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    RoboCop 2
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    191 critiques spectateurs

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    DamienReloaded
    DamienReloaded

    30 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Conscients qu'il était difficile de faire mieux que Robocop, la production s'attelle à développer dans cette suite l' ensemble des thématiques vues dans le premier film: le capital qui s'immisce dans la société au rang de Dieu suprême, la justice sacrifiée, la technologie comme palliatif aux insuffisances et danger principal de l'humanité, l'identité...En plus, le film recycle volontiers les scènes déjà vues dans l'original: le fiasco de Robocop 2 rappelle celui de l'ED209, la jeune femme qui saisit cet échec pour s'immiscer dans le projet et proposer son produit fait écho à Bob Morton, le méchant charismatique Boddicker est remplacé par Cain; l'équipe de ce dernier, les stupéfiants comme motivation première des "bad guys", le démontage de Robocop qui rappelle sa construction dans le film de Verohven...
    Bref, on a toujours l'impression de revoir le même film...en moins bien. le rythme bâtard amoindri le film et on se serait passé de la réapparition de Mme Murphy censée avoir quitté la ville dans le 1, au même tire que cette nouvelle composition musicale nettement en deçà du premier film. Irvin Kirshner déçoit donc, d'autant que le long métrage propose quelques irrévérences comme l'enfant dans le groupe de Cain (la jeunesse corrompue par le Dieu Argent).
    Au final, ce n'est qu'une suite opportuniste aux maigres qualités. Comme souvent, mieux vaut préférer l'original.
    Lord G.
    Lord G.

    2 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2022
    Ce film a du contenu, mais il lui manque tellement de charisme. une vision violente de la société, avec des éléments qu'on peut ressentir 30 ans après (la drogue, le climat). mais heureusement qu'on n'a pas encore de robocop ! un peu d'humour, de belles cascades, qques explosion et un robocop jamais égalé dans l'armure et la démarche ! j'ai trouvé qques analogie avec T2 : le gosse, la cascade à moto contre un camion. mais en tellement mieux reussi par Cameron
    Martinod G
    Martinod G

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2022
    C'est soporifique. Tout prend 2 ans, c'est lent, c'est mou... le scénario n'est pas inspiré on se demande ou ca va.. Nul part? Un môme en guise de méchant qui parle comme un malfrat, pas crédible, un grand méchant totalement too much.. Bref a oublier.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    39 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 décembre 2022
    Après un premier film qui avait montré beaucoup de belles choses, tout le monde semble avoir complètement ignoré ces deux suites. Et honnêtement, je comprends pourquoi en voyant celle-ci. "Robocop 2" est une déception monumentale, un film qui n'a rien compris à son matériau d'origine et qui se contente d'essayer de reproduire vite fait la formule. Au niveau du script et de l'histoire, rien ne fonctionne. Et, honnêtement, heureusement que le film réussit à avoir un peu de gueule, car il serait un bon pétard mouillé sinon. Clairement, j'ai l'impression que l'équipe de ce film n'a pas vu le précèdent. Quand Robocop disait à la fin du dernier film : "Appelez-moi Murphy", on voyait très bien que l'arc du personnage avait été traiter et qu'il y avait eu un point final, intéressant en prime. Mais ici, on reprend tout à zéro ! On est reparti sur la même thématique avec le héros qui cherche à savoir s'il est humain ou non. Sauf que, forcément, comme le premier film l'avait déjà traité et que celui-ci fait ça d'une moins bonne manière, c'est évidemment rater. Le long-métrage va même jusqu'à nous ramener la thématique avec sa famille, qui était aussi sensée être clos. Sauf que là, c'est encore pire ! Une seule scène ! Au tout début du film, une scène vient développer quelque chose entre Axel Murphy et sa femme et, par la suite, plus rien. Et tout le film se présente comme ça. Un ridicule constant qui va aller jusqu'à nous proposer un méchant de 12 ans. Rien n'est réussi dans ce film de ce point de vue, et si vous avez aimé le premier volet et qu'uniquement un peu de divertissement ne vous suffit pas, passé vite votre chemin. Vous n'allez jamais retrouver votre plaisir, les deux films n'ayant aucun rapport. La preuve allant même jusque dans les choix musicaux. La thématique principale du film précédent étant totalement absente ici ! En bref, c'est une déception et on comprend pourquoi personne n'en a jamais vraiment parlé. Pour conclure, une suite a oublié.
    Mia Wallace
    Mia Wallace

    14 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2021
    Certes, il est loin de valoir le cultissime Robocop de Paul Verhoeven, mais malgré toutes les critiques entendues sur ce deuxième volet, je trouve qu'il est moins terrible que ce qu'il en a l'air!
    Il y a de bonnes idées (Parfois mal exploitées et trop clichées, malheureusement), le rythme est là, il y a des scènes marquantes.
    Le film a un peu vieilli, la mise en scène laisse parfois à désirer mais en terme de suite, il y a eu pire. Il se laisse regarder.
    Anonyme M
    Anonyme M

    65 abonnés 1 667 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2020
    le scénario de robocop 2 est vraiment pas bon. l'histoire de la drogue et le méchant était vraiment bon ont s'y prend vite mais cela n'est que de courte duré. entre les cerveau retiré d'un corp et qu'il soi de nouveau fonctionnel dans un robot (ce qui n'est pas le cas avec robocop puisqu'il est toujours en vie il a juste été amputé de ses membres) et la débilité d'une femme qui choisi un cerveau de criminel (du méchant principal du film ???? QUELLE HONTE) mais que le grand patron évidement accepte. des prototypes robocop 2 a 19 million de dollar en fumé alors que la ville est déjà en déficit. qui ne font que prouver a quel point robocop est unique, qu'il a été créé par un génie. Alex Murphy qui est un héro unique impossible a remplacer.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    Nombreux sont ceux qui ont craché toute leur morve sur cette séquelle à sa sortie, la gratifiant des pires insultes. Encore aujourd'hui Robocop 2 souffre cruellement de cette comparaison rédhibitoire avec son illustre aîné. Alors certes, cette suite n'est pas aussi subtile et pertinente que le film de Verhoeven. Pire, le film parait s'inscrire dans une démarche purement opportuniste et putassière de la part des exécutifs d'Orion visant à faire plus violent, plus choquant, plus caustique que le précédent opus tout en passant à côté de ce qui faisait l'essence du chef d'oeuvre de Verhoeven. Et pourtant, même si Robocop 2 n'atteint jamais le niveau d'excellence de l'original, il n'en reste pas moins doté d'indéniables qualités.

    En 1989, la firme Orion est au pied du mur. Ayant dû vendre l'essentiel de son catalogue pour renflouer une partie de ses dettes, la firme tient à peine debout. Pour éviter la faillite, il lui faut absolument renouer avec le succès au box-office. Problème : les investisseurs étrangers n'acceptent de capitaliser que sur une seule franchise, la dernière qu'il reste à Orion (la société a vendu les droits de Terminator à Carolco, firme qui réussira l'exploit de faire faillite juste après le carton planétaire que fut son Terminator 2), soit Robocop. Orion mise donc tout sur son dernier atout, mais une oeuvre tout aussi réussie soit-elle n'est pas toujours gage de rentabilité, preuve en sera l'accueil glacial du film à sa sortie.

    Jon Davison, principal propriétaire de la franchise, doit faire face à un problème de taille. Alors que la pré-production prend forme sous l'égide du réalisateur Tim Hunter, (Verhoeven étant parti filmer Schwarzy sur Mars), l'Union des scénaristes décrète une grève générale. Par solidarité pour leurs collègues, Ed Neumeier et Michael Miner, les scénaristes de l'opus original, refusent d'écrire une seule ligne de script durant toute la durée de la grève (ils auront tout de même auparavant écrit un premier jet alléchant intitulé Corporate wars lequel s'annonçait comme le précurseur d'un éventuel cross-over entre les personnages de Robocop et de Terminator). Davison n'a plus d'autre choix que d'embaucher un scénariste non syndiqué, n'ayant jamais oeuvré pour le cinéma ou la télévision. Plus encore que vers les écrivains de SF, son choix s'oriente vers les scénaristes de comics (lesquels auront grandement influencé le film original). Après avoir essuyé un refus d'Alan Moore, le génial auteur anglais de Watchmen entre autres, Davison se tourne vers l'autre star du comics des années 80, à savoir le ricain Franck Miller, qui, tout auréolé de gloire après avoir ressuscité le Caped crusader et Daredevil dans les comics, accepte avec joie de s'essayer à la scénarisation de film. Il déchantera très vite devant les nombreuses réécritures qui lui seront imposées. N'ayant jamais été satisfait du film que l'on tira de son script, le célèbre scénariste proposera une décennie plus tard son scénario de Robocop, en comics cette fois. Mais le résultat à l'écran reste suffisamment impressionnant et réussi qu'il est difficile de comprendre son mécontentement.
    Tim Hunter ayant fini par claquer la porte cinq mois plus tard pour cause de désaccord artistique (notamment avec Frank Miller), Jon Davison se tourne alors vers ce vieux briscard d'Irvin Kershner déjà responsable neuf ans plus tôt de la réalisation du plus estimé des Star Wars.
    Le casting quand à lui, reste inchangé pour les personnages qui ont survécus au premier film (très peu) et à la hauteur pour les nouveaux. Le nouveau réalisateur et l'essentiel de son équipe engagés, le budget débloqué (35 millions de dollars soit trois fois l'enveloppe du premier film), Kershner doit cependant faire face à un délai restreint pour livrer son film en temps et en heure, la date de sortie du film ayant été décrétée sans possibilité de la repousser. Le réalisateur dispose d'à peine sept mois pour réaliser cette suite (pré-prod, tournage et post-prod tout compris). Une tâche laborieuse et oppressante, qui n'empêchera pas Kershner de livrer une suite surprenante sur bien des points.

    Marchant sur les traces de son cadet, Kershner poursuit la mise en images d'une société urbaine décadente dans le même état où Verhoeven l'avait laissé. Il se réapproprie ainsi l'utilisation de médias tels les flash infos et les publicités pour baliser son intrigue et y décrire la croisade de Robocop parti en guerre contre un chef de secte psychopathe et drogué contaminant les rues de la métropole avec une nouvelle drogue de synthèse qu'il vend à prix cassé à toutes les franges de la population. Ce dernier après une confrontation avec Robocop finit dans un état catatonique et tombe entre les mains d'une cadre arriviste de l'OCP, une psychologue dénommée Carfax, qui a l'excellente idée de le métamorphoser en cyborg gargantuesque.

    Tout dans Robocop 2 vise la surenchère. Plus de violence, plus d'humour, plus de personnages gratinés. Après une intro in media res exposant à nouveau un contexte social déplorable et une grève générale de la police de Détroit, le scénario embraye sur une séquence astucieuse dans l'escalade visuelle du crime qu'elle propose. Dans une rue sordide des bas-fonds de Détroit, nous assistons à une succession d'agressions où un voleur à la tire se voit immédiatement après son forfait dépouillé de son maigre butin par deux putes qui s'empressent d'aller payer la dette qu'elles doivent à leur père, après quoi la vitrine d'un magasin d'armes vole en éclats sur leur passage, laissant place à un braquage sanglant et tout cela en toute impunité, les malfaiteurs profitant allègrement de la grève de la police pour commettre leurs méfaits. Jusqu'à ce que Robocop (qui n'est pas syndiqué, lui, contrairement aux scénaristes d'Hollywood) entre en scène...

    La trajectoire dramatique du héros s'étant conclue avec le premier film, il était inenvisageable pour une suite de ne pas réinvestir le personnage dans sa fonction tout aussi superficielle que primordiale de justicier hardcore. Ainsi, Murphy, comme un dernier rempart au chaos, use-t-il de son statut particulier de surhomme (et de super-héros) pour faire respecter la loi et ce malgré la grève de ses collègues. Dès lors se pose la question suivante, Murphy après s'être affranchi de son esclavage aurait-il régressé à nouveau au statut de Robocop et de simple pantin de l'OCP, au point de rendre caduque toute l'évolution de son personnage dans le premier film ?

    Il est intéressant de voir à quel point Robocop 2 prend le contre-pied de son prédécesseur et les attentes du public. Là où dans le premier film, le héros retrouvait peu à peu son humanité jusqu'à ôter son casque symbolique pour ne plus le remettre, cette suite voit Murphy réinvestir volontairement sa condition de machine cyclopéenne jusqu'à ironiser en toute fin de film sur la vanité de l'existence humaine tout en s'apprêtant une nouvelle fois à tomber le masque. Hors nous ne reverrons plus le visage de Murphy après qu'il se soit fait tailler en pièce en milieu de métrage. Est-ce un hasard si dès lors qu'il arbore à nouveau son casque, l'intrigue laisse place à une succession de séquences d'actions ?
    Murphy subira bien quelques réminiscences du passé en début de métrage, via l'image de son fils qu'il transfère à tort sur le personnage de Hobb (il parait que certains pensent encore que Hobb est le fils de Murphy).
    De même, sa quête initiale pour retrouver sa famille, élément dramatique que l'on attendait plus développé, et ses tentatives de leur manifester sa présence se voient expédiées dès les premières minutes par un dialogue stérile entre Murphy et sa "veuve".

    Dès lors, le héros ainsi outrageusement (?) débarrassé de tout enjeu personnel, il s'agit de faire place à la véritable raison d'être de cette suite : un déluge de causticité, de fusillades et d'ultra-violence, où dans la droite lignée du premier film, les dirigeants de l'OCP continuent leur OPA agressive sur Détroit, leur politique de rachat de la ville se confrontant au nouveau maire, tandis qu'un gamin pré-pubère cultive l'ambition de diriger à lui-seul (et en costard-cravate s'il vous plaît) un cartel de la drogue. Oui, ce monde-là est vraiment mal-barré.
    Mais c'est sans compter sur la volonté farouche de Murphy (mais parle-t-on encore de Murphy ou de Robocop ?) de mettre fin à ce jeu de massacre.

    L'humour et la satire sont toujours aussi présents, notamment en milieu de métrage à travers cette séquence qui provoqua la consternation des fans, où Murphy se voit reprogrammé par Carfax et l'OCP via l'ajout de plus de deux cents (!) directives redondantes et contradictoires dans son programme pour devenir un modèle civique prônant les valeurs morales de l'American way of life. C'est donc un Robocop volubile qui déboule un temps dans les rues, déambulant la fleur au fusil, faisant inutilement la leçon aux délinquants de tout poil et de tout âge et perdant ainsi de son aura et de sa crédibilité auprès de la population et surtout auprès des enfants (et de certains fans mal embouchés), lesquels l'insultent allègrement sans que celui-ci ne bronche. Il faut aussi le voir convaincre d'une manière hautement dissuasive, un pauvre fumeur d'arrêter la cigarette pour son bien (ou comment annoncer la bien-pensance des années 2000 avec dix ans d'avance). Aberrante pour certains spectateurs, l'idée reste pertinente vu le statut contradictoire de cyborg du héros. Véritable farce aussi irrévérencieuse envers son personnage-titre qu'envers les exécutifs des studios (les cadres de l'OCP qui débattent sur la reprogrammation de Robocop ne sont que ceux d'Orion débattant sur le script), cette séquence aurait selon certaines sources expliqué à elle-seule l'échec commercial du film en salles, (le public n'ayant tout simplement pas supporté de voir le héros décrédibilisé de la sorte). Aujourd'hui, elle sert à contrario d'influence tout comme cette scène voyant la démonstration absurde et désastreuse de deux cyborgs suicidaires (séquence reprise partiellement pour une démonstration du même genre dans Iron Man 2).

    Le fait est que tout humain puisse-t-il se revendiquer malgré les apparences, Murphy est toujours considéré comme une simple machine par ses propriétaires de l'OCP. Tout aussi efficace soit-il, Robocop est une création dont ils ont perdu le contrôle à la fin du premier film. Mais ce n'est pas pour autant que Murphy est libre. Il est une propriété, un produit parmi tant d'autres (une scène montre une exposition de plusieurs modèles de robots concus par l'OCP et dont une statue à l'effigie de Robocop fait partie). Ainsi, quand il est littéralement mis en pièce en cours de métrage, l'OCP gèle momentanément le coup de sa réparation tant il leur est devenu gênant et qu'ils semblent fonder de grands espoirs sur la conception d'un nouveau modèle.

    Le titre Robocop 2 ne désignant pas seulement le statut de séquelle du film mais ce second modèle, c'est bel et bien le bad guy du film qui se voit métamorphosé à son tour en cyborg. Ainsi, Caïn, incarné par cette grande perche de Tom Noonan sous sa forme humaine, se révélera être la némésis de notre héros, en accédant au même statut mécanique que lui en plus imposant, plus massif et plus fort. Le film se conclut alors en apothéose à travers un pugilat de plusieurs minutes et s'étendant à plusieurs étages d'un building de l'OCP, opposant notre rassurant Robocop à un prodigieux monstre d'acier, animé image par image par Phil Tippett, et évoquant (pour la première fois en cinéma live) tous les méchas nippons de la japanime de notre enfance. En ce sens, le climax de Robocop 2 reste un pur moment de bravoure encore impressionnant à regarder de nos jours malgré l'omniprésence et la banalisation actuelle de certains films de robots (la scène sera de plus, quasiment reprise telle quelle dans le final d'Iron Man, les morts en moins évidemment).

    Et malgré certaines fautes de goûts (dont le score de Leonard Rosenman parfois à côté de la plaque et des cuivres, tout comme ces réclames fictives bien moins pertinentes dans leur utilisation que celles du premier film) dues probablement aux attentes du public et des exécutifs d'alors, Robocop 2 reste encore un très bon divertissement et une séquelle qui, sans atteindre la puissance dramatique et l'habileté satirique de son modèle, arrive au moins à en proposer une appréciable continuité.
    CinemAddictO
    CinemAddictO

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2020
    Ce robocop 2 reprends efficacement le scénario du 1er pour le pousser à son paroxysme: la ville est plongée dans le chaos et l’OCP poursuit son escalade dans le crime et sa soiffe de posséder Detroit.Tout en étant mois puissant et émouvant que son prédécesseur, R2 reste très agréable à regarder, et comprends d’impressionnantes scènes d’actions; le final avec la machine en animée en stop Motion est éblouissant.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2020
    Cette suite de "RoboCop", réalisée cette fois par Irvin Kershner et sortie en 1990, n'est pas mal mais sans plus. RoboCop doit cette fois faire face à une nouvelle menace qui est une drogue appelée Nuke, contrôlée par une sorte de secte. Bon voilà, comme dans beaucoup de films se passant dans un futur proche dystopique, nous avons une drogue qui fait des ravages sur la population et bien-sûr, la saga n'échappe pas à la règle. Nous avons cependant dans ce film un peu plus d'action que dans le premier, ce qui en fait un assez bon divertissement. Malgré tout, le film s'essouffle un peu dans sa dernière partie et il en devient alors un peu longuet, ce qui est dommage. Nous avons néanmoins toujours les métaphores, un peu moins appuyées, qui faisaient l'originalité du premier. Ainsi, à l'image du premier opus, le contexte de violence est très bien retranscrit, les problèmes liés à la ville et à la population sont toujours les mêmes et le film est toujours entrecoupé de publicités et d'informations ultra-violentes ou complètement absurdes (notamment celle sur la crème solaire qui donne le cancer de la peau, qui est très bien trouvée). Nous retrouvons également cette violence dans l'histoire en elle-même, et notamment avec une violence psychologique. Cette violence est d'autant plus appuyée ici que le bras droit de la secte est un garçon de quatorze ans et que l'OCP est comparée au nazisme via son drapeau très évocateur. La question éthique en ce qui concerne Murphy est également toujours présente, étant mise en évidence cette fois par sa capacité à ressentir des émotions et la douleur. En bref, nous n'avons rien de bien original ou rien de nouveau en tout cas, mais, encore une fois, le film reste sympa pour son côté divertissant. La mise en scène est également assez bonne. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons Peter Weller et Nancy Allen qui jouent toujours aussi bien. "RoboCop 2" n'est donc pas une suite bien intéressante mais qui se laisse facilement regarder.
    Boss Uniboulaire
    Boss Uniboulaire

    2 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2020
    Très nettement en dessous du premier qui est culte. Néanmoins quelques bonnes idées. J'ai par exemple préféré les fausses pubs dans celui ci que dans le premier. La voiture qui électrocute, L'écran solaire tout bleu hautement cancérigène, et le type qui se tire une balle dans la tête parce qu'il a perdu un client suite à un probleme de fax.
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2019
    Un deuxième volet de qualité mais dont l'ambiance et le charme du premier n'y est plus. Toutefois le film est loin d'être un navet. On retrouve Peter Weller dans le rôle titre. Robocop nettoie toujours les rues, et un nouveau fléau a fait son apparition, la drogue Nuke. Le leader de ce trafic est un certains Cain. Le résumé dans les grandes lignes du film, je ne passe pas par la reprogrammation de notre cyborg. Le film est plutôt bien filmé, l'humour y est plus enfantin que dans le premier opus notamment quand Robocop est reprogrammé en espèce de héros éducatif. La bande son a également disparue et nous offre un thème plus héroïque et patriotique. Toutefois même si les ingrédient du premier sont moins présent, ces derniers sont quand même là (notamment l'aspect capitalisme et corruption). Une bonne suite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    RoboCop 2 est tout simplement génial, hyper sous estimé par les spectateurs et par la presse, tout comme autant Judge Dredd de Danny Cannon qui a été un super échec et que il ne respectait pas du tout le comic notamment pour le personnage qui n'est pas vraiment le Juge Dredd, par sa mal interprétation.
    Mais RoboCop 2 fait pour ma part preuve de grandes qualités, notamment pour son côté un peu plus funny contrairement au prequel. Mais son histoire et plus profonde, alors que dans le 1 le scénario était écrit à la perfection et nous donnait bien de le voir que ce film ne gâchait absolument rien dans son ensemble. RoboCop 2 a un peu plus de défauts, en effet pour son scénario pas très recherché et le film est un peu fait à l'arrache mais ça marche parfaitement, au niveau des scènes d'actions c'est dynamique, ça m'a mis absolument dans l'ambiance mais certaines ont été un peu ennuyeuse. Après pour les personnages ça reste normal, toujours épris par RoboCop qui cette fois-ci est un peu plus drôle, Nancy Allen est un peu moins intéressante. En faite j'avais pas tellement apprécié cette protagoniste car je trouvais qu'elle servait à rien et seul RoboCop pouvait faire son boulot tout seul.
    Aux niveaux du méchant c'est décevant, car moi je m'attendais à un méchant charismatique et maléfique, qui a son côté noir, mais finalement c'est spoiler: juste un gamin qui veux de l'argent
    et bref. Et dans le 1, l'antagoniste restait pour ma part beaucoup mieux, je sentait le gros sérieux sur lui et ça c'était satisfaisant.
    Mais après RoboCop 2 pourrait être un film qui plaira aux gamins et aux amateurs de nanars. Pour moi RoboCop 2 est pas catastrophique mais certains défauts se montrent mais ne sont pas ravageurs. L'univers reste toujours aussi impressionnant, genre ça créer des robots, le spoiler: RoboCop 2.0
    qui est plutôt stylé et impressionnant, et les effets-spéciaux restent réussi même plus que dans le premier, le premier était un peu vide mais extra divertissant et cool.
    Je déconseille le film aux -12 ans
    OMTR
    OMTR

    19 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2019
    Digne suite du chef-d’œuvre de Paul Verhoeven, orchestrée par le trop méconnu Irvin Kershner et le génial Frank Miller. Dommage que l’on ne retrouve pas Basil Poledouris pour la bande originale. Mais il est revenu pour le troisième :)
    RealPrime
    RealPrime

    88 abonnés 1 764 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2018
    2ème volet toujours aussi prenant avec un -12 toujours respecter, les scènes ne manque pas et c’est ça qui est bon. Une multinationale voulant recycler le robot mais qui ne fait qu’échouer par manque de moyens financier et humains, ce qui pousse la presse et les habitants de Détroit à royalement se payer leur tête. spoiler: La scène finale est elle superbe avec ce cyborg aux membres et armes multiples
    , Le visuel est lui toujours grandiose avec sa destruction massive.
    Thomas D.
    Thomas D.

    2 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2018
    Une assez bonne suite au premier film malgré un certain déclin : On suit à nouveau les aventures de Robocop, le célèbre robot policier qui est confronté à une nouvelle menace : le dangereux Cain, trafiquant et inventeur de la Nuke, puissante drogue. Alors que Robocop est capturé et mis en pièce avant d'être reprogrammé, l'OCP crée un Robocop 2 en utilisant le cerveau de Cain, une mauvaise idée...
    La suite ne casse pas de briques mais hormis une réalisation en-dessous de celle de Verhoeven, un scénario moins travaillé et un humour plus lourd, on passe quand même un bon moment devant ce divertissement d'assez bonne qualité.
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