Derniers Avis sur Captain America

Ne m'étant jamais vraiment renseigné sur les quelques longs-métrages Marvel sortis avant les années 2000, j'ai décidé de me lancer dans le visionnage de ce "Captain America". Et honnêtement, croyez-moi que toutes les critiques négatives faites sur ce projet sont bel et bien fondées, le long-métrage étant une véritable catastrophe. Globalement, il n'y a rien à retenir de cet ensemble kitsch, celui-ci essayant naïvement de composer avec un budget bien trop bas pour ses ambitions. Si vous cherchez de l'action, ce n'est pas ici que vous en trouverez, le film ne disposant que de 3 à 4 scènes de ce type au cours de son récit. Celles-ci, malgré leurs faibles nombres, s'avèrent extrêmement fades et constamment gâchées par un montage particulièrement haché. Il arrive même que des plans d'une seule seconde s'enchaînent à la suite pendant presque une minute, le résultat donnant clairement une bonne crise d'épilepsie. Le tout s'avère donc illisible, et jamais divertissant. La durée du long-métrage a beau être faible, le temps s'avère vraiment long, le film se reposant essentiellement sur des scènes d'expositions pour faire avancer son scénario. On se sert de dialogues bien trop explicatifs pour tenter de développer l'ensemble, et cela devient donc rapidement barbant. Il n'y a aucune subtilité dans l'écriture, et le récit n'est clairement pas en reste à ce niveau-là. L'histoire possède énormément de moments invraisemblables et qui vont en contradiction du ton plutôt sérieux que le film souhaite se donner. Que ce soit dans la manière de détourner le missile de Red Skull, dans ce vol de voiture initié par une pause au bord de la route ou par cette libération grotesque du président. Par conséquent, au travers de cette ambiance mal gérée, rien ne réussit à fonctionner, et celui qui en pâtit le plus est clairement Steve Rogers. Il n'est pas vraiment introduit, son costume est ridicule et Matt Salinger n'arrive jamais à lui donner la moindre émotion. Dans l'ensemble, il caractérise donc totalement ce qu'est ce projet. C'est un film ennuyeux, réalisé avec bien trop peu de budgets et qui n'arrive jamais à se créer un ton cohérent. Pour conclure, l'un des pires films de super-héros jamais réalisés.

Très bon film à voir absolument à la télé à vec des rôles très réussi et un scénario plus que parfait.

C'est sûr que de le voir maintenant après avoir vu Chris Evans et la technologie actuelle, ce film est une gigantesque blague où les effets spéciaux sont réduits à néant. L'histoire respecte assez bien la trame originale (que l'on peut retrouver dans first avenger) mais alors, c'est clairement kitsch et le jeu des acteurs est ridicule. On n'y croit pas une minute. À voir pour rigoler.

Bon film avec une transformation impressionnante de Chris Evans durant le film ! L'histoire est intéressante tout comme le contenu du film.

Ce Captain America serait un film très honorable s’il avait 20 ans de moins. Mais cela reste sidérant que le long métrage date de 1990. Les éléments ne sont pas idiots notamment dans le traitement du héros mais les situations, dialogues et scènes d’action sentent le vieillerie totale.

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Le programme Renaissance durant la Seconde Guerre Mondiale! Celui d'un toubib qui a mis au point un procèdè qui transforme un enfant malade en un athlète rapide et puissant! Hitler dètient son super soldat! Un garçon italien, du nom de Crâne Rouge! On comprend dès lors pourquoi le Führer en veut tout un règiment! Le premier volontaire vit à Redondo Beach, en Californie et s'appelle Steve Rogers...alias le Captain America [...] On retrouve par moments (mais vraiment par moments) l'inspiration de la sèrie B d'antan avec une fidèlitè aux motifs de la BD! Même dècontraction, même efficacitè! Sur un scènario complètement dèlirant, Albert Pyun a plaquè une mise en scène kitsch qui fait de ce film de super-hèros l'un des plus extravagants du genre! Ce Captain America des 90's a bien sûr vieilli et fait sourire pour son côtè nanardesque et fauchè! il est vrai que Pyun n'y va pas de main morte avec son histoire, son hèros et ses pèripèties! Les puristes reconnaitront d'ailleurs le dècor principal de "Cyborg" du même Pyun, un hangar dèsaffectè transformè ici en quartier gènèral allemand! C'est dire le manque de moyens, avec un bouclier de super-hèros qui ressemble à un couvercle pour poubelle! En conclusion, un nanar qui n'a pas peur de faire dans le système D et qui mèrite un dètour pour quelques sèquences inènarrables entre la Californie et l'Italie! A noter la prèsence de Ned Beatty et Ronny Cox ("Deliverance") dans un même film...

A une époque où personne de sensé n’aurait misé un franc sur une production dédiée à une des andouilles masquées de chez Marvel, l’éditeur de Comics avait vendu les droits de certains de ses personnages sans vraiment y réfléchir, notamment ceux de Captain America à la Cannon, la célèbre compagnie qui domina le marché du nanard musclé tout au long des années 80. Si on peut critiquer la “méthode Marvel� qu’on retrouve aujourd’hui dupliquée de film en film, on oublie un peu vite la catastrophe que constituait autrefois l’absence de toute méthode Marvel...ou plutôt, le recours à la méthode Golan & Globus ! Dans les grandes lignes, le film respecte comme il peut la biographie bien connue du héros patriote, si ce n’est que Red Skull et ses séides, pour une raison qui m’échappe, ne sont pas nazis mais italiens,. Si on ne traite que de la partie qui se déroule durant la guerre et si on parvient à faire l’impasse sur ses effets spéciaux ringards, le résultat tient encore à peu près la route...du moins, on voit Captain America dans son costume (kitsch) balancer son bouclier (limitations techniques oblige, on ne voit que le début du mouvement et l’impact en gros plan) à la face de Red Skull (pas trop mal fichu, lui, c’est un exploit). Une fois dans le présent, le film succombe au travers de tous les mauvais films qui ne savent comment faire pour repousser le moment où ils devront s’atteler à une vraie scène d’action : Steve Rogers, joué par un gaillard au charisme d’endive dont l’unique titre de gloire est d’être le fils de l’écrivain J.D. Salinger, ne fait rien, ou pas grand chose, et surtout pas enfiler son costume ou utiliser son bouclier : il se contente de promener sa grande carcasse ahurie parmi des personnages qui ont tous pour mission de faire durer le film quelques minutes de plus en débitant leurs lignes de texte d’un air faussement concerné. Une fois en Italie, Captain America aggrave encore son cas, et la qualité du film s’abaisse encore jusqu’au stade semi-légendaire de l’europudding bondien mâtiné de mauvais film de promotion touristique, qui culmine dans une bagarre finale au coeur d’un château italien en ruines, où on s’attend à tout moment à voir surgir Bud Spencer et Terrence Hill au détour d’un chemin de ronde : en tout cas, voilà qui rappelle à quel point la Cannon constitua peut-être l’ultime représentant (américain) du cinéma populaire européen des années 60-70. De ce navet d’action dont le principal problème est plus la vacuité absolue que le ratage (pour rater quelque chose, il faut au préalable le tenter), qui n’a même pas l’excuse d’être involontairement comique et dont on se demande comment il n’a pas éliminé toute possibilité de tourner des film de Super-Héros pendant plus longtemps, on parvient quand même même à tirer quelques constats positifs : s’il avait été développé sous forme de série, il n’aurait pas été plus mauvais que ce qui occupait les ménagères à cette époque (faut dire que les séries d’action de ces années là étaient sacrément pourries) ...et si on le compare à l’autre Marvel non-canonique des années 90, la bouille abstraite que furent ces “Quatre Fantastiques�, tourné juste pour que les producteurs allemands ne perdent pas les droits sur les personnages et qui ne sortit jamais officiellement au cinéma, on pourrait presque lui dégotter quelques qualités…!

A l'heure où les blockbusters Marvel sortent à foison, il peut être difficile pour la génération des années 2000 d'imaginer que ce n'était absolument pas le cas dans les années 80-90. Les héros DC Comics régnaient alors en maître dans les salles obscurs, ceux de Marvel ne faisant qu'enchaîner les pantalonnades. Par celles-ci, ce "Captain America" version 1990, destinée à capitaliser sur les 50 ans du héros, et sur la sortie récente de "Batman". Devenu légendaire de par sa médiocrité, le film dispose d'acteurs qui jouent comme des savates (même Ned Beatty et Ronny Cox sont complètement paumés), d'une musique et d'une image affreusement laides, et d'une mise en scène fade au possible. On remarque que les scènes d'action alignent gros plans et découpages frénétiques pour cacher les chorégraphies pauvres et le manque de moyen. Sans compter les accents grotesques et les décors au rabais qui tentent de nous faire croire que le film se déroule en Italie (il fut tourné en Yougoslavie). Le scénario n'est pas en reste, bourré d'invraisemblances, mal rythmé, et ridicule à souhait. Un bel échec.

Bon, des nanars j’en ai vu, mais celui-là tient presque plus du navet, car, il faut le dire, on rigole parfois, mais qu’est-ce qu’on s’ennuie aussi !
Moi je veux bien qu’il y ait quelques scènes marrantes (la main coupée, le final, le running gag de la voiture volée…) mais alors que de longueurs, de dialogues inutiles, de scènes d’action escargotesque, et quelle narration calamiteuse ! C’est n’importe quoi ! Le métrage dure tout du long sur une espèce de faux rythme extrêmement pénible. Même lorsqu’il y a de l’action c’est mou ! Malgré quelques rires et des invraisemblances énormes, Captain America est assommant, et je n’ai pas arrêté de bailler tout du long ! Et pourtant on s’est regardé ça à plusieurs pour se serrer les coudes !
Les acteurs sont quand même médiocres. Matt Salinger a vraiment l’air engoncé avec son personnage, et il manque sérieusement de charisme. Le méchant n’est pas si mal campé mais il se contente essentiellement de donner des ordres à un groupe de sbires franchement pas crédible pour un sou. Pour le reste très peu d’intérêt, même si j’ai trouvé la prestation de Ned Beatty honorable, mais bon, la présence de quelques noms connus en arrière-plan ne rattrape guère le désastre filmique ! Les personnages sont en carton-pâte.
Visuellement que dire… c’est horrible ! Photographie d’une indigeste mocheté (là on bat des records de laideur), effets spéciaux dépassés, mise en scène pathétique d’Albert Pyun (continuellement dans le plan serré même dans les scènes d’action et montage à la serpe si bien qu’on ne voit rien), cascades de vieillards grabataires, je mettrai un tout petit bonus sur quelques décors assez sympas dans la dernière partie, mais alors pour le reste, ça fait misérable ! La bande son n’est d’ailleurs pas en reste, ils n’ont même pas été capable de pomper un truc sur Superman pour donner un peu d’allure.
Franchement ce Captain America c’est de l’arnaque (d’ailleurs un super-héros qui a besoin de circuler en Fiat 500 ça pose le truc quoi !). Mou, plus lassant que drôle, autant il y a des nanars que j’aime revoir, autant là c’est bonjour et au revoir, tant c’est indigeste. 0.5

Aie ! Vu ce soir en VO, même pas sous-titré. Le film est difficile à suivre, même s'il ne se passe pas grand chose. C'est décevant, tant dans le scénario, que par les effets spéciaux ou par la piètre performance des acteurs.

Pour un premier essai avec un budget minime, le film reste une curiosité qui ne peut evidement se comparer à la dernière version. ça reste soigné, suffisament respectueux du matériel d'origine. Une curiosité à voir

Un bon Nanar comme on les aime !!

Bien kitch et les costumes sont ultra cheap !! Une bonne tranche de rigolade !

Ce film sur captain america est d'une nullité assez rare, on s'ennui enormément et il y a des scènes vraiment pas crédible du tout surtout dans les scène de baston et quand captain america dévie le missile nucléaire mais le pire doit être quand captain america lance son bouclier (qui ressemble au passage plus a un frisbee en plastique qu'a autre choses) et fait explosé ainsi des barils d'essence. A éviter absolument

Ce film est vraiment bof bof mais quand même . Bonne scène d'action et une bonne histoire . Mais je ne suis pas le seul à préférer le nouveau Captain America the first avenger . Voilà on voit directement la différence quand ce n'est pas Marvel qui produit le film quand même .

Un nanar sympa mais les puristes des Marvels risquent de faire une crise de nerfs.