Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
I "Heart" Huckabees procède de l'inquiétude existentielle qui nourrissait le cinéma de Woody Allen. Mais David O. Russell lui trouve une expression qui n'appartient qu'à lui, un mélange de grâce et de brutalité, d'absurdité et d'acuité intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Zurban
par Olivier Pélisson
Difficile de résumer cette comédie complètement barge. [...] Radicale, telle est la ligne suivie par David O. Russell dans son quatrième film. [...] Russell répond par des scènes tordantes et enlevées, dont le constat final mène à la relativité. Et le cinéaste de réussir une étonnante fiction sans esbroufe mais avec un sens du burlesque saisissant.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Voir tous ces comédiens enchevêtrés dans des situations cocasses, voire absurdes, c'est purement jubilatoire. Une perle de divertissement spirituel et politique. Laissez-vous tenter par cette comédie, et vous verrez que vous aussi, vous adorerez Huckabees.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ces formes de thérapies non-languagières sont l'occasion de petites bulles narratives, hilmarentes mise en acte de leurs théories fumeuses. [...] Huckabees tire sa vitélité e cette même miberté visuelle ( que les Rois Du Désert) qui rate un coup sur trois, mais à le mérite de sa générosité.
Brazil
par Alex Masson
(...) il ne ressort que Mark Wahlberg, arrivant tardif qui vient aérer cette lourde farce existentielle, aux airs de Punch drunk love 2, en plus agaçant et maniéré que l'était déjà le film de PT Anderson.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Camille Brun
J'adore Huckabees, c'est " un petit four spirituel ". D'ailleurs tout le monde s'amuse (...) Alors, après, c'est selon l'humeur. Bien luné (...). On s'en amuse. Fatigué, c'est perdu d'avance. On ne voit plus que l'immobilité de ses tribulations où les protagonistes se regardent le nombril et s'écoutent parler.
Ouest France
par La rédaction
On aimerait bien, nous aussi, y comprendre quelque chose, dans une fantaisie surréaliste et décalée due au réalisateur des Rois du désert. Dommage, parce qu'il y a Isabelle Huppert, Dustin Hoffman, Jude Law, Naomi Watts et Mark Wahlberg à l'écran.
Score
par V. Mckey
Pendant une bonne heure, difficile de savoir vraiment de quoi il en retourne devant d'interminables jacasseries où l'on philosophe sur le sens caché des coïncidences. La seconde heure a beau lorgner vers les premières comédies de Jerry Lewis et PUNCH DRUNK LOVE, il est trop tard pour avoir envie d'y prendre goût.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Liant satire sociale et thriller métaphysique, le réalisateur des Rois du Désert signe une fable décalée, qui déroute et intrigue autant qu'elle agace. Toujours est-il que de Dustin Hoffman à Jude Law, la troupe déchaînée s'amuse visiblement davantage que le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
La superbe BO mélancolique composée par Jon Brion, les trouvailles de mise en scène et le casting en diamant ne font pas illusion longtemps : le charme bizarre de l'entreprise se dissout au contact d'un scénario abscons qui s'apparente à la mise en immage d'un cours d'initiation à la philosophie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
J'adore Huckabees, grosse brique pseudo-philosophique, petit traité souffreteux de la comédie spikejonzienne. Un film détraqué, tout figé au climax surfabriqué aussi navrant que détestable.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Foutoir intello. [...] New age et mercantilisme s'affrontent dans cette farce plutôt ennuyeuse et absconse. L'intellectualisme ne réussit pas au cinéma américain. Chacun ses spécialités...
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Métaphysique bouddhiste et matérialisme sartrien sont censés s'opposer dans cette fumisterie inracontable. [...] Bref, un happening abscons et pas drôle, stylisé kitsch sixties par un prétendiard (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Peron
Les questions pleuvent à longueur de saynètes surjouées d'une lassante excentricité arty. Le casting est surpeuplé (...) mais personne ne sait vraiment dans quoi il joue. Si bien que le film finit par intriguer comme une sorte de documentaire sur l'embarras.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) A défaut d'une mise en scène rigoureuse (...), à défaut de tout sens du rythme, à défaut sans doute d'un sincère sentiment de la vacuité des êtres et des choses, J'adore Huckabees n'offre malheureusement rien de tel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
(...) sans mode d'emploi, ce film (...) est non seulement imbitable, mais il casse la tête. Pourtant, on pouvait s'attendre à du bon : le réalisateur des Rois du désert, le chef op de Lynch, le directeur artistique de Spielberg, le compositeur de P.T. Anderson, une distribution monstrueuse... On tombe de haut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
David O. Russell accouche, après moult rumeurs excitées, d'un film impossible, à la fois boursouflé et sec (...) l'auteur s'est apparemment fourvoyé dès l'écriture dans un délire pseudo-surréaliste [...]
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
I "Heart" Huckabees procède de l'inquiétude existentielle qui nourrissait le cinéma de Woody Allen. Mais David O. Russell lui trouve une expression qui n'appartient qu'à lui, un mélange de grâce et de brutalité, d'absurdité et d'acuité intellectuelle.
Zurban
Difficile de résumer cette comédie complètement barge. [...] Radicale, telle est la ligne suivie par David O. Russell dans son quatrième film. [...] Russell répond par des scènes tordantes et enlevées, dont le constat final mène à la relativité. Et le cinéaste de réussir une étonnante fiction sans esbroufe mais avec un sens du burlesque saisissant.
aVoir-aLire.com
Voir tous ces comédiens enchevêtrés dans des situations cocasses, voire absurdes, c'est purement jubilatoire. Une perle de divertissement spirituel et politique. Laissez-vous tenter par cette comédie, et vous verrez que vous aussi, vous adorerez Huckabees.
Cahiers du Cinéma
Ces formes de thérapies non-languagières sont l'occasion de petites bulles narratives, hilmarentes mise en acte de leurs théories fumeuses. [...] Huckabees tire sa vitélité e cette même miberté visuelle ( que les Rois Du Désert) qui rate un coup sur trois, mais à le mérite de sa générosité.
Brazil
(...) il ne ressort que Mark Wahlberg, arrivant tardif qui vient aérer cette lourde farce existentielle, aux airs de Punch drunk love 2, en plus agaçant et maniéré que l'était déjà le film de PT Anderson.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
J'adore Huckabees, c'est " un petit four spirituel ". D'ailleurs tout le monde s'amuse (...) Alors, après, c'est selon l'humeur. Bien luné (...). On s'en amuse. Fatigué, c'est perdu d'avance. On ne voit plus que l'immobilité de ses tribulations où les protagonistes se regardent le nombril et s'écoutent parler.
Ouest France
On aimerait bien, nous aussi, y comprendre quelque chose, dans une fantaisie surréaliste et décalée due au réalisateur des Rois du désert. Dommage, parce qu'il y a Isabelle Huppert, Dustin Hoffman, Jude Law, Naomi Watts et Mark Wahlberg à l'écran.
Score
Pendant une bonne heure, difficile de savoir vraiment de quoi il en retourne devant d'interminables jacasseries où l'on philosophe sur le sens caché des coïncidences. La seconde heure a beau lorgner vers les premières comédies de Jerry Lewis et PUNCH DRUNK LOVE, il est trop tard pour avoir envie d'y prendre goût.
Télé 7 Jours
Liant satire sociale et thriller métaphysique, le réalisateur des Rois du Désert signe une fable décalée, qui déroute et intrigue autant qu'elle agace. Toujours est-il que de Dustin Hoffman à Jude Law, la troupe déchaînée s'amuse visiblement davantage que le spectateur.
TéléCinéObs
La superbe BO mélancolique composée par Jon Brion, les trouvailles de mise en scène et le casting en diamant ne font pas illusion longtemps : le charme bizarre de l'entreprise se dissout au contact d'un scénario abscons qui s'apparente à la mise en immage d'un cours d'initiation à la philosophie.
Chronic'art.com
J'adore Huckabees, grosse brique pseudo-philosophique, petit traité souffreteux de la comédie spikejonzienne. Un film détraqué, tout figé au climax surfabriqué aussi navrant que détestable.
L'Humanité
Foutoir intello. [...] New age et mercantilisme s'affrontent dans cette farce plutôt ennuyeuse et absconse. L'intellectualisme ne réussit pas au cinéma américain. Chacun ses spécialités...
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Métaphysique bouddhiste et matérialisme sartrien sont censés s'opposer dans cette fumisterie inracontable. [...] Bref, un happening abscons et pas drôle, stylisé kitsch sixties par un prétendiard (...).
Libération
Les questions pleuvent à longueur de saynètes surjouées d'une lassante excentricité arty. Le casting est surpeuplé (...) mais personne ne sait vraiment dans quoi il joue. Si bien que le film finit par intriguer comme une sorte de documentaire sur l'embarras.
Positif
(...) A défaut d'une mise en scène rigoureuse (...), à défaut de tout sens du rythme, à défaut sans doute d'un sincère sentiment de la vacuité des êtres et des choses, J'adore Huckabees n'offre malheureusement rien de tel.
Première
(...) sans mode d'emploi, ce film (...) est non seulement imbitable, mais il casse la tête. Pourtant, on pouvait s'attendre à du bon : le réalisateur des Rois du désert, le chef op de Lynch, le directeur artistique de Spielberg, le compositeur de P.T. Anderson, une distribution monstrueuse... On tombe de haut.
Télérama
David O. Russell accouche, après moult rumeurs excitées, d'un film impossible, à la fois boursouflé et sec (...) l'auteur s'est apparemment fourvoyé dès l'écriture dans un délire pseudo-surréaliste [...]