Mon compte
    Le Signe de Zorro
    Note moyenne
    3,7
    138 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Signe de Zorro ?

    22 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    12 critiques
    3
    3 critiques
    2
    2 critiques
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 octobre 2014
    Parfois, il existe des films qui vous font revivre un rêve d'enfant ou qui font vibrer d'émoi le spectateur épris de ses souvenirs. Tel est le cas avec "Le signe de Zorro" avec l'un de mes acteurs préférés, Tyrone Power, un acteur au sommet de la gloire dans les années quarante. Il n'a que 26 ans lorsqu'il interprète Don Diego de la Vega - Zorro - sous la houlette de Rouben Mamoulian auquel on doit parmi d'autres, L'esclave aux mains d'or en 1939, Rings on Her Fingers en 1942. Mamoulian réunit des seconds rôles non moins célèbres : la belle Linda Darnell (la fille du nouvel alcade, Lolita Quintero) et Basil Rathbone (l'ex Sherlock Holmes) passé aux rôles de méchants dans les films de cape et d'épée et de chevalerie (Le serment du chevalier noir …). Ici, il joue l'arrogant et autoritaire capitaine Esteban Pasquale face à un Tyrone Power tout en finesse qui n'est pas sans rappeler la série avec Guy Williams. Quel plaisir de revoir ces acteurs, en particulier Eugene Pallette dans le rôle du frère Felipe et sa délicieuse voix rocailleuse dans la VO. Le duel final entre les deux protagonistes est une pure merveille du genre. Un petit bijou de film qui fournit une superbe et homérique distraction.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    66 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2012
    Avant Guy Williams, Alain Delon ou Antonio Banderas, il y a eu le plus formidable des Zorro, celui que tous les autres ont cherché à imiter sans jamais l’égaler : Tyrone Power. Quelle classe ! Que ce soit sous le masque du justicier ou dans les habits de soie de Diego, pas un seul de ses gestes n’est indifférent. Quand il mouche une bougie de la pointe de son épée, c’est magique. Quand il nous gratifie du seul duel du film, le combat est si intense qu’on est scotchés. Quand il danse avec la senorita Darnell, mignonne comme un cœur, ou quand il joue les benêts efféminés derrière son monocle avec son mouchoir parfumé, c’est un régal. Elégance, humour, sportivité : il y a tout. Et il n’est pas seul : derrière la caméra, il y a Rouben Mamoulian, metteur en scène souvent oublié dont la mise en scène fluide, servie par une photo somptueuse, déroule un tapis rouge aux comédiens et se montre aussi très à l’aise dans les scènes de foule de la fin. Les dialogues sont remarquables, avec d’inénarrables tirades "so british" dans des dîners censés se dérouler en espagnol. Et puis ce Zorro est un vrai film d’aventures, avec tout ce que ça suppose de rudesse, loin de l’univers aseptisé de la série Disney. L’exploitation des paysans, ici, se traduit par des coups de fouet, des langues coupées (un détail qui a sans doute inspiré le personnage de Bernardo par la suite). Le balourd sergent Garcia est ici remplacé par un soudard qui finira roué de coups. Et si le gouverneur Luis Quintero est un pleutre assez ridicule, son acolyte le capitaine Pasquale (excellent Basil Rathbone) est un vrai méchant, inquiétant et machiavélique à souhait. Beaucoup plus qu’une curiosité historique, ce "Signe de Zorro" est un excellent film, qui a gardé toute sa modernité et mérite d’être redécouvert.
    Manuel P
    Manuel P

    15 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    La meilleure adaptation de Zorro sur le grand écran Tyrone Power est fabuleux, la scène de danse inoubliable. Le panache du héros demeure dans les mémoires, tout comme le duel quasi final, un grand moment de cinéma. Il faut le voir plutôt que d'en parler, assurément...
    Caine78
    Caine78

    6 797 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une très bonne version des aventures du justicier masqué. Il y a de l'humour, de l'action, une bonne mise en scène de Rouben Mamoulian et une belle brochette d'acteurs, notamment Tyrone Power et Basil Rathbone. Une belle réussite.
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2009
    Habitué des adaptations, Rouben Mamoulian s'en tire ici, avec ce "Signe de Zorro", à bon compte, sans jamais vraiment se distinguer. A son crédit, l'histoire est limpide et la réalisation des plus classiques, mais il manque toutefois d'épaisseur et de consistance à une oeuvre qui peine à sortir du lot. Heureusement, Tyrone Power est là qui donne à Zorro ses lettres de noblesse. L'acteur fait ici feu de tout bois pour donner un vrai style au héros. Pour le reste, rien n'est inoubliable.
    Shaka666
    Shaka666

    58 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juillet 2014
    Ce film reste un classique du genre et malgré quelques petites longueurs et le caractère forcément daté, on passe un très agréable moment.
    Charlotte28
    Charlotte28

    127 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2020
    Malgré une ou deux simplicités de scénario et le sot aveuglement quelque peu excessif du commandant, le film nous embarque par son mélange équilibré entre action, humour et romance. Brillant par son ironie et sa ruse, ce charismatique "Renard" emprunte à la figure de Robin Hood tout en annonçant celle de Batman (le soir de leur mort les Wayne se rendent au cinéma voir ce film-ci d'ailleurs!) sans sombrer dans la mièvrerie ou l'invulnérabilité du super-héros. Opposé à l'excellent Basil Rathborne lors d'un duel d'anthologie il nous gratifie également d'une scène de danse mémorable. Incontournable dans la mythologie de Zorro, cette version se distingue aussi par son ancrage politique et sociétal (faisant du futur Bernardo un personnage plus profond). Immanquable!
    mistermyster
    mistermyster

    59 abonnés 1 279 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2023
    Une très belle présentation du personnage emblématique du vengeur masqué, un film au charme inoxydable, il traverse le temps et on retrouve Tyrone Power dans un de ses très beaux rôles, et pourtant, on ne le voit pas si souvent dans le film sous son masque, trois scènes seulement, et pourtant, dès qu'il est à l'écran on ne voit pas Don Diego de la Vega, mais on voit Zorro, un sacré tour de force.
    Toutes les scènes s'enchainent avec fluidité, avec un rythme soutenu, que se soit une danse, une poursuite, une ballade au bord de l'eau, ou un duel, tout procure du plaisir; le soin apporté aux costumes est à souligné, l'élégance est le mettre mot de ce grand classique.
    Guillaume182
    Guillaume182

    133 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2012
    Certainement la meilleure adaptation du Héros Zorro au cinéma d'ailleurs il n'y qu'a voir l'adaptation du Zorro de Martin Campbell avec Antonio Banderas qui s'inspire largement de ce film.
    L'histoire tout le monde la connait ou presque c'est une grande aventure épique et pleine d'humour porté par l'irrésistible et le meilleur interprète de Zorro encore aujourd'hui le magnifique Tyrone Power.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    766 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 décembre 2013
    Ce héros légendaire qu'est Zorro est particulièrement en forme dans ce long-métrage datant du début des années 40. Il faut dire que Tyrone Power campe avec un certain charisme ce personnage si apprécier du grand-public. Mais il ne faudrait pas non plus occulter la brillante mise en scène pleine de panache et de volonté de Rouben Mamoulian et la présence d'un histoire bien sympathique. A noter aussi la présence de la superbe Linda Darnell qui apporte une bonne dose de charme et d'élégance, mais aussi celle de l'excellent Basil Rathborne (qui était paraît-il un grand escrimeur et qui ne se faisait que rarement doubler lors des tournages) qui possède d'ailleurs un duel assez passionnant à la fin du film avec Tyrone Power. "Le signe de Zorro" est donc un excellent film que j'ai vraiment pris plaisir à revoir.
    this is my movies
    this is my movies

    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    Remake du classique muet de F. Niblo, avec un autre artiste de la cabriole qui succède à D. Fairbanks, à savoir le bondissant T. power, rival dans le genre swashbuckling à l'époque du géant E. Flynn. R. Mamoulian est un technicien solide, qui trousse une histoire filmée avec soin, proposant un spectacle assez constant. Il aurait en effet été dommage de se priver d'un gros duel entre Power et B. Rathbone, escrimeur accompli en dehors des plateaux, et qui se régale visiblement avec son personnage de capitaine sanguinaire. Le contexte est assez sombre d'ailleurs, et le tout est remarquablement mené par la narration, même si on peut trouver dommage de voir si peu souvent le costume de Zorro à l'écran. Quant à l'alchimie entre Power et L. Darnell, elle a peu de chances de s'exprimer, si ce n'est dans une belle scène dans l'église. Les scènes d'action sont vives, les scènes où Power joue le freluquet sont jouissives, le spectacle est bien assuré, c'est assurément une très bonne adaptation du mythe Zorro, dont on retrouvera quelques traces dans la version de 1998 avec A. Banderas. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2020
    Quel charme irrésistible ce chef-d’œuvre 1940 !! Mon héros folklorique populaire, avec cet acteur de cinéma, avec la série télévisée, endossant le costume de justicier tout de noir vêtu et le masque, c’est bien la musique jouée pour Zorro.
    Le cavalier de la justice nocturne..... lalalala !! Aux horaires réguliers dans son emploi du temps, c’est l’hidalgo Don Diego de la Vega, citoyen californien, de l’aristocratie espagnole, sous sa gouvernance et la domination d’un despote.

    Cruel gouverneur saignant à blanc l’économie californienne, ce peuple de fiction sociale, apporte son soutien au double homme noble masqué superhéroïque, la marque bien ancrée pour cette fine lame, face à l’injustice loi arbitraire imposé par ce synopsis.
    Il s’en rempli plein de pièce d’argent récolté pour les mettre dans les coffres, il est révolté, rebelle, révolutionnaire, et très drôle, l’humour de la télévision, le combat d’un discret qui préfère ne pas se mêler des problèmes du pays.

    Ça ne va pas fort selon ce scénario, au niveau économique qui aura des répercussions sur sa politique, comme dans l’histoire du reste de l’Amérique plus au sud, dirigé par Madrid, le royaume de la couronne d’Espagne.
    La terre des ancêtres de Don Diego, né et vit pour la Californie, un dandy zen, excellent meilleur escrimeur par sa cohérence origine, un ange gardien symbole à la cause juste, son coeur bat la chamade pour cette belle romantique.

    Elle attendra la surprise au balcon de sa chambre riche demeure familiale hispanique latino, avec valets autochtones, beaucoup de sérénité, le temps où les parents arrangent ces mariages, ça tombe bien pour un couple compatible en film.
    Le lyrisme floral de Lolita, jeune fiancée et future promise mariée, une source d’inspiration littéraire, 1820 est le 19ème siècle, après le ménage combat coriace final joyeux allégresse population qui répond à la popularité du héros futé sauveur contre les oppresseurs.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2013
    Depuis l'avènement d'Errol Flynn qui confirma le retour en grâce des films de pirates et de cape et d'épée à la sortie de la Grande Dépression, chaque studio se cherche un nouvel héros qui pourra comme Flynn marcher dans les pas de Douglas Fairbanks qui vient de mourir (1939). Pour la Fox c'est Tyrone Power davantage dans le genre ténébreux à la Rudolph Valentino qui relèvera le défi d'incarner pour le studio l'image du héros d'aventures. Errol Flynn vient de triompher dans "Les aventures de Robin des bois" ( 1938) sous la direction de Michael Curtiz; un des rôles emblématiques de Fairbanks; Power endossera lui la capeline noir ébène de Zorro, une autre composition de Fairbanks. On fait appel à Rouben Mamoulian qui n'est pas à proprement parler un cinéaste reconnu pour ses films épiques comme Curtiz mais qui a déjà dirigé avec succès des films en costumes dont "La Reine Christine" avec la grande Garbo. Le casting est directement inspiré du Robin des bois de la Warner car Basil Rathbone viendra ferrailler l'épée avec Zorro et Eugène Pallette fera une quasi transposition de son rôle du frère Tuck de la forêt de Sherwood aux haciendas californiennes. Toutes les précautions semblent avoir été prises par Zanuck, le boss de la Fox pour viser dans le mille. Et comme de juste le film fera un triomphe, faisant de Tyrone Power une star pour les dix années à venir. Si le Zorro du beau Tyrone est moins bondissant que celui de Fairbanks essentiellement athlétique, la composition qu'en donne l'acteur est pour le moins savoureuse, exhibant une dualité du personnage qui ne sera jamais aussi bien rendue par la suite. A ses côtés Linda Darnell est sublimement mutine et on se prend à regretter que Mamoulian n'ait pas demandé à l'équipe de scénaristes du studio de développer davantage son rôle. Le film manque malgré tout un peu de moyens et les scènes épiques sont un peu limitées en nombre et en envergure comme on pourrait l'attendre d'un tel film. La fin avec une scène de foule un peu brouillonne nous laisse sur notre faim mais l'ensemble est suffisamment enjoué et rieur grâce à un J. Edward Bromberg parfait en gouverneur pleutre, marionnette d'un Rathbone fielleux à souhait et à une Gale Sondergaard en tantine onctueuse, jalouse de sa nièce plus jeune et plus belle. Au final un film visuellement somptueux grâce à une photographie parfaitement maîtrisée notamment pour la scène de duel par Arthur C. Miller, directeur de la photographie expérimenté ayant déjà travaillé pour Lang, Ford ou Dwan. Que demander de plus ?
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    600 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2012
    Des films d’aventures, de capes et d’épées de ce niveau, il n’y en a guère plus de 50 dans le cinéma mondial. En dehors de quelques transparents et de quelques accélérés qui ont évidemment vieillis tout en conservant le charme de ce cinéma du premier demi siècle de son existence, tout est parfait. Le duel est sans pitié pour le méchant et la comédie permanente pour tous les acteurs. Ce Zorro est avec le muet de Niblo le meilleur qui soit. Bien entendu, en dehors des purs cinéphiles qui se régalent devant la mise en scène, il faut garder une âme enfantine pour s’émouvoir et se passionner tour à tour devant ce classique des classiques. Mais une âme enfantine, chacun en possède une, même si elle se cache parfois très profondément. La réalisation est brillante, bien cohérente de bout en bout avec des déplacements de figurants bien orchestrés devant une caméra presque fixe.; les flammes dans la nuit ou les reflets dans les glaces sont des modèles.Linda Darnell a 17 ans est inoubliable quant à Tyrone Power, il n’a pas eu souvent l’occasion de jouer aussi bien.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2015
    Il est vrai que cette version des aventures du justicier masqué ne manque ni de charme, ni d'humour, ni de bons acteurs, ni d'une bonne mise en scène de la part de l'américano-géorgien Rouben Mamoulian (auteur entre autres d'un réussi "Docteur Jekyll et Mister Hyde"), mais personnellement je n'ai pas été totalement emballé par ce long-métrage de capes et d'épée (réalisé dans la foulée du "Robin des Bois" de la Warner pour rivaliser avec elle). La faute peut-être à un manque d'ambition et de folie artistique, malgré une direction et des jeux d'acteurs exemplaires : Tyrone Power incarne avec charisme un Don Diego Vega sûr de lui et charmeur, Linda Darnell campe la douce Lolita avec une fragilité et une candeur remarquables (malgré son rôle réduit), Basil Rathbone s'éclate en ancien maître d'escrime rusé et manipulateur, et le reste du casting offre au film une galerie de personnages fort bien développés et drôles (je pense surtout au moine "Padre" et au couple Quintero). A voir !
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top