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    La Prisonnière du désert
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    4,0
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    192 critiques spectateurs

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    Charlotte28
    Charlotte28

    128 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2020
    Manifestement passée à côté du sous-texte magistral dont parlent certains, je me suis ennuyée devant cette longue quête malgré les magnifiques paysages américains et le charisme inaltérable de John Wayne. Il faut croire que la personnalité des divers protagonistes, le surjeu de certains et l'invraisemblance absolue du retournement de situation (sans parler du premier affrontement entre les sauvages Indiens et les braves cow-boys) m'ont refroidie! Décidément je peine à me plaire devant ces nationalistes louanges surannées à la grandeur américaine et à la solitude magnifique... Le plus beau western demeure pour moi Rio Bravo.
    mistermyster
    mistermyster

    59 abonnés 1 279 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2024
    Dans ce film qui s'apparente au monument, comme dans ces décors où il a été tourné, on voit un John Wayne, qui comme dans la rivière rouge, dix ans plus tôt, montrera un autre aspect de son jeu, plus dur, plus singulier, plus autoritaire, un rôle qui marque dans sa filmographie, on ressent toute cette froideur, tout ce potentiel qu'il pourrait créer, ensuite, dans bien des films il s'est contenté de jouer John Wayne, là au contraire, il incarne Ethan, et cela lui va tellement bien. Personnage ambigu, qui a du endurer bien des conflits, qui s'est endurci durant les guerres, qui a laissé son passé derrière lui et un peu de son humanité aussi.
    Le film est puissant aussi par sa lumière, ses décors naturels, cette quête interminable et qui finira presque là, où elle a commencé.
    John Ford a su capter la noirceur de son personnage, qui veut se venger, faire couler le sang, face à un chef Indien, qui a la même façon de voir les blancs, puisqu'ils ont tués ces deux fils, d'ailleurs, même si ce n'est pas Ethan qui tuera le chef Indien, il lui prendra son scalp, preuve s'il en était besoin, qu'il a perdu le sens de l'honneur, et le peu d'humanité qu'il lui restait.
    Heureusement que John Ford, s'est faire retomber la tension, avec des scènes anodines, mais qui laisse le temps aux spectateurs de respirer, je pense aux scènes avec Vera Miles ou avec Hank Worden, qui interprète un simple d'esprit pas si fou que cela.
    La musique, dès les premières images nous donne le ton et la couleur du film, malgré les grands espaces et les couchers de soleil, le film sera sombre, sans compromis, et John Wayne, en cavalier solitaire, une fois sa quête achevée, repartira seul.
    NeoLain
    NeoLain

    5 058 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    Parmi les multiples et légendaires collaborations entre John Ford et John Wayne, La prisonnière du désert est sans doute un des plus beaux moments de western que le cinéma américains nous ait donné. Peut-être son charme vient-il de son côté atypique : délaissait pour une fois la figure positive qu’il arbore d’habitude, John Wayne incarne ici un personnage odieux, raciste et entêté. Si ça surprend au début ("Mais pourquoi tant de haine ?" est on amené à se demander), on se rend compte finalement que sa nature fait partie intégrante d’une opposition sans concession avec un autre personnage tout aussi haïssable qu’est celui de l’indien Scar. Les magnifiques décors de la Monument Valley sont ici de rigueur (même si elle est pas dans le Texas mais bon c’est du cinéma), on retiendra un très beau travail sur la lumière dans un Technicolor qui peut paraître vieillot à l’heure du numérique mais qui garde tout son charme. Niveau acteurs, John Wayne y a pas à dire c’est quand même la classe intégrale. Tout de suite il en impose avec sa carrure et son allure (mais si niveau fringue quelquefois faut bien avouer que c’est limite). Son rôle est intéressant car difficile à cerner : taciturne mais déterminé, on se demande parfois quelles sont ses réelles motivations, quelle faille se cache derrière ce grand bonhomme. A ses côtés Natalie Wood est toute mignonne mais on la voit pas beaucoup. C’est un western sombre et âpre qui nous est conté, même s’il est saupoudré d’un humour irrésistible, notamment lors des scènes avec le personnage de Moïse. La mise en scène est presque parfaite, pratiquement tous les plans sont bluffants de maîtrise et d‘élégance. Pour preuve les scènes parallèles de début et de fin de film, où la caméra se déplace tout d’abord vers la lumière de l’intérieur du foyer à l’extérieur pour accueillir John Wayne dans le champ visuel puis inversement à la fin quand la porte se referme, abandonnant forcément notre héros à ses pérégrinations solitaires.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Ce western est une des plus belles réalisation technique et artistique de l'histoire du cinéma. John Ford y montre sa maîtrise totale du cadrage, de la palette des couleurs et du fabuleux format de la VistaVision. Ce procédé sans égal dans le rendu des images géantes qui constellent le film. Il faut aussi garder à l'esprit la fantastique prestation des acteurs, tous sublimes, en particulier le grand cowboy qui nous prouve son talent en développant une composition plus que sombre de son personnage. L'oeuvre fastueuse se commence et se termine sur deux plans composés comme de véritables tableaux de maîtres de la renaissance que je ne me lasse jamais de voir et de revoir. Un cinéma comme plus jamais nous n'en verrons.
    NicoMyers
    NicoMyers

    59 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 novembre 2008
    Western en couleur de John Ford, datant de 1956 et avec John Wayne, La Prisonnière du désert fait partie des chefs d’œuvre de la filmographie de ce grand réalisateur. En 2h00, il nous livre une œuvre épique et poétique, nous faisant passer par le drame comme par la comédie et l’aventure. Ford nous présente comme souvent une situation de départ bouleversée au cours du film puis retrouvée (symboliquement ici) au dénouement : en effet, nous avons au début une famille réunie autour d’un jeune couple, et au final la même chose, bien que les protagonistes ne soient plus les mêmes. Entre les deux, Ethan et Martin sont partis à la recherche de ‘la prisonnière du désert’. Pour insister sur ce retour à la situation initiale, Ford reprend des plans mémorables des premières scènes dans le dénouement, que ce soit John Wayne soulevant Debbie, le point de vue depuis l’intérieur de la maison ou la famille regardant les nouveaux venus depuis la terrasse. Parallèlement, une autre situation subit des changements, celle du personnage d’Ethan joué par John Wayne. Au début du film, il est un cow-boy solitaire décidant de s’intégrer à nouveau dans la communauté, comme le montre symboliquement le contraste entre le désert éblouissant et l’intérieur sombre de la maison. Au plan final, nous le voyons hésiter avant de prendre sa décision, entre partir à nouveau dans le désert ou tenter à nouveau sa chance de mener une vie paisible. Souvent dans le film, Ford réutilise cette symbolique : que ce soit l’intérieur d’une maison ou l’intérieur d’une grotte, ils représentent des refuges chaleureux, par le contraste expressionniste avec les lumières vives du désert.(...)La Prisonnière du Désert bénéficie donc d’un scénario complexe et profond, qui fait qu’à chaque vision le film délivre quelques secrets, quelques détails, mais en plus de cela est brillamment mis en scène, divertissant et prenant. Les paysages de l’Ouest sont majestueux, chaque plan est calculé et magnifique. Un grand film.
    10/10
    bidulle3
    bidulle3

    70 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    Quand deux monstre sacré du cinéma Américain se donne au plus profond d'eux, cela apparaît tel une oeuvre intemporel du septième art.
    Avec "La prisonnière du désert", John Ford réalise un film d'une puissance infinie. Tous commence sur le pallier d'une petite maison en plein Texas, et l'arrivé du mythe John Wayne fait toute son oeuvre. Imposant, gaillard et emblème d'une Amérique forte et fier, il en est leur étendard. Sur fond de vengeance, ce western unique dans emmène au plus profond des dunes et kilomètre de sable, des canyons, des falaises surplombant le sol asséché part un soleil flamboyant ou bien en pleine tempête de neige, recouvrant le part terre de flocon. John Ford, comme à son habitude montre les paysages avec une beauté brut, y plongeant ses acteurs dedans, mais sa capacité à alterné et joué avec les jeux d'ombre, de nous les présenter dans le noir, pendant les soleils couchant atteigne la perfection absolus.
    Vieux de plus de soixante ans, "La prisonnière du désert" garde une qualité d'image, une photographie intact. Porté part une grâce éclatante, c'est dans ses décors qu'on y suit une pourchasse intense, retranscrit sur plusieurs année, montrant ainsi l'acharnement d'un homme solitaire, d'un loup traquant sa proie sans cesse.
    Et si, souvent les indiens était comme bouc émissaire, pointé du doigt, et utilisé comme "méchant", John Ford y montre aussi certains indien plus pacifique, avec qui il échange. Finalement, plus que les indiens, se sont les femmes qui n'y ont pas leur place, souvent placé pour secondé les hommes, servant de transaction, d'être seulement là pour s'occuper des hommes ... Mais ce parallèle est très intéressant quand ont voit cette quête nous amenant jusqu'à la très belle Nathalie Wood. Révélation du film bien qu'encore jeune à l'époque, c'est surtout Vera Miles qui tient le rôle féminin le plus important.
    Loin des westerns spaghetti, John Ford n'y oublie pas de mettre une petite pointe d'humour tout de même, on sourit oui, mais ont est surtout touché part cette histoire, qui en finit attendrissante pour se conclure de la plus belle des façon. La porte se referme, John Wayne repart, seul, dans son désert, comme si aucune gloire ne devait être pour avoir versé du sang.
    La prisonnière du désert fait partie de ses films qui nous marque, grâce à son aura et sa grandeur naturel. Plus qu'un film, en 1956, John Ford nous à signé un grand chef d'oeuvre. Magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Bizarre, je n'ai pas du tout accroché à ce film, moi qui aime en général les westerns qu'ils soient anciens ou plus récents. Je me suis ennuyé du début à la fin, il y a trop de scènes inutiles et de plus l'intrigue est bien trop simple. La prisonnière du désert est le stéréotype du western, entre les cowboys vengeurs et les méchants indiens à plume. Le jeu de John Wayne ne m'a pas du tout plu. Même la bataille finale ne vaut pas le coup d'oeil, peut-être quelques décors enneigés sont réussis. Alors pourquoi 2/5, parce qu'il est tout de même sorti en 1956. Pas terrible.
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Deux heures de western racontant la traque de John Wayne et ses sbires sur la piste d’un sale gang Comanche qui a enlevé et converti sa nièce après avoir tué une partie de sa famille. Les Indiens n’y sont que d’affreux, lâches et stupides assassins sadiques, cruels et peinturlurés qui passent leur vies à scalper, à tuer du bétail, à trucider de braves petites familles et à enlever les jeunes filles pour leur laver le cerveau. Heureusement qu’il y les bons cow-boys, rustres mais braves, irréprochables, virils, à l’humour 15 tonnes, et dont la mise en scène infantile ne parvient pourtant pas à cacher un comportement lourd, machisme, binaire, assassin, raciste, grotesque, à l’intérieur d’un scenario tellement surréaliste qu’on n’a plus qu’à espérer au bout d’un moment qu’il bascule en éclats de rire.
    Hélas, ce long, pénible et caricatural western de 1956, aux infinies facettes de mauvais goût, à l’amateurisme théâtral des acteurs, et à la sensibilité heureusement périmée aujourd’hui, ne devait même pas m’amuser quand j’étais môme.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2018
    La Prisonnière du désert est la porte d’un foyer où se conserve une idéologie brutalement ouverte pour laisser entrer autrui, cet autre que soit tantôt recueilli tantôt revenu du front que le sang définit avant tout : John Wayne se mue en mémoire intransigeante et détestable de ce pouvoir par la pureté du sang, porte toute la tradition conservatrice d’une Amérique plongée dans la terreur quotidienne, terrifiée à l’idée de se salir et de se mêler. Car le film narre un long et puissant métissage existentiel au terme duquel notre protagoniste principal aura effectué un travail sur soi au gré des rencontres et des pertes ; l’enfant adopté deviendra son unique héritier, son fils symbolique par conséquent, la fille enlevée retrouvera une place par l’amour qu’elle suscite dans son cœur. Et ce qu’il y a de fort, de très fort, c’est d’assister au récit d’apprentissage d’un homme à qui on apprend apparemment plus rien, à celui qui commande et a de la bouteille, plongé dans un décor immuable, grandiose autant que gorgé de mort, comme rappel constant de la petitesse des hommes ; seul demeurera le courage d’un être qui a ouvert son cœur et tendu la main, seule restera la légende d’un chercheur – d’où le titre original, The Searchers – qui trouve dans le western son absolu, John Wayne.
    kray
    kray

    53 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2009
    Lorsque l'on sait qu'il s'agit là de l'un des tous meilleurs films de john ford, on peut s'épargner une critique , puisque l'on a tout dit ! Sérieusement , la prisonnière du désert est un classique indémodable, avec un " duke " exemplaire comme toujours avec ford.
    nikolazh
    nikolazh

    63 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2010
    un classique incontournable du Cinéma à voir même si vous n'êtes pas fan de western, juste pour votre culture perso !
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2010
    Le western familial qui ne commence pas forcément de façon très gaie mais qui finit bien. Il ravira aussi bien les amateurs d'histoires d'amour, ceux qui aiment le choc des hormones ou encore les fans de horse-movies. Consensuel donc, mais en revanche loin d'être palpitant. Il n'y a pas à proprement parler d'enquête, les deux héros jouent tantôt du flingue tantôt de la bourse pour suivre les indiens, mais c'est bien trop linéaire. Le dénouement est couru d'avance. Le vrai atout du film est selon moi l'humour, en particulier avec le personnage du révérend. Le passage du mariage est un pur bonheur cinématographique. Le reste par contre, bof.
    thethythy
    thethythy

    22 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    A mon sens, nous sommes loin du meilleur de John Ford. Le décor naturel est certes sompteux et mis en valeur par une réalisation de Ford égale à elle-même. Le défaut principal vient du personnage d'Ethan interprêté tout en bloc par John Wayne. Ce personnage est montré ouvertement raciste tout au long du film sauf brusquement à la fin et ceci sans aucun indice préparatoire et sans changement psychologique apparent. Il est certain que montrer le changement mental d'un personnage est inhabituel chez John Ford, plus enclin à filmer des confrontations d'individus à forts caractères, mais je trouve cela assez maladroit d'un point de de la crédibilité du personnage. Ce défaut est encore renforcé par un scénario qui a tendance à se répéter presque inutilement alors que justement ces répétitions auraient dues au moins apporter les indices d'un changement à venir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 mai 2012
    Un excellent Ford qui essaye d'ouvrir le genre, avec un héros plus anti qu'héroïque !
    La musique est sympathique mais comme l'avait Leone, c'est la musique qui a tué les plus beaux westerns, et je pense qu'elle l'a tué sur celui-ci. Esthetiquement génial, avec de bons acteurs, une intrigue pas assez creusé, avec une musique vieillissante, le film reste très bon.
    Mais en 1965, Les Sept Mercenaires étaient déjà passés dans cette phase d'anti-héros, dans cette phase qui consistait à avoir un véritable western, réaliste, vrai, humain, psychologique et donc du crepuscule du western "classique". Leone allait suivre, comme Peckinpah. Ford aussi allait s'y mettre avec le grand l'Homme qui tua Liberty Valence et la Conquête de l'Ouest.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    Chouette histoire au demeurant qui exploite avec à-propos ce qui est sans doute arrivé réellement plus d'une fois : une Blanche enlevée et élevée par une tribu d'Amérindiens... Alors quand ce vieux facho de John Wayne décide de se mettre sur l'affaire, on se dit que ça va voler très bas.

    Pensez donc, son personnage est un militaire coincé du derche, le petit doigt sur la couture et aigri, qui plus est. Il est violent, très autoritaire, paternaliste et même raciste envers les "peaux-rouges" à ce qu'il paraît. Le jeune imbécile qui le suit a beau être un crétin, il ne le suit pas jusqu'au bout, pas tout-à-fait en tout cas et c'est là l'un des rares, très rares moments intéressants du film qui abat alors ses justifications pro-raciales et son nettoyage ethnique en filigrane.

    Notons qu'on est pas du tout dans un Little Big Man (excès inverse sans doute) mais tout de même, il s'agit d'un point de vue digne d'intérêt, aussi caricaturalement représenté par le grand John Wayne, le cow-boy de toute une nation. Et puis quoi, la "morale' est sauve, au moins pour les gentils cow-boys.

    Naturellement il faut supporter Monsieur Wayne, non pas Bruce mais John (son grand-père ?) et cela est difficilement supportable. D'un autre côté, on a un petit vent de fraîcheur avec la jolie Natalie Wood mais franchement c'est anecdotique.

    Le pire finalement n'est pas John Wayne peut-être... le pire est John Wayne dans un film de John Ford et là l'ennui compte triple comme au Scrabble : ça se multiplie, ça s'additionne et ça se démultiplie. Le film, t'as juste l'impression qu'ils sont tous des marionnettes avec la clé dans le dos qu'on a oubliée de remonter.

    Et ce film, t'as aussi l'impression qu'il dure deux ans. T'es planté comme un piquet depuis deux ans devant ta télé. "Alors, ils l'ont trouvée la fille ? -je sais pas, je suis coincé dans un dialogue particulièrement assommant. Je veux soortiiiir !!"

    T'as l'impression d'être tombé dans le coma avec John Wayne. Et des canassons qui courent. Qu'est-ce qu'ils courent ces canassons ! Et le soir au coin du feu, on les bouffe en lasagnes.
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