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"Drôles de zèbres".....La seule réalisation de Guy Lux, et l'on comprend vite pourquoi. C'est l'un des films les plus consternants qu'il m'ait été donné de voir, et il est bien douloureux de le regarder jusqu'à la fin. Vous croiserez certes Coluche, Claude François, Annie Cordy ou Michel Leeb, mais aussi, pêle-mêle : un gaulois, un cheval à moustaches de lion et rayures de zèbre, Sim déguisé en "Comtesse de la tronche en biais" puis en fakir puis en Tarzan puis en jockey, des tartes à la crème, des explosions, un émir, un type à tête de cheval, des acteurs qui ont soudain les voix de Titi et Grosminet, Babou le chimpanzé parlant, à nouveau Sim faisant des bonds de 15 mètres, deux faux Hitler, etc etc... Kamoulox ! Tout ce petit monde court, se bat, casse tout, lance des bombes ou s'assomme au marteau dans un joyeux foutoir...Voilà, si cette critique vous a donné envie, n'hésitez pas...
En amateur de nanar, je ne pouvais pas ignorer l'unique film réalisé par Guy Lux sur un scénario de Guy Lux. Pour quelle raison, l'animateur de télévision s'est-il imaginé en cinéaste? C'est un grand mystère, d'autant que son univers burlesque est remarquablement grotesque et confus.
On résumera le sujet à une succession de frasques stupides et de désordres échevelés qui mettent un grand hôtel sans dessus-dessous et, accessoirement, sans doute parce que Guy Lux est un turfiste, qui évoque des expériences en vue de l'amélioration de la race chevaline. En réalité, on perd de vue le fil de l'intrigue -et le réalisateur également; le sens de cette bouffonnerie nous échappe tellement la mise en scène et les comédiens sont en roue libre. Sim, souvent spoiler: travesti en baronne de la Tronche en Biais,
fait un numéro indigne, quoique conforme à son comique naturel et au mode des pires nanars franchouillards de l'époque. Assurément, Guy Lux marche sur les traces d'un Philippe Clair. Personne ne sort indemne de cette pantalonnade, qui ressemble à un canular, à laquelle quelques copains du réalisateur ont osé prêter leur concours.
On résumera le sujet à une succession de frasques stupides et de désordres échevelés qui mettent un grand hôtel sans dessus-dessous et, accessoirement, sans doute parce que Guy Lux est un turfiste, qui évoque des expériences en vue de l'amélioration de la race chevaline. En réalité, on perd de vue le fil de l'intrigue -et le réalisateur également; le sens de cette bouffonnerie nous échappe tellement la mise en scène et les comédiens sont en roue libre. Sim, souvent spoiler: travesti en baronne de la Tronche en Biais,
fait un numéro indigne, quoique conforme à son comique naturel et au mode des pires nanars franchouillards de l'époque. Assurément, Guy Lux marche sur les traces d'un Philippe Clair. Personne ne sort indemne de cette pantalonnade, qui ressemble à un canular, à laquelle quelques copains du réalisateur ont osé prêter leur concours.
Yetcha
Échec commercial à sa sortie, le seul mérite du film est de voir le seul rôle de Claude François (dans son propre rôle) dans un film qui effectué sa tournée proche du lieu de tournage. Le casting est de très haut vol mais rien n'y fait. Les situations sont absurdes mais ne font pas rire du tout. Les comédiens courent partout, cabotinent avec excès mais si le pitch était plutôt bon, la seule réalisation de Guy Lux est un échec total. Un film à oublier totalement.
Drôle de zèbre sûrement le plus gros navet que le monde est connu ! Ce film est l'addition de scène sans intérêt, mal joué et surtout terriblement ennuyeuse pour une comédie avec soit disant un rythme d’enfer ! Un supplice d'une heure trente ! À fuir ! Seul Coluge avec ces rares apparitions (environ 5 min a l'écran) réussi à nous faire rire puisqu'il reprend l'un de ces sketches. Le réalisateur aurait mieux fait des rester a présenter ces émissions que de nous ennuyer avec ce Nanar !
Le type même du film à préserver comme valeur étalon des films les plus nuls, ridicules et incompréhensibles que l'on puisse avoir à regarder un jour. Le casting est excellent au demeurant mais on se demande ce que tous ces acteurs ont eu en tête pour accepter de jouer dans un tel.... euh, comment dire, une telle chose filmique. Une suite de gags tous plus ratés les uns que les autres, dans une histoire d'une indigence rare mais pas si précieuse que cela, précieuse comme peut l'être l'indigence quoi. Beaucoup de personnages venus jouer les guest-stars, chacun y allant de son petit numéro burlesque à deux sous, mais paraissant y trouver un certain plaisir entre copains dirons-nous. Et dire aussi que j'ai renoncé à faire une critique de "Mon curé chez les nudistes" j'ai eu raison, J'ai trouvé pire.
Les amoureux de Peynet, Charlie Chaplin, Adolf Hitler, un cardinal, un Gaulois, Polichinelle… les voix de Titi et Gros Minet, un singe qui parle sans qu'aucune explication ne nous soit donnée, des chiens qui parlent anglais (idem), des gendarmes qui dansent, des serveurs de restaurant acrobates etc…J'ai fait une (coupe-colle chez Nanarland)...oui c'est un Nanar, mais ici on touche au sublime...c'est indescriptible... Guy Lux aurait dû insister et faire plus de films comme celui-ci. Un divertissement absolu, le roi des nanars...un nanar qu'il faut avoir vu !!!!!!!!!!!!
Un nanar totalement assumé à réserver aux aficionados du genre s'ils en reste. La distribution très hétéroclite est son principal interet: ça va de Sim à Alice Saprich en passant par un excellent Coluche bien au dessus du lot, Michel Leeb, Annie Cordy...
Ça part et ça fuse dans tous les sens si bien que le scénario n'a plus guère d'importance, on assiste à une succession de gags et de cabotinages ras des pâquerettes et bien courageux celui qui tente de supporter tout ça jusqu'à la fin!
Ça part et ça fuse dans tous les sens si bien que le scénario n'a plus guère d'importance, on assiste à une succession de gags et de cabotinages ras des pâquerettes et bien courageux celui qui tente de supporter tout ça jusqu'à la fin!
On connait tous Guy Lux pour sa contribution au domaine télévisuel, en revanche on ne connait que trop peu sa contribution pour le cinéma. Et ouais les mecs, Monsieur Guy Lux a fait un film dans les années 70 et le plus beau dans tout ça c'est qu'il en est le réalisateur. Enfin, j'exagère un peu. J'exagère parce que ce qu'a fait Lux est tout sauf un film. Pour aller plus loin, on pourrait même parler de véritable immondice cinématographique. C'était ça les années 70, la création explosait, on pouvait se permettre tout et n'importe quoi, sauf que trois fois sur quatre, en ce qui concernait les comédies, et ben c'était carrément de la saleté. C'est ça « Drôles de zèbres », de la saleté, en boite même, le genre de trucs qui a le don de te fâcher avec le cinéma en te disant, mais c'est vrai quoi, pourquoi est-ce que on laisse faire des trucs pareils ? Qui ça bien intéresser ce genre d'horreurs ? Ce serait marrant passe encore, tu te dirais que c'est nul, mais que c'est divertissant. Sauf que là non, c'est pas drôle pour un kopeck et du coup c'est pas divertissant du tout. C'est juste de l'horreur et de l'ennui épouvantable de la première à la dernière seconde. Un truc que Clair ou Pécas n'auraient sans doute pas renié. Monsieur Lux, pourquoi ? Pourquoi avoir fait ça ? Contre qui aviez vous une dent ?
Premier et unique long-mètrage de Guy Lux! Autant dire une catastrophe à tous les niveaux! Ces "Drôles de zèbres" permettent à Sim et Alice Sapritch un festival de grand n'importe quoi qui se rèsume le plus souvent à plusieurs tics de cabotins! Les voix interchangeables en Titi et Grosminet, la scène torride du massage (« Attention à la cellulite...C'est du muscle ! ») ou l'injection d'un sèrum qui permet à Sim de jouer les Tarzan en se balançant d'immeuble en immeuble donnent une vague idèe du niveau de l'interprètation! il faut voir Sim remporter la course finale à l'hippodrome pour comprendre la chose! Cette nullitè pour nigauds ne prèsente aucun intèrêt si ce n'est de voir Claude François chanter dans une soirèe de gala quelques tubes ou Katia Tchenko dans le plus simple appareil ! il est difficile d'aller plus loin dans la connerie, mais ce genre dans les 70's semblait bien ne pas connaître de limites (voir les films de Philippe Clair). Même Coluche n'est pas bon en chef cuisinier qui mange ce qu'il prèpare! il est vrai qu'il est utilisè avec une absence d'invention! Tout comme la mise en scène de Guy Lux...
Caine78
Le seul avantage avec les films nullissimes, c'est qu'ils permettent de relativiser tous les titres médiocres que vous avez pu voir auparavant. Il est peu dire que « Drôles de zèbres » en fait partie, le désastre et la honte imprégnant quasiment chaque plan. Guy Lux, star de la télévision de l'époque, s'est mis en tête de réaliser un film, pas un bon hein, juste un film. Seulement, contrairement à ce qu'il a peut-être pensé, on ne s'improvise pas metteur en scène, et encore moins lorsqu'on a pas la moindre idée de comment fonctionne le cinéma. Je me demande encore comment est-il possible de commettre un tel sacrilège sans le moindre complexe, avec pour seul et unique objectif de « faire un film ». Techniquement pitoyable et visuellement immonde, « Drôles de zèbres » est absolument navrant de la première à la dernière minute, se complaisant dans le n'importe quoi entre un « scénario » digne d'un enfant de CP et des gags en-dessous de zéro que même vous n'osez pas faire avec vos potes lors d'une soirée bien arrosée. Au milieu de tout ça, quelques copains de l'animateur venus ajouter leur nom au générique sans se donner la peine d'être bons, le but étant surtout d'en faire 1000 fois trop (Patrick Préjean, Sim, Alice Sapritch, Mario David, Patrick Topaloff, entre autres) et d'autres dont la présence n'a strictement aucun rapport avec « l'intrigue », ajoutant à l'ignominie de l'entreprise encore plus d'ennui et de lourdeurs incommensurables (Coluche, Annie Cordy, André Pousse, Raymond Bussières, Michel Leeb, Petula Clark). Et je passerai sous silence cette histoire d'expérimentation scientifique transformant malencontreusement certains chevaux en zèbres, car sinon je vais devenir fou... On dirait que Philippe Clair a voulu réaliser un film avec l'esprit des Marx Brothers, mais sans les Marx Brothers ni le talent du quart de l'ongle du doigt de pied de Groucho, l'esprit absurde dominant l'« oeuvre » s'avérant surtout une souffrance de tous les instants. Que rajouter, si ce n'est que « Drôles de zèbres » est sans doute l'une des pires incarnations de ce que pouvait faire la comédie française dans les années 70 : un scandale, une véritable insulte.
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