Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
We don't live here anymore se passe de colères conjugales pour dépeindre autant de trahisons ordinaires que l'érosion du désir, sans jamais recourir au tape-à-l'oeil (...) émouvant mais sans crise de larmes.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Mélancolique et élégant, le film est aussi très bien interprété (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Christine Haas
L'honnêteté brutale du film laisse alors la place à une méditation salutaire sur la crise en tant qu'étape dans la construction humaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christian Jauberty
Le film ne juge pas [les personnages] mais les observe face à leur propre sentiment de culpabilité avec une acuité mordante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Emmanuelle Spadacenta
John Curran, alors libéré d'une interprétation frisant la perfection, peut donc vêtir son film d'une élégance formelle où les images s'affranchissent des mots tant le sens est probant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Yasmine Youssi
Partant de cette trame rabachée, John Curran a tricoté un huis clos étouffant, bavard en diable.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Cette peinture d'un quatuor malheureux qui ferme les parenthèses de l'infidélité par morale, respect du conjoint et amour des enfants est malheureusement traitée d'une façon assez terne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Méli-mélo sentimental dans la bourgeoisie blanche. L'ordinaire d'un cinéma indi américain sans enjeu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La rédaction
(...) film indé US bavard.
Ouest France
par La rédaction
(...) un casting royal (...) bien mal employé dans un mélo bavard et agité.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Tout cela manque de fluidité et, comme c'est souvent le cas lorsqu'on veut jouer au malin avec la condition humaine, de sincérité d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
A l'arrivée, un plat sans saveur sur les difficultés de la vie à deux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Petits adultères entre amis sur un campus américain. Pourquoi tant de pathos et de sérieux ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
On s'endort, sans violence. Les personnages, dont les amitiés et les désirs sont vides, sans matière, ne nous intéressent pas. Qu'ils s'aiment, qu'ils se détestent, peu importe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
We don't live here anymore se passe de colères conjugales pour dépeindre autant de trahisons ordinaires que l'érosion du désir, sans jamais recourir au tape-à-l'oeil (...) émouvant mais sans crise de larmes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Mélancolique et élégant, le film est aussi très bien interprété (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Paris Match
L'honnêteté brutale du film laisse alors la place à une méditation salutaire sur la crise en tant qu'étape dans la construction humaine.
Première
Le film ne juge pas [les personnages] mais les observe face à leur propre sentiment de culpabilité avec une acuité mordante.
Score
John Curran, alors libéré d'une interprétation frisant la perfection, peut donc vêtir son film d'une élégance formelle où les images s'affranchissent des mots tant le sens est probant.
Zurban
Partant de cette trame rabachée, John Curran a tricoté un huis clos étouffant, bavard en diable.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Cette peinture d'un quatuor malheureux qui ferme les parenthèses de l'infidélité par morale, respect du conjoint et amour des enfants est malheureusement traitée d'une façon assez terne.
Les Inrockuptibles
Méli-mélo sentimental dans la bourgeoisie blanche. L'ordinaire d'un cinéma indi américain sans enjeu.
Libération
(...) film indé US bavard.
Ouest France
(...) un casting royal (...) bien mal employé dans un mélo bavard et agité.
Positif
Tout cela manque de fluidité et, comme c'est souvent le cas lorsqu'on veut jouer au malin avec la condition humaine, de sincérité d'âme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
A l'arrivée, un plat sans saveur sur les difficultés de la vie à deux.
Télérama
Petits adultères entre amis sur un campus américain. Pourquoi tant de pathos et de sérieux ?
aVoir-aLire.com
On s'endort, sans violence. Les personnages, dont les amitiés et les désirs sont vides, sans matière, ne nous intéressent pas. Qu'ils s'aiment, qu'ils se détestent, peu importe.