Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
ce film, reposant comme certaines ouvres d'Abbas Kiarostami, sur une sorte de bluff, est une éclatante démonstration de la capacité des Orientaux, en particulier les Iraniens, à fabuler, à échafauder un univers romanesque à partir de trois fois rien.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce film est une sorte de Lettres Persanes nouvelle manière, où la photo est le filtre grâce auquel l'auteur peut examiner transversalement la réalité du pays sans idée préconçue, avec un regard candide. Une belle exploration.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Annick Peigne-Giuly
"Je ne t'ai pas trouvé, dit Maryam-Sepideh à ce père imaginaire, mais j'ai vu ce que tu voulais que je voie." La phrase clé de ce beau documentaire de transmission.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Mais l'extrême sophistication du dispositif finit par le limiter, empêchant qu'on prenne à coeur la sincérité du lien émotionnel supposé exister entre le personnage de Maryam et son père, son passé, sa ville perdue et retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
A travers cette quête identitaire, Sepideh Farsi fait aussi oeuvre de documentariste - brossant en creux un portrait de l'Iran d'aujourd'hui.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Un docu-fiction sans surprise.
MCinéma.com
par Camille Brun
Mais tout ce qu'on apprendra sur le pays d'Abbas Kiarostami est qu'il y a des réfugiés afghans et que les femmes portent des voiles dans la rue... On est bien loin de la révélation fracassante !
Première
par Christophe Narbonne
Ce concept intéressant du docu-fiction tourne vite court.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot
Sepideh Farsi marche sur les traces de Ten d'Abbas Kiarostami, mais son road-movie, trop fabriqué, révèle peu de chose sur son pays.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
ce film, reposant comme certaines ouvres d'Abbas Kiarostami, sur une sorte de bluff, est une éclatante démonstration de la capacité des Orientaux, en particulier les Iraniens, à fabuler, à échafauder un univers romanesque à partir de trois fois rien.
Les Inrockuptibles
Ce film est une sorte de Lettres Persanes nouvelle manière, où la photo est le filtre grâce auquel l'auteur peut examiner transversalement la réalité du pays sans idée préconçue, avec un regard candide. Une belle exploration.
Libération
"Je ne t'ai pas trouvé, dit Maryam-Sepideh à ce père imaginaire, mais j'ai vu ce que tu voulais que je voie." La phrase clé de ce beau documentaire de transmission.
Le Monde
Mais l'extrême sophistication du dispositif finit par le limiter, empêchant qu'on prenne à coeur la sincérité du lien émotionnel supposé exister entre le personnage de Maryam et son père, son passé, sa ville perdue et retrouvée.
TéléCinéObs
A travers cette quête identitaire, Sepideh Farsi fait aussi oeuvre de documentariste - brossant en creux un portrait de l'Iran d'aujourd'hui.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Un docu-fiction sans surprise.
MCinéma.com
Mais tout ce qu'on apprendra sur le pays d'Abbas Kiarostami est qu'il y a des réfugiés afghans et que les femmes portent des voiles dans la rue... On est bien loin de la révélation fracassante !
Première
Ce concept intéressant du docu-fiction tourne vite court.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Sepideh Farsi marche sur les traces de Ten d'Abbas Kiarostami, mais son road-movie, trop fabriqué, révèle peu de chose sur son pays.