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Dik ap Prale
214 abonnés
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3,0
Publiée le 20 décembre 2017
Sans rien de croustillant côté mise en scène et une plastique colorée pas toujours de bon goût, on retrouve tout de même un Danny Boyle en grande forme. On prend un plaisir monstre avec ce conte mené tambour battant par cette savoureuse fraterie qui jongle entre garantie et bienfaisance. La bêtise et l'insouciance réunis dans une critique sociale équilibrée qui plaira même au plus jeune.
Film mielleux et empli de naïveté au possible. Quand deux gamins trouvent beaucoup, beaucoup d'argent et qu'ils ont des projets que de jeunes adultes auraient peut être pu avoir spoiler: (le coup du placement immobilier... C'était lourdingue) . Le coup avec les visions des saints était dispensable; Dommage car les seconds rôles sont sympas et la réalisation est bien, en même temps c'est Boyle mais ce n'est clairement pas le premier film de sa riche et intéressante carrière à voir, c'est certain.
Danny Boyle a beau avoir son petit style via quelques plans bien trouvés et de jolies couleurs, « Millions » n'en est pas moins qu'une banale coquille vide sur la valeur de l'argent et ce qu'on en fait, le tout sur fond de conflits et retrouvailles familiales entre personnages beaucoup moins savoureux qu'ils ne souhaiteraient l'être. Cela se voudrait aérien, drôle, émouvant : ça n'est aucun des trois. Après, d'accord : rien de désastreux non plus, l'idée des spoiler: saints est sympa, Daisy Donovan compose un bon second rôle, mais il est peu courant qu'un film me laisse au final une impression aussi fade, presque insignifiante. Rien de vraiment neuf, pas de regard subtil sur les enjeux posés, et ce n'est pas le dénouement confondant de naïveté qui me fera changer d'avis. Dispensable.
J'ai vu ça sur la chaîne Gulli et j'ai pensé à une erreur : un film de Danny Boyle sur la chaîne Gulli ?... n'y aurait-il pas nabot sous roche ? et effectivement, c'est la foire aux nabots avec des jus de fruits et du kiri.
Le postulat de départ (les gniards qui trouvent un sac plein de fric...) fait long feu et on sbaille à n'en plus pouvoir en comptant les bouteilles de grenadine et de lait-fraise qui constituent l'intégralité de l'espèce d'histoire et des pseudo-dialogues qui la constituent. Je n'en reviens toujours pas, de cette "poésie" infantile moralisatrice à deux balles !
Danny Boyle a fait Trainspotting et les 28 jours / semaines plus tard, et pour ça, j'adore vraiment ce mec. Je regarde donc ses films en me disant d'avance qu'il y a de fortes chances pour que ça me plaise. Et ici... Et bien, ce film m'a plu. Il n'est pas excellent, mais il est bien. Pourtant, on ne sait pas trop sur quel pied danser au question de la "foi" spoiler: (par exemple, certains dialogues sur Dieu, ou l'apparition de la mère et tout ce que cela sous entend m'a laissée perplexe, même s'il y a des saints "bad ass" et que les mormons passent pour des c***) . Un autre point négatif : un problème (peu important) pour la VF: Je n'aime pas la voix du petit garçon, je ne sais pas comment définir cela, mais pour faire bref, elle le décrédibilise un peu à mon avis. Et enfin, dernier point négatif au sujet de la scène de finspoiler: , je la trouve ratée, ridicule. On s'en serait passé.
Mais je trouve ce film tout de même touchant et original. L'image de l'enfant "à part" est bien traité, il y a bien sur des réflexions au sujet de l'argent, le comportement de consommateur, ou encore le vol, la pauvreté, etc.. ces thématiques sont intéressantes, surtout venant d'un enfant. Il y a aussi de beaux messages et ce film laisse une grande part à la magie de l'enfance et à l'imagination.
L'idée de départ est gentille, mais le film joue sur l'innocence des enfants, ce qui donne un joli côté niais à son déroulement. Cependant, beaucoup de couleurs le rendent agréable. Mais les gamins m'ont semblé mal choisi, trop innocents et donneurs de leçons. Cela reste une histoire gentillette.
Long-métrage mineur de la filmographie de Boyle. Mais il ne fait aucun virage, il reste toujours sur son thème, la jeunesse, la société et l'argent. L'histoire d'un petit enfant croyant et proche de être humains démunis. Il s'empare d'un sac rempli de billets lui tombant sous le nez alors que son pays ne va pas tarder le passage de monnaie à l'Euro. Précisons qu'en dehors de cette fiction, l'Angleterre est pas du tout sous cette devise puisque sa monnaie est la Livre sterling. C'est pour cela que Millions reste intéressent sur quelques points. Boyle traite convenablement que l'argent amène à des complication et l'être humain est encore plus compliqué. Il offre aussi un passage assez émouvant avec l'enfant et spoiler: sa mère qui est morte . Par contre le final de cette histoire est pas génial, j'en attendais mieux de la part du réalisateur.
Quand on déteste un film, on a tendance à ne pas le regarder jusqu'au bout. Ce fût le cas avec ce "Millions" de Danny Boyle (qui avec ce film touche le fond). Un film moralisateur avec un fond religieux très agaçant.
Pour son sixième film, Danny Boyle tente un clin d'oeil au début de sa carrière qui fut lancée par la « bag of money trilogy », trois comédies très différentes ayant pour élément commun un sac d'argent influençant plus ou moins explicitement les rapports entre les protagonistes. Et c'est ici le thème central de ce « Millions », métrage particulièrement anecdotique dans la filmographie du britannique, tant par le succès engendré que par la qualité fondamentale. « Millions » est une sorte de conte moderne oscillant constamment entre le film familial bien-pensant et la comédie acerbe à légères touches sociales. Le style ne s'affirme jamais clairement et Boyle peine à nous livrer quelque chose de véritablement captivant, enchaînant mollement les salves anticléricales et les sermons moralisateurs dénués de subtilité (partager, c'est bien....tout garder pour sa gueule, c'est mal...merci Danny pour cette petite leçon qui va, à coup sûr, changer la face du monde). On a donc un certain nombre de sujets complexes (religion, fric, famille, Société...) traités de façon un peu trop légère. Malgré cela et une réalisation pas franchement transcendante, tout n'est pas non plus à jeter. On retiendra le bon jeu des deux gamins, une certaine poésie ainsi que quelques traits d'humour basés sur la naïveté infantile et qui s'avèrent très plaisants. Un ratage mais pas non plus un naufrage.
Danny Boyle est surprenant, il nous emmène toujours où on ne l’attend pas. Dans ce cas, c’est dans la tête de ce petit bonhomme et de sa vision du monde.
Il est particulièrement craquant et pétillant de malice , il y aussi ses potes les saints, qui apparaissent au gré du film, ils sont totalement kitchs et auréolés. Son grand frère est un petit surdoué de la finance et il dirige le business avec brio. Les deux jeunes comédiens sont surprenants de justesse
Un film plein de tendresse et d’humanité avec une note d’humour déguisé en euro. Après Trainspotting c’est le choc thermique.
Boyle fait du cinéma et le fait bien, quelques fausses notes comme Trance mais on peut pas gagner à chaque fois.
Une belle histoire d’enfants, pleine de poésie et d’imaginaire et de pognon qui s’envole.
Danny Boyle en pleine dénonciation de la vénalité. Si à la lumière de cette première phrase, on pourrait s'attendre à du déjà vu, le ton et l'univers enfantins de "Millions" en font un film à part dans la filmographie de l'anglais. Si visuellement, l'auteur met en place et en images un monde qui a tout de l'irréalité et de la naïveté de l'enfance, ce monde est le théâtre d'un récit trop policé et pas crédible une seconde. Moralisateur et agaçant, Millions n'est donc, c'est certain, pas un indispensable du réalisateur britannique.
Millions est l'un des film les moins connu de la filmographie de Danny Boyle et tout simplement car c'est son plus mauvais film . L'idée de base était intéressant et remplit de potentiel mais elle est gâchée par un coté moralisateur du début a la fin comme quoi il faut aider les pauvres ou encore que garder l'argent pour s'enrichir ou le dépenser c'est pas bien blablabla et le tout avec un coté religieux bien gavant . Il y a aussi un manque cruel de crédibilité , les gosses ont même pas 15 ans et ont des réactions d'adultes ce qui n'est pas cohérent ( genre le gosse veut investir dans l'immobilier ) mais le plus jeune des enfants et véritablement gonflant a ne jamais écouter et faire tout un tas de débilité ... Le film aurait deja été plus crédible avec deux ados et non deux gosses , le coté religieux et ultra moralisateur en moins aurait été une bonne chose aussi . Bref un film pas terrible du tout une déception venant de Danny Boyle .
Danny Boyle est un réalisateur dont j'apprécie assez bien les œuvres. Trainspotting, 28 Jours Plus Tard et Sunshine dont de très bons films, tandis que 127 heures est une réussite un peu décevante. Seul le film La Plage m'avait auparavant déçu et se trouvait dans le bas de mon classement de ce réalisateur. Je n'avais pas encore vu Millions. En effet, Millions est probablement le moins bon film de ce cher Boyle. Ce long-métrage raconte l'histoire de deux enfants qui vivent avec leur père (leur mère étant décédée) et qui un jour tombent sur un sac rempli de billets. Chacun aura alors une vision différente concernant son utilisation. Ce film est d'une naïveté incroyable. Le gamin est une vraie tête à claques, il n'écoute jamais et il a une voix insupportable. Je n'ai pas du tout aimé les scènes avec les saints qui viennent taper causette avec le môme. J'ai trouvé ça très brouillon, mièvre, trop de pathos, ... Si encore ça venait d'un réalisateur qui en était à ses débuts, j'aurais pu comprendre, mais là, Danny Boyle n'a plus rien à prouver, il a déjà réalisé plusieurs bons films et il avait lors de la sortie de ce film une quinzaine d'années de métier. Bref, ce n'était pas un débutant. Enfin, on dira que c'est un accident de parcours, comme ça peut arriver à tout le monde. Vous l'aurez compris, Millions n'est vraiment pas terrible et je ne vous le conseille pas vraiment.