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    La Prisonnière du désert
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    4,0
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    192 critiques spectateurs

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    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    34 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 juillet 2008
    Personnages anodins, script inégal, réalisation sans génie : il n'y a pas grand chose à retenir de ce western qui n'atteint aucunement la force épique à laquelle il aspirait. N.Wood, la bande-sonore sauvent l'honneur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juillet 2008
    Le duo John Ford - John Wayne au sommet. C'est probablement leur meilleur film et un des plus beaux. Pourtant attendez-vous à une histoire des plus simplistes : les gentils cow-boys guidés par le ni méchant ni gentil John Wayne mais plutôt solitaire et taciturne sont à la poursuite des méchants indiens (ici les fameux Comanches), c'est aussi simple que ça. Pourtant le film est passionnant, c'est la magie du western.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 mars 2008
    Un grand classique du western.Des sentiments familiaux, des enfants, un chien, la base du film américain.Mais il y a le reste, une magnifique photo, de supers décors naturels, désert, neige, bisons, indiens. Un grand film d'aventures qui n'a pas vieilli.
    Tedy
    Tedy

    256 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mars 2008
    Un film long, ennuyeux et raciste.
    NeoLain
    NeoLain

    5 058 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    Parmi les multiples et légendaires collaborations entre John Ford et John Wayne, La prisonnière du désert est sans doute un des plus beaux moments de western que le cinéma américains nous ait donné. Peut-être son charme vient-il de son côté atypique : délaissait pour une fois la figure positive qu’il arbore d’habitude, John Wayne incarne ici un personnage odieux, raciste et entêté. Si ça surprend au début ("Mais pourquoi tant de haine ?" est on amené à se demander), on se rend compte finalement que sa nature fait partie intégrante d’une opposition sans concession avec un autre personnage tout aussi haïssable qu’est celui de l’indien Scar. Les magnifiques décors de la Monument Valley sont ici de rigueur (même si elle est pas dans le Texas mais bon c’est du cinéma), on retiendra un très beau travail sur la lumière dans un Technicolor qui peut paraître vieillot à l’heure du numérique mais qui garde tout son charme. Niveau acteurs, John Wayne y a pas à dire c’est quand même la classe intégrale. Tout de suite il en impose avec sa carrure et son allure (mais si niveau fringue quelquefois faut bien avouer que c’est limite). Son rôle est intéressant car difficile à cerner : taciturne mais déterminé, on se demande parfois quelles sont ses réelles motivations, quelle faille se cache derrière ce grand bonhomme. A ses côtés Natalie Wood est toute mignonne mais on la voit pas beaucoup. C’est un western sombre et âpre qui nous est conté, même s’il est saupoudré d’un humour irrésistible, notamment lors des scènes avec le personnage de Moïse. La mise en scène est presque parfaite, pratiquement tous les plans sont bluffants de maîtrise et d‘élégance. Pour preuve les scènes parallèles de début et de fin de film, où la caméra se déplace tout d’abord vers la lumière de l’intérieur du foyer à l’extérieur pour accueillir John Wayne dans le champ visuel puis inversement à la fin quand la porte se referme, abandonnant forcément notre héros à ses pérégrinations solitaires.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2014
    Monument du cinèma amèricain à lui tout seul, John Ford signe avec "The Searchers" un chef d'oeuvre important du western èlevè aujourd'hui au niveau du mythe! Visuellement, c'est du grand art et on n'a plus revu ça par la suite dans le genre! Le tout est illuminè par un Technicolor à se pâmer et par une saisissante diversitè de paysages dont le coeur du film est Monument Valley! L'ouverture est sublime et nous met dèjà dans le feu de l'action avec un paysage plus imposant que jamais! John Wayne trouve en Ethan Edwards l'un de ses grands rôles où se dègage force, individualisme, autosuffisance, charisme et autoritè! Mais une part de son passè demeure dans l'ombre ce qui rend son personnage particulièrement ambigu! A ses côtès, Jeffrey Hunter est inoubliable en jeune mètisse et il est impossible de rèsister à ses yeux bleus! Côtè fèminin, Vera Miles nous réserve quelques passages amusants et Nathalie Wood, qui sortait de "Rebel Without a Cause", incarne une squaw enlevèe par une bande de Comanches dont la beautè, la jeunesse et l'extraordinaire prèsence continuent à faire rêver le spectateur après plus d'un demi-siècle! Et comment ne pas frisonner de plaisir devant cette porte qui se referme sur Monument Valley avec un Ethan Edwards / John Wayne repartant seul vers de nouvelles aventures ? Lègendaire à plus d'un titre, "The Searchers" n'a pas pris une ride! Et c'est tant mieux, car c'est juste l'un des plus beaux films de toute l'histoire du cinèma, un sommet du western, une date...
    Spiriel
    Spiriel

    39 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2008
    Une attaque d'indiens, une famille décimée, et deux membres de cette famille qui décident d'aller sauver une des filles, enlevée. On pense avoir affaire à une histoire de vengeance, avec les bons poursuivants les mauvais, mais immédiatement l'ambiguité et toute la nuance du film apparaissent. Les deux poursuivants sont forts différents, dans leur façon de penser et leurs motivations. Le jeune, plein de bonne volonté mais insouciant, souhaite juste sauver sa cousine. Il refusera de quitter cette chasse pour une femme pourtant on ne peut plus charmante (les deux séquences sur ce couple sont absolument géniales, et très drôles). Le vieux Wayne, raciste convaincu, veut appliquer froidement la loi du talion et ne cache pas qu'il pense tuer la jeune fille une fois retrouvée, souillée par la culture indienne. Car on déchante très vite, dans un réalisme inhabituel dans le western, dans cette poursuite. Le Grand ouest est immense, il est très difficile de retrouver les traces de cette tribu commanche. La poursuite dure des années et la jeune fille vieillit dans la tribu indienne. Pendant ces années, les deux poursuivants tissent une relation forte et découvrent la culture indienne et le monde qui évolue, remettant ainsi en question leurs certitudes... Les retrouvailles mettent en lumière la grande complexité des personnages, et le final, qui semble être naïf, est surtout pertinent, et ô combien d'actualité, la jeune femme de retour chez les blancs s'y trouvant moins bien considérée (malgré le statut des femmes chez les indiens, peu flatteur), sujette au mépris et à l'intolérance, et provoquant ainsi le dégoût de Wayne devant une réaction aussi puérile.
    Le film est magnifique, très fort et intelligent, et est également une source de grand plaisir, à voir et à revoir. Le meilleur western jamais tourné.
    haciol
    haciol

    8 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2008
    Un film dure et beau.Un film très subversif qu'il faut avoir vu.
    girondins59
    girondins59

    41 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2007
    De tout les westerns réalisés par John Ford, "La Prisonnière du désert" restera comme son chef d'oeuvre ultime qui non seulement est très représentatif de sa carrière mais fait aussi partie des incontournables du cinéma américain. Fresque épique à travers un Ouest américain mélancolique et sublime, le film de Ford est un western, un vrai et si l'on ne devait en retenir qu'un, ce serait celui-là. Alternant les moments de pures tragédies et d'autres beaucoup plus légers, le film rassemble tout les clichés du Far-West pour livrer une oeuvre ultime et inégalable. Parcourant tout le Sud-Ouest des Etats-Unis à la recherche de sa nièce, John Waybe incarne un cow-boy froid et lucide, ressemblant plus à un personnage leonien qu'à un cow-boy brave et courageux. Ford livre au final une image assez peu reluisante de l'Ouest. La vie est difficile, le racisme est omniprésent et les héros n'existent pas. La quête que suit Ethan (John Wayne), n'est en fait qu'un combat contre lui-même, contre ses préjugés et contre sa nature. Ce combat, il le gagnera dans un final certes assez naïf mais terminant cette oeuvre en beauté. Un film légendaire où chaque second rôle est fouillé et où l'aventure, la vengeance, la haine et l'amour ne font qu'un.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    242 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2007
    Le western américain a la faculté d’offrir au cinéma l’équivalent de l’épopée littéraire. Genre de prédilection de John Ford, le western prend tantôt une allure mineure («Wagon Master» (USA, 1950)) tantôt une grandeur épique («Stagecoach» (USA, 1939)). «The Searchers» (USA, 1956), œuvre pilier dans le cinéma fordien, est l’apogée de l’aventure romanesque. La quête du Paradis perdu, thème essentiel de John Ford, se décline là sous la forme d’une poursuite incessante. Ethan Edwards (John Wayne), ancien combattant de la guerre de Sécession, voit la famille de son frère massacrée par un groupe d’indien rebelle. La partialité cathartique du film expose davantage les indiens comme une horde sauvage que comme une tribu révoltée. Seules les deux nièces d’Ethan survivent. D’une longue recherche sous la tutelle d’une chasse raciale, Ford réalise une œuvre aussi belle qu’elle est fougueuse. La technique engagée sur le tournage, en l’occurrence le VistaVision, n’y est pas indifférente. Large étendue des plaines, chaleur pudique des couleurs, c’est un délice léché qui caractérise les images. Le charme est d’autant plus exquis qu’il érige la poursuite en un fabuleux récit. Oserions-nous imaginer que «L’Odyssée» d’Homére eût été conté en prose ? Il repose là du même ressort. L’élégance des images de Ford n’a d’égal que la beauté du récit. «The Searchers» est à tort blâmé pour son racisme. Certes, la haine du personnage de Wayne meut la poursuite, mais elle est in fine cicatrisée par une réminiscence magnifique. Quand Ethan Edwards soulève sa nièce devenue femme, c’est l’écho du même geste tendre de l’introduction. C’est sur cette incroyable prépotence de la famille, la capacité que Ford a de nous lier à la famille d’Ethan que repose l’affect du film. Grande épopée chevaleresque, «The Searchers», sans conteste un des plus beaux films de Ford, fournit la base de la violence du cinéma américain contemporain mais aussi élève le western au rang de genre épique suprême.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juillet 2008
    La Prisonnière Du Désert est un grand western à l’ancienne comme on les aime. Dans les contrées arides voire neigeuse de Monument Valley, on trouve un certain plaisir à voir évoluer John Wayne assisté de Jeffrey Hunter rechercher par tous les moyens sa nièce enlevée par les méchants indiens dans son enfance. Durant ce périple, John Wayne et son acolyte sont confrontés à des situations tantôt pathétiques tantôt comique (on se surprend à se fendre la poire) jusqu’à ce qu’il la retrouve chez un chef indien où une charge héroïque la délivrera et où ce bon vieux John décidera de ne plus la tuer et où un magnifique plan final accentue la solitude du héros et son goût pour les causes perdues. Mais sous ce scénario simple se révèle une intrigue beaucoup plus complexe qu’elle n’y parait. En effet, le film évoque la famille, les différentes cultures et des éléments tel un curieux parallélisme entre John Wayne et son ennemi donne une profondeur beaucoup plus grande à la dimension du film, voila pourquoi va falloir que je le revois sous cet angle pour mieux en apprécier l’essence. Mais pour le moment j’y voit un western classique à la sauce John Ford qui se laisse regarder avec bonheur mais qui à vieillit quelque peu.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    766 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2007
    Après la guerre de Sécession, Ethan revient au ranch familial. Après un raid comanche, il décide de retrouver sa jeune nièce, kidnapée par les Indiens... Il y a des films que l'on regarde toujours avec un immense plaisir et " The Searchers " en fait évidemment partie. L'histoire est magistrale, mais ce que l'on retient surtout c'est la mise en scène parfaite d'un John Ford en totale alchimie avec son sujet. Le réalisateur nous propose des séquences fabuleuses, notamment en ce qui concerne la bataille finale avec les indiens qui se terminera comme un vrai massacre, ou encore le fameux plan dans la tente du chef comanche où l'on aperçoit pour la première fois Natalie Wood. Au niveau du casting, on retrouve un John Wayne absolument parfait dans le rôle d'Ethan, un être à la fois solitaire, bien mystérieux, qui possède une haine assez intense concernant les Indiens, et qui verra son opposition avec Jeffrey Hunter ( qui joue le rôle de son neveu ) être assez violente pendant une bonne partie du récit. Le reste de la distribution est composé d'autres comédiens méga talentueux, à savoir Vera Miles ( bien émouvante dans le rôle de la petite amie de Jeffrey Hunter ) , Natalie Wood ( qui possède un personnage qui apparait finalement très peu dans le film ), Henry Brandon ( mémorable dans le rôle de Scar, le chef comanche ) ou encore Harry Carey Jr, Ken Curtis et Ward Bond, trois acteurs qui sont des habitués de la filmographie du cinéaste. Tout est donc réunis pour passer un inoubliable moment de cinéma, d'autant que la partiton de Max Steiner est d'une grande finesse et que la somptueuse photographie en Technicolor donne un charme incroyable à Monument Valley, qui n'a sans doute jamais été aussi bien filmée au cinéma. Il s'agit donc du chef d'oeuvre absolu de John Ford et que je me lassera jamais de revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2007
    Tourné dans les décors naturels de Monument Valley, sur une histoire simple (la recherche d'une jeune femme pendant plusieurs années), John Ford signe son premier film pessimiste centré autour d'un personnage solitaire et ambigu, admirablement interprété par John Wayne (acteur dont je ne suis pas fan du tout). A noter la splendide scène d'ouverture du film. L'Indispensable de l'oeuvre fordienne et l'un des plus films de tous les temps.
    JOHN FORD IS GREAT.
    petithom
    petithom

    10 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juillet 2007
    Décors sublimes.Wayne jouant un personnage plus qu'ambigu(on ne sait vraiment pas comment il peut réagir).Magnifique.Du très grand cinéma.
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    49 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2007
    Attention chef-d'oeuvre ! Tout dans ce film est dans la nuance. Il n'y a ni bons ni méchants, justes des être humains dont certains sont aveuglés par une vengeance incensée et tout sauf nécessaire. Les interprètes principaux sont fabuleux et la mise en scène fantastique. A voir absolument sur grand écran, c'est là où le film acquiert une dimension supplémentaire. A voir absolument quand on aime le cinéma.
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