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Votre avis sur RoboCop 2 ?
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Comme souvent, les suites sont mauvaises. Le policier robotisé en a fait les frais. Mais bon, c'est pas si simple de succéder à Paul Verhoeven...
Au visionnage de ce...." truc ", j'ai eu le très net sentiment d'avoir non pas perdu mon temps, mais de l'avoir carrément gâché. Le tout est d'un niveau tellement incomparablement inférieur à ce qui avait été fait sur le premier volet......Encore un film fait pour les banques.
A pour moi, ici, Irvin Kershner signe un opus 2 meilleur que la première aventure de Robocop signé Paul Verhoeven. Avec ce film, Irvin Kershner ne créer rien de bien original mais en met plein la vue avec beaucoup d'action et avec un véritable champs d'effets spéciaux, les scènes d'actions sont brillantes est sont bien collés par rapport à l'image, donc le travail sur Robocop 2 est abouti, le scénario n'invente malheureusement rien, mais bon ce n'est pas si grave car ce qu'on cherche avec Robocop 2 c'est un film d'action qui n'a pas forcément un scénario très travaillé. L'ambiance sombre est pour moi encore plus présente que dans le 1er, niveau négatif l'on remarquera le fait que l'on a l'impression que les scènes du film s'éparpille pour former par moment une espèce de film mal découpé.
Le premier volet etait moins violent. Ici il y a une overdose de cruauté de gore et de sérieux. Il est incomparable à Robocop 1 et moins plaisant à regarder.
Meme si l'image du héros est toujours là, l'interet n'y est plus vraiment
Meme si l'image du héros est toujours là, l'interet n'y est plus vraiment
Le premier opus restait original, mais par contre le numéro deux est un nanar passablement chiant à regarder. Je n’adhère pas.
Partant sur les bonnes bases du premier opus, le tout se dégrade de minute en minute et devient un véritable nanard dans ses 20 dernières minutes.
7eme critique
Irvin Kershner a ruiné le travail de Paul Verhoeven ! Un scénario bête, une réalisation ringarde, "Robocop 2" s'offre un aspect ridicule qui ne mettra pas longtemps à se classer dans la catégorie "nanar". Robocop renfile l'armure pour se noyer dans ce second volume d’une nullité affligeante. Tout est mal fait, tout est facile, tout en devient complètement surréaliste. Mais comment peut-on proposer une suite de cette acabit ? Cela ne donnera pas l'envie d'approcher, de près ou de loin, le troisième opus...
Cette suite de Robocop constitue un spectacle peu spectaculaire et un peu ridicule (le môme chef d'un gang, le robot drogué,...). Pas indispensable.
En général, les suites sont toujours moins bonnes que les originaux mais là, je dirais même que ce Robocop 2 est encore meilleur que le premier. L'action est beaucoup plus présente de même que l'humour (quasiment absent du premier épisode). Les acteurs sont toujours aussi convaincants et on ne s'ennuye pas une seconde.
Yetcha
Rien ne vaudra le premier volet. Dès le début on part sur un rythme plus action et surtout plus violent qui ne cache plus grand chose. Mais ce voile enlevé fait directement passer le film dans un registre de série B. S'il n'est pas foncièrement mauvais, il n'y a pas du tout le même attachement aux personnages et cette teinte avec ces reflets roses/violets sur l'armure de Robocop sont juste affreux. Bref, un joli raté qui mènera pourtant à bien pire au volet suivant...
Nicothrash
On a du mal à croire que c'est le même Irvin Kershner de L'Empire Contre Attaque (probablement le meilleur Star Wars) qui a réalisé cette suite de l'excellent Robocop de Verhoeven. Déjà le changement de réalisateur se fait immédiatement ressentir avec une ambiance très éloignée de l'originel. Là où Verhoeven tirait à balles réelles sur les institutions américaines avec des charges puissantes contre les médias, le gouvernement etc., Kershner les titille tout juste. Tout est moins bon dans cette suite, de la réalisation à la direction d'acteur en passant par la mise en scène. Il y a tout de même de bonnes idées avec notamment 2 ou 3 scènes marquantes mais l'ensemble paraît le plus souvent allègrement pompé sur le chef d'œuvre de Verhoeven, avec moins de talent évidemment. Les effets spéciaux sont très inégaux avec de très bonnes scènes et d'autres très douteuses, on a également trop d'humour qui décrédibilise totalement notre super agent. Cette suite s'avère au final très dispensable en ce sens qu'elle n'apporte strictement rien à l'originel malgré de bonnes idées, et puis, déception absolue, le génial thème musical du premier est absent ici. Bref, c'est raté.
Bien évidemment, ce film n'est pas aussi génial que le premier volet. Personne n'y croyait, déjà, à sa sortie en 1990, personne n'allait le clamer sur les toits. Mais il n'en demeure pas moins un honnête second volet (on oublie "Robocop 3", d'accord ?), assez brutal, assez violent, assez trippant. Un bon divertissement pour un soir où il n'y a rien à la TV. Ce qui arrive souvent.
Trop souvent.
Trop souvent.
On sent un film de suite pour faire du pognon!
Le scénario est ridicule et les FX sont pas au niveau du 1er opus.
Franchement, la 1er film se suffit à lui même
Le scénario est ridicule et les FX sont pas au niveau du 1er opus.
Franchement, la 1er film se suffit à lui même
la différence entre le 1 et le 2 il y avait tellement mieux à faire avec l'histoire de la Nuke,une déception et les effets spéciaux éclaté ...
Réalisateur habitué aux suites, Irvin Kershner, réalisateur du cultissime "L'Empire contre-attaque" se retrouve ici aux commandes de "Robocop 2". S'il est difficile d'égaler la réussite du premier film réalisé par Paul Verhoeven, cette suite (partant d'une histoire de Frank Miller) nous plonge dans une Détroit rongée par la drogue, mise en circulation par Cain, sorte de gourou psychotique incarné par Tom Noonan. Robocop se voit donc obligé d'intervenir alors qu'il se sent de plus en plus humain. Sympathique, plutôt bien écrit et regorgeant d'idées, "Robocop 2" n'a pas la même verve dénonciatrice de son aîné mais assure tout de même le divertissement, se reposant sur des effets spéciaux assez bien faits et des scènes d'action solides. Malgré tout, Robocop se fait largement éclipser par les personnages secondaires, relativement importants, éléments déclencheurs d'un tas de choses, reléguant Peter Weller à faire le minimum syndical malgré quelques belles idées.
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