Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Une excellente surprise, version rose et immaculée de Trainspotting, et qui renoue avec la pèche acidulée des débuts du cinéaste. (...) Il faut une belle naïveté, tout le contraire d'une hauteur cynique, pour arriver à un tel équilibre. Et Boyle y parvient avec une remarquable aisance, transformant la fable niaise en objet finalement très racé, tenu de bout en bout par la force de ses personnages. Un beau film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Franz Miceli
La force du film tient également à son style visuel très marqué : le travail des couleurs confère à l'image un rendu irréel, et le mouvement imprimé par la caméra déforme les perspectives. Le récit semble tout droit sorti de notre mémoire et de ces matinées baignées de soleil, où nous jouions enfants. Un plaisir nostalgique à goûter un million de fois.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Chistophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Score
par William Audureau
Millions choisit de se saborder dans le dernier quart d'heure, troquant sa féroce causticité contre un humanisme fâlot (...). Après avoir montré de splendides crocs pendant 1h15, Boyle finit donc son hostie à la paille. C'est fâcheux.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Un assez joli conte pour enfants, entre Dickens et Stevenson.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) Danny Boyle brosse plutôt bien le portrait de cet enfant tiraillé par des notions aussi complexes que la foi, l'utopie et la compassion. Dommage que le style du réalisateur, jadis fulgurant et novateur, paraisse aujourd'hui obsolète. D'autant que les quelques provocations essentiellement anticléricales paraissent quelque peu vaines dans un récit extrêmement policé.
Brazil
par Sam Lowry
Le nouveau Danny Boyle est raté. (...) Son Millions n'arrive pas à maturité, il est coincé entre la comédie sociale (ni très drôle, ni très sociale), le film pour gamin rêveur (ça ne veut pas dire grand-chose, mais le film non plus) et des merdes comme Maman j'ai raté l'avion (la fin, qui s'enlise pas mal).
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Boyle fait le même cinéma depuis 10 ans : machines qui tournent à vide, séquences sans autre programme que leur vitesse. En Angleterre comme en France, chez Boyle comme chez, mettons, Klapisch, cela s'appelle du tuning : peu importe la marque de la voiture, ne comptent que les chevaux, ailerons, sièges en peau et grosses baffles.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Regnier
Un enchaînement de scènes inégales, plus ou moins cocasses, mais qui souffrent d'une apparente précipitation dans la conception et d'un manque de cohérence général.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'art de faiseur de Boyle éclate au grand jour, son sens du pittoresque terrasse, sa science du packshot et son décoratisme accablent. Le scénario, inepte, de conte de Noël gnangnan, est au diapason.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Surprenant virage pour Danny Boyle. Le cinéaste de Petits meurtres entre amis et de Trainspotting s'essaie à un conte plein de bonnes intentions. Une candeur et une naïveté déconcertantes qui ne lui réussissent guère.
Paris Match
par Christine Haas
On se lasse très vite de cette fable à tonalité religieuse, glissant vers la satire sociale, pour déboucher sur une fin moralisatrice. Le vrai cadeau du ciel serait que Danny Boyle retrouve la grâce de ses débuts.
Positif
par Michel Cieutat
(...) un récit criminel bâclé (...). le cinéaste se révèle laborieux, aussi bien dans l'humour que dans l'onirisme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Olivier Pélisson
Danny Boyle filme l'enfance et nous laisse de marbre avec ce portrait sage et poli d'un p'tit Anglais mignon tout plein.
Chronic'art.com
Une excellente surprise, version rose et immaculée de Trainspotting, et qui renoue avec la pèche acidulée des débuts du cinéaste. (...) Il faut une belle naïveté, tout le contraire d'une hauteur cynique, pour arriver à un tel équilibre. Et Boyle y parvient avec une remarquable aisance, transformant la fable niaise en objet finalement très racé, tenu de bout en bout par la force de ses personnages. Un beau film.
MCinéma.com
La force du film tient également à son style visuel très marqué : le travail des couleurs confère à l'image un rendu irréel, et le mouvement imprimé par la caméra déforme les perspectives. Le récit semble tout droit sorti de notre mémoire et de ces matinées baignées de soleil, où nous jouions enfants. Un plaisir nostalgique à goûter un million de fois.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Score
Millions choisit de se saborder dans le dernier quart d'heure, troquant sa féroce causticité contre un humanisme fâlot (...). Après avoir montré de splendides crocs pendant 1h15, Boyle finit donc son hostie à la paille. C'est fâcheux.
TéléCinéObs
Un assez joli conte pour enfants, entre Dickens et Stevenson.
aVoir-aLire.com
(...) Danny Boyle brosse plutôt bien le portrait de cet enfant tiraillé par des notions aussi complexes que la foi, l'utopie et la compassion. Dommage que le style du réalisateur, jadis fulgurant et novateur, paraisse aujourd'hui obsolète. D'autant que les quelques provocations essentiellement anticléricales paraissent quelque peu vaines dans un récit extrêmement policé.
Brazil
Le nouveau Danny Boyle est raté. (...) Son Millions n'arrive pas à maturité, il est coincé entre la comédie sociale (ni très drôle, ni très sociale), le film pour gamin rêveur (ça ne veut pas dire grand-chose, mais le film non plus) et des merdes comme Maman j'ai raté l'avion (la fin, qui s'enlise pas mal).
Cahiers du Cinéma
Boyle fait le même cinéma depuis 10 ans : machines qui tournent à vide, séquences sans autre programme que leur vitesse. En Angleterre comme en France, chez Boyle comme chez, mettons, Klapisch, cela s'appelle du tuning : peu importe la marque de la voiture, ne comptent que les chevaux, ailerons, sièges en peau et grosses baffles.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Un enchaînement de scènes inégales, plus ou moins cocasses, mais qui souffrent d'une apparente précipitation dans la conception et d'un manque de cohérence général.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
L'art de faiseur de Boyle éclate au grand jour, son sens du pittoresque terrasse, sa science du packshot et son décoratisme accablent. Le scénario, inepte, de conte de Noël gnangnan, est au diapason.
Ouest France
Surprenant virage pour Danny Boyle. Le cinéaste de Petits meurtres entre amis et de Trainspotting s'essaie à un conte plein de bonnes intentions. Une candeur et une naïveté déconcertantes qui ne lui réussissent guère.
Paris Match
On se lasse très vite de cette fable à tonalité religieuse, glissant vers la satire sociale, pour déboucher sur une fin moralisatrice. Le vrai cadeau du ciel serait que Danny Boyle retrouve la grâce de ses débuts.
Positif
(...) un récit criminel bâclé (...). le cinéaste se révèle laborieux, aussi bien dans l'humour que dans l'onirisme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Danny Boyle filme l'enfance et nous laisse de marbre avec ce portrait sage et poli d'un p'tit Anglais mignon tout plein.