'ancrant typiquement dans une évolution presque contemplative, mais qui n'en devient jamais pour autant distante. Contrairement à son récent Drive où j'ai trouvé qu'une certaine barrière séparait le spectateur de l'histoire, ici la manière dont sont présentées les images et dont est exploité le son transforme pendant 1h30 notre réalité en une fiction à la limite d'être insoutenable. Réussir à prolonger cet émoi après le visionnage est la principale réussite de Fear X, qui ne déroge pas à la règle des thrillers qui parviennent à ébranler le spectateur au point de le troubler au-delà de la simple expérience filmique.

    Le scénario se base donc sur un parcours à double visage, dont on ne sait jamais tirer une réalité ou une logique, tant l'enchaînement des évènements apparait à la fois cohérent et incohérent. La recherche de réponses n'a d'égal que la recherche de questions, qui mixent le tout dans un immense tumulte de l'esprit, qui n'en ressort que déboussolant. La profondeur de l'histoire et les diverses interprétations que nous pouvons en faire se retrouvent magnifiée par un final qui n'a rien de renversant ou de fulminant, mais qui complète l'évolution du personnage avec une éloquence sans défaut. Refn se dévoile donc comme un virtuose de la manipulation de l'esprit, à toutes les échelles, grâce à un désir appuyé d'enrichir son contenu, tant scénaristique qu'artistique. Les réponses nourrissent de nouvelles questions, et la fin nourrit de nouveaux doutes, dont on ne veut plus s'échapper, acceptant le générique avec difficulté.

    Le travail de Fear X, qui est de placer le masque du personnage sur le visage du spectateur, est idéalement respecté, et l'oeuvre se révèle donc extrêmement puissante. Elle n'arrive cependant pas à atteindre l'intensité des classiques du genre, restant dans une approche très personnelle, traînant un manque de rythme, qui, s'il est justifié au vu de l'histoire, ne permet pas au spectateur d'approcher le seuil du film efficace en tout point de vue. Refn impose son style avec beaucoup de classe, qui ravira le public friand de ce monde des illusions, dont je fais parti. Il reste alors un bon thriller, qui touche et s'impose comme une oeuvre marquante, sans aller encore plus loin, peut-être par manque d'une réelle consistance.
    Labouene
    Labouene

    20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2011
    Thriller glacial de Winding Refn, avec un Turturro torturé et une Deborah Kara Unger toute habillée (je la préfère dans Crash de Cronenberg...)... Bon petit film, mais pas au niveau de la trilogie Pusher, Bronson ou Valhalla Rising.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 octobre 2011
    Un thriller mental sous forte influence lynchienne qui sait d’avantage séduire que convaincre. Malgré la présence du grand Hubert Selby au scénario, le récit de cette obsession manque de chair et reste trop théorique. L’idée d’un homme qui se dissout dans les méandres de sa culpabilité n’est pas très originale et menée ici sans beaucoup de nuances (personnage monolithique, dispositif narratif artificiel et afféterie de la mise en scène – qui mixe un peu facilement l’univers visuel de Lost Highway à un étirement systématique et très Kubrickien des séquences et de la diction des comédiens). Cependant, en partie grâce à l’interprétation fébrile de John Turturo, le film réserve quelques beaux moments : un effroi sourd et diffus lors de la visite d’une maison inhabitée, une vision hypnotique de couloirs d’hôtel, des flashs mentaux très organiques… Voilà un film plutôt gonflé dans son choix du non-narratif, mais un peu trop artificiel dans sa conduite du récit et n’échappant finalement pas aux facilités d’un genre particulièrement casse-gueule : n’est pas Lynch qui veut ! Inside Job demeure néanmoins une curiosité à découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 septembre 2007
    je m'étais dit chouette, un polar avec John Turturro que j'adore...et puis pouf, grosse déception! Turturro est très bien, l'image extrêmement léchée....il manque juste un scénario intéressant, une histoire qui tienne la route, un suspens....bref il manque plus que le principal! Conclusion, film très long et emmerdifiant au possible, à éviter!
    Alban D
    Alban D

    9 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2011
    Quel film ! C'est rare que je vienne écrire des critiques mais la j'ai sauté sur le pc. La lumière du chef opérateur de kubrick est magnifique. L'ambiance et les scènes en elles-mêmes rappellent lynch. Le casting est très bon, tout le monde joue juste, ah turturro. J'ai vraiment accroché.Je vais vite essayer de louer le précédent film de Nicolas Winding Refn : Bleeder. N'hésitez pas c'est un très bon film.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    11 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Délaissant le style qui l’a fait connaître au Danemark et à l’étranger (Pusher, Bleeder), Nicolas Winding Refn tente sa chance à l’international pour son 3ème opus, scénarisé par Hubert Selby Jr, icône de la contreculture des Etats-Unis, et interprété par l’excellent John Turturro.

    Sur papier, ça donne envie ! Très vite pourtant, on se retrouve face à un film assez fadasse, classique, froid, comme les deux précédents, mais sans cette touche de nervosité par moments, pour souligner la tension.

    Terrassé par la mort violente de sa femme dans le parking d’un centre commercial où il travaille comme agent de sécurité, Harry (John Turturro) tente de mener l’enquête en collectant des cassettes VHS enregistrées par des caméras de surveillance, jusqu’à l’obsession.

    Puzzle linéaire, beaucoup trop linéaire pour être stimulant, l’histoire s’étire alors en longueur et n’éveille pas grand-chose. La mine constamment compassée de certains personnages, leur jeu franchement médiocre et les dialogues assez insipides rappellent quelques téléfilms de qualité mais on est en droit de s’attendre à beaucoup mieux d’un tel couple réalisateur/scénariste.

    Si l’on retire les longueurs parfaitement inutiles, on obtient une histoire qui tient une demi-heure. Hélas ce film en fait trois fois plus et on attend la fin avec impatience et quelques bâillements. Les vingt dernières minutes sont carrément bâclées, insupportables à regarder tant c’est mal joué et ponctué d’expériences visuelles complètement débiles.

    spoiler: J’ai dû me résoudre à effectuer une recherche rapide pour tenter de comprendre la raison de ce déséquilibre et j’ai trouvé une explication satisfaisante : à partir de la demi-heure, on commencerait à plonger dans l’univers mental perturbé du héros, ce qui expliquerait pas mal d’incohérences… Certes. La façon dont cette plongée est cependant amenée (ou non amenée, justement) laisse un goût amer, raté.
    Purple-Deep
    Purple-Deep

    8 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Trop prétentieux pour être intéressant. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 novembre 2012
    Inside Job (Ou Fear X, comme vous voulez), était le dernier film de Nicolas Winding Refn qu'il me restait à voir. J'avais adoré Pusher 2, Drive et Bronson, j'avais été bluffé par le premier Pusher, j'avais été déçu par le troisième Pusher et Valhalla Rising (Malgré une excellente prestation de Mads Mikkelsen), et je n'avais pas apprécié Bleeder. Bref, je ne m'attendais donc pas à un chef d'oeuvre, loin de là, le fait d'avoir vu tous les films de ce réalisateur m'a permis de ne pas avoir de trop grands espoirs. Heureusement... L'intrigue ne m'a pas intéressé une seule seconde, en ce qui concerne la mise en scène c'est assez désastreux... Et l'acteur principal, John Turturro, ne parvient pas à sauver le film. Au final, Inside Job est le plus mauvais film de Nicolas Winding Refn.
    yoyoseb
    yoyoseb

    4 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juin 2015
    Un naufrage à mourir d'ennui. C'est long, prétentieux, le scénario : ben y'en a pas et ça se termine en queue de poisson. Quel gâchis !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 juillet 2007
    Quand Barton Fink déambule dans les couloirs...sortis du subconscient d'un David Lynch et cadrés par le directeur de la photographie de "Eyes wide shut".
    Le jeune prodige danois Nicolas Winding Refn réalise tous ses rêves, les plus fous, de cinéphage averti. Ce voyage hypnotique, né de son imagination, se télescope avec celle de l'écrivain américain Hubert Selby Jr., dont il s'est adjoint les services ( un de ses romans a été adapté au cinéma par Darren Aronofsky, sous le titre de "Requiem for a dream"), à qui Refn a d'ailleurs dédié son deuxième volet du triptyque "Pusher". Harry Caine est agent de sécurité dans une galerie commerciale, du fin fond du Wisconsin. Depuis la mort mystérieuse de sa femme, dans les parkings souterrains de son lieu de travail, sa seule obsession est d'en identifier l'assassin. Pour ce faire, l'intégralité de son temps libre se résume à visionner, inlassablement, les cassettes de surveillance du lieu du crime... Avec son acteur instinctif, John Turturro, on a d'abord l'impression d'être immergé dans l'univers des frères Coen, dont le paysage enneigé rappelle les états septentrionaux de "Fargo". Subitement, on est plongé dans l'univers psychanalytique de Lynch et plus particulièrement de "Lost highway". Le personnage énigmatique de Deborah Unger fait référence à celui de Patricia Arquette. A la recherche de sa femme, il va se perdre dans les couloirs obscurs d'un motel que les lumières stroboscopiques rendent encore plus flippantes. Le mystérieux appel téléphonique, dans ce motel, est un clin d'oeil au "Dick Laurent is dead" de ce même trip hallucinatoire. Enfin, pour lui donner un air de "Shining", avec ses couloirs symétriques et son ascenseur déversant des flots de sang, Refn a collaboré avec Larry Smith, le directeur de la photographie du dernier Kubrick. Ce rêve éveillé est l'hommage d'un élève doué à ses maîtres de prédilection.
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