Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
Ne cherchez pas de schéma narratif élaboré, Osmose est une succession de petites scènes introduites par des cartons à la façon des films muets. Le tout est tourné en numérique avec des bouts de ficelle au point que la qualité de l'image s'en ressent fortement. Mais le naturel des acteurs, les dialogues hilarants et le charme nostalgique de ces saynètes suffisent à nous embarquer avec un réel plaisir dans l'univers décalé de Fejtö.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
(...) ce premier long de Raphaël Fejtö, haché d'intertitres, est un film à sketchs. Avec les plus et les moins du genre. (...) Le grand film sur l'amitié reste à faire.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Bernard Achour
(...) ce portrait éclaté de trois jeunes face à l'amour assume son identité et la modestie de ses prétentions avec une énergie mâtinée d'une authenticité particulièrement rafraîchissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Chronique sincère et drôle de deux jeunes glandeurs parisiens.
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Filmé avec des bouts de ficelle et des bouts de scène, OSMOSE ne se prend heureusement jamais au sérieux. (...). Dommage que Raphaël Fejtö n'ait pas davantage travaillé son projet, car il a de bonnes idées (notamment un très beau plan sur une plage bretonne) et un style qui n'est pas sans rappeler Cédric Klapisch.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Raphaël Fejtö, jeune auteur et illustrateur de livres pour enfants, procède par touches légères, entre BD déconnante et clip sauvage. L'image est parfois floue mais on s'en fout, ce sont surtout les mots et leur rythme qui comptent. (...) En ressortant, on a envie de prendre une caméra. Bon signe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il s'agit d'une chronique de la paresse et de la drague post-adolescente, distribuée entre quatre personnages et émiettée en saynètes de quelques minutes, introduites par des cartons ironiques. Clément Sibony, Romain Duris, Mathilde Bertrandy et Rachid Djaidani prêtent leur corps à cet exercice de légèreté qui se révèle rapidement pesant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
Ne cherchez pas de schéma narratif élaboré, Osmose est une succession de petites scènes introduites par des cartons à la façon des films muets. Le tout est tourné en numérique avec des bouts de ficelle au point que la qualité de l'image s'en ressent fortement. Mais le naturel des acteurs, les dialogues hilarants et le charme nostalgique de ces saynètes suffisent à nous embarquer avec un réel plaisir dans l'univers décalé de Fejtö.
Cahiers du Cinéma
(...) ce premier long de Raphaël Fejtö, haché d'intertitres, est un film à sketchs. Avec les plus et les moins du genre. (...) Le grand film sur l'amitié reste à faire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) ce portrait éclaté de trois jeunes face à l'amour assume son identité et la modestie de ses prétentions avec une énergie mâtinée d'une authenticité particulièrement rafraîchissante.
Les Inrockuptibles
Chronique sincère et drôle de deux jeunes glandeurs parisiens.
MCinéma.com
Filmé avec des bouts de ficelle et des bouts de scène, OSMOSE ne se prend heureusement jamais au sérieux. (...). Dommage que Raphaël Fejtö n'ait pas davantage travaillé son projet, car il a de bonnes idées (notamment un très beau plan sur une plage bretonne) et un style qui n'est pas sans rappeler Cédric Klapisch.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Raphaël Fejtö, jeune auteur et illustrateur de livres pour enfants, procède par touches légères, entre BD déconnante et clip sauvage. L'image est parfois floue mais on s'en fout, ce sont surtout les mots et leur rythme qui comptent. (...) En ressortant, on a envie de prendre une caméra. Bon signe.
Le Monde
Il s'agit d'une chronique de la paresse et de la drague post-adolescente, distribuée entre quatre personnages et émiettée en saynètes de quelques minutes, introduites par des cartons ironiques. Clément Sibony, Romain Duris, Mathilde Bertrandy et Rachid Djaidani prêtent leur corps à cet exercice de légèreté qui se révèle rapidement pesant.