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Joel Schumacher (...) arrive à dépoussiérer la pièce un peu désuète, inspirée du roman de Gaston Leroux. Ce coup de jeune est en partie lié à la présence des trois interprètes de ce mélodrame follement kitsch et romanesque : Emily Rossum, dix-sept printemps, voix de rossignol et sensibilité à fleur de peau, Gérard Butler, fantôme irrésistiblement tragique, et Patrick Wilson, fougueux Raoul.
Sans être exempt de penchants kitschs (...), le réalisateur arrive à rendre toutefois digestes les monstrueux élans de la musique. Celles-ci, dans ses pires moments, martèle une batterie pop, des guitares électriques et un orgue pompeux (...) tandis que dans ses meilleurs, elle étire des ritournelles qui lamineraient l'intellect de n'importe quel humain.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le pari était grand, il est à demi réussi puisque ce film très coûteux mis en boîte aux studios londoniens de Pinewood, n'a pas réussi son examen de passage au box-office américain. L'Europe repêchera-t-elle cette superproduction parfois flamboyante mais le plus souvent mièvre et boursouflée ?
Il aurait été intéressant de voir comment un jeune réalisateur aurait dépoussiéré le sujet, car ici il faut bien le dire, cette nouvelle version sent un peu la naphtaline. D'autant que le casting brille par sa fadeur : en héroïne romantique, Emmy Rossum (...) déçoit en raison du manque de subtilité de son jeu. Quant aux musiques, entre le rock années 70 et les plagiats de Puccini, le public contemporain risque d'être un rien décontenancé.
Joel Schumacher (...) délivre une oeuvre luxueuse, portée par un bel élan romantique. Mais sans âme et interprétée par des comédiens sans flamme. Le vrai bonheur passe par la musique pleine de vie et les chansons aux textes poignants.
Ce Fantôme là est directement adapté de la comédie musicale ayant triomphé à Broadway. On a donc droit à des dialogues chantés (en play-back), à des décors kitchounets et à de beaux acteurs doués vocalement (...) mais filmés sans grand effort d'originalité.
Les décors sont sublimes, le passage du noir et blanc à la couleur judicieux, et les costumes fastueux. Seuls les comédiens choisis pour leur jeu sont peu convaincants.
Visage monstrueux et génie maléfique, le fantôme du roman passait comme un délicieux frisson gothique sous les dorures du Palais Garnier. Ici, un mauvais ténor cache sous un masque trois malheureux boutons d'acné et braille son malheur sur le fameux lac souterrain, qui a tout de l'attraction d'Eurodisney.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) si vous aimez les bonnes grosses mises en scène dégoulinantes et kitschissimes avec de bons bouts d'effets spéciaux dedans et rien d'autre, bref, si vous êtes un être pétri de turpitudes inavouables , quoique inoffensives, vous êtes le spectateur idéal pour cette énième adaptation du Fantôme de l'Opéra (...).
Ayant fait preuve durant toute sa filmographie d'un gros complexe d'infériorité vis-à-vis de ses talentueux collègues (notamment à l'égard de john Mc Tiernan), Schumacher continue ici en tentant de réaliser son Titanic à lui. Du coup, la caméra virevolte n'importe comment dans les coulisses sans jamais arriver à faire ressentir une quelconque cartographie de l'Opéra (...).
On désespère de chercher le moindre charisme chez le trio d'interprètes principaux : Emmy Rossum, Gerard Butler et Patrick Wilson ne dégagent aucun charme, aucun effroi, aucune présence, empêtrés qu'ils sont dans des décors et des costumes d'un kitsch surranné.
Schumi raconte une love story niaise, d'autant plus insupportable que les acteurs censés l'incarner sont accablants. La belle Emmy Rossum tente de surnager dans cet océan de paillettes.
La critique complète est disponible sur le site Score
L'histoire imaginée par gaston Leroux (...) a été maintes fois portée à l'écran. Et aussi à la scène, sous forme d'une comédie musicale. En voici la longue illustration par Joel Schumacher, enduite de cette musique anglo-saxonne bien ennuyeuse.
Joel Schumacher se contente du service minimum. De leur côté, les interprètes – les acteurs du spectacle et non des acteurs de renom – ne parviennent pas à soutenir l'attention. Bref, cette soupe populaire est un peu indigeste.
Cet habillage néoclassique du fameux fantôme, qu'on croyait pourtant dépoussiéré depuis la version pop de Brian De Palma il y a trente ans, bénéficie en outre de la " kolossale " finesse de Joel Schumacher. C'est dire que tout, y compris la fraîcheur blanche-neigeuse d'Emmy Rossum, passe au rouleau compresseur. On en sort aussi à plat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
le drame, c'est précisément le film : constamment ridicule, ni fait ni à faire, maladroitement mis en scène, mal joué par des acteurs qui ont le charisme d'une endive (...) et exagérément poussif dans sa construction dramatique (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Joel Schumacher (...) arrive à dépoussiérer la pièce un peu désuète, inspirée du roman de Gaston Leroux. Ce coup de jeune est en partie lié à la présence des trois interprètes de ce mélodrame follement kitsch et romanesque : Emily Rossum, dix-sept printemps, voix de rossignol et sensibilité à fleur de peau, Gérard Butler, fantôme irrésistiblement tragique, et Patrick Wilson, fougueux Raoul.
Cinéastes
Sans être exempt de penchants kitschs (...), le réalisateur arrive à rendre toutefois digestes les monstrueux élans de la musique. Celles-ci, dans ses pires moments, martèle une batterie pop, des guitares électriques et un orgue pompeux (...) tandis que dans ses meilleurs, elle étire des ritournelles qui lamineraient l'intellect de n'importe quel humain.
France Soir
Le pari était grand, il est à demi réussi puisque ce film très coûteux mis en boîte aux studios londoniens de Pinewood, n'a pas réussi son examen de passage au box-office américain. L'Europe repêchera-t-elle cette superproduction parfois flamboyante mais le plus souvent mièvre et boursouflée ?
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Il aurait été intéressant de voir comment un jeune réalisateur aurait dépoussiéré le sujet, car ici il faut bien le dire, cette nouvelle version sent un peu la naphtaline. D'autant que le casting brille par sa fadeur : en héroïne romantique, Emmy Rossum (...) déçoit en raison du manque de subtilité de son jeu. Quant aux musiques, entre le rock années 70 et les plagiats de Puccini, le public contemporain risque d'être un rien décontenancé.
Paris Match
Joel Schumacher (...) délivre une oeuvre luxueuse, portée par un bel élan romantique. Mais sans âme et interprétée par des comédiens sans flamme. Le vrai bonheur passe par la musique pleine de vie et les chansons aux textes poignants.
Rolling Stone
Ce Fantôme là est directement adapté de la comédie musicale ayant triomphé à Broadway. On a donc droit à des dialogues chantés (en play-back), à des décors kitchounets et à de beaux acteurs doués vocalement (...) mais filmés sans grand effort d'originalité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Les décors sont sublimes, le passage du noir et blanc à la couleur judicieux, et les costumes fastueux. Seuls les comédiens choisis pour leur jeu sont peu convaincants.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Visage monstrueux et génie maléfique, le fantôme du roman passait comme un délicieux frisson gothique sous les dorures du Palais Garnier. Ici, un mauvais ténor cache sous un masque trois malheureux boutons d'acné et braille son malheur sur le fameux lac souterrain, qui a tout de l'attraction d'Eurodisney.
Les Inrockuptibles
(...) si vous aimez les bonnes grosses mises en scène dégoulinantes et kitschissimes avec de bons bouts d'effets spéciaux dedans et rien d'autre, bref, si vous êtes un être pétri de turpitudes inavouables , quoique inoffensives, vous êtes le spectateur idéal pour cette énième adaptation du Fantôme de l'Opéra (...).
Mad Movies
Ayant fait preuve durant toute sa filmographie d'un gros complexe d'infériorité vis-à-vis de ses talentueux collègues (notamment à l'égard de john Mc Tiernan), Schumacher continue ici en tentant de réaliser son Titanic à lui. Du coup, la caméra virevolte n'importe comment dans les coulisses sans jamais arriver à faire ressentir une quelconque cartographie de l'Opéra (...).
Ouest France
On désespère de chercher le moindre charisme chez le trio d'interprètes principaux : Emmy Rossum, Gerard Butler et Patrick Wilson ne dégagent aucun charme, aucun effroi, aucune présence, empêtrés qu'ils sont dans des décors et des costumes d'un kitsch surranné.
Première
L'inénarrable Joel Schumacher s'enlise dans la boursouflure.
Score
Schumi raconte une love story niaise, d'autant plus insupportable que les acteurs censés l'incarner sont accablants. La belle Emmy Rossum tente de surnager dans cet océan de paillettes.
Télé 7 Jours
L'histoire imaginée par gaston Leroux (...) a été maintes fois portée à l'écran. Et aussi à la scène, sous forme d'une comédie musicale. En voici la longue illustration par Joel Schumacher, enduite de cette musique anglo-saxonne bien ennuyeuse.
TéléCinéObs
Joel Schumacher se contente du service minimum. De leur côté, les interprètes – les acteurs du spectacle et non des acteurs de renom – ne parviennent pas à soutenir l'attention. Bref, cette soupe populaire est un peu indigeste.
Télérama
Cet habillage néoclassique du fameux fantôme, qu'on croyait pourtant dépoussiéré depuis la version pop de Brian De Palma il y a trente ans, bénéficie en outre de la " kolossale " finesse de Joel Schumacher. C'est dire que tout, y compris la fraîcheur blanche-neigeuse d'Emmy Rossum, passe au rouleau compresseur. On en sort aussi à plat.
aVoir-aLire.com
le drame, c'est précisément le film : constamment ridicule, ni fait ni à faire, maladroitement mis en scène, mal joué par des acteurs qui ont le charisme d'une endive (...) et exagérément poussif dans sa construction dramatique (...).