Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Flex07
89 abonnés
1 705 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 19 juillet 2010
Moins bon que le précédent, ce deuxième volet renferme quelques longueurs et des faiblesses de scénario nuisant au bon déroulement des 2h de film. Il clot néanmoins l'histoire grâce à une dernière scène réussie.
Un petit ton en dessous de la premiére partie.Richet insiste surtout sur l'importance et l'empleur que prennent les actes criminels du personnage et sur son influence par rapport aux médias.Cassel est encore une fois très impressionnant !!!!!!
"L'ennemi public n°1" baigne dans la même ambiance que "L'instinct de mort", avec un rythme très (trop ?) rapide où de nombreux personnages surviennent pour disparaître peu après, et un montage rentre-dedans. Cassel s'avère là encore excellent dans son interprétation du célèbre bandit, et parvient à lui donner pas mal de profondeur (mégalomanie, violence...), tandis que Richet retrace bien la France des 70's. En somme, un très honnête divertissement, souffrant peut-être de sa volonté de "tout" vouloir montrer, mais quoiqu'il en soit fort intéressant.
Un 2ème volet légèrement moins maîtrisé que le 1er. La faute à une construction narrative moins réussie et moins riche. Sinon, les acteurs, Vincent Cassel et Ludivine Sagnier en tête, sont parfaits, la mise en scène est toujours bien ciselée, la BO est envivrante et le film est vraiment prenant. Au global, Richet nous livre une oeuvre fort réussie qui va compter dans le cinéma français.
Cette deuxième partie conclue bien l’histoire de Jacques Mesrine toujours réalisé par Jean-François Richet et produit par Thomas Langmann. Le personne prend de l'épaisseur dans cette suite, il devient l'homme aux mille visages et toutes les polices le traque. La mise en scène est toujours aussi efficace. Vincent Cassel est de retour dans le rôle de Mesrine et le reste du casting est impressionnant : Ludivine Sagnier, Mathieu Amalric, Samuel Le Bihan, Gérard Lanvin, Olivier Gourmet, Michel Duchaussoy et Anne Consigny. Avec de très bonnes scènes comme spoiler: les évasions, Mesrine qui va voir son père à l’hôpital, la scène de l’entretien avec le journaliste qui est violente et le final remplie de suspense jusqu’à son exécution par la brigade antigang .
bien mieux que le premier opus , interessant mais la fin notamment m'a laissé de marbre , sa mort ne peut émouvoir à cause de sa vie , c'est peut etre même la critique de ces 2 longs métrages
Même si le film perd légèrement son rythme de départ, il ne méritait pas 2 étoiles. La pression redescent un peu vers le milieu du film, on sent une petite longueur... mais on ne peut lui reprocher que ce léger détail. Ai été un petit peu surprise du rôle de Amalric qui ne lui collait pas vraiment à la peau... Mais ce n'est que mon avis :) Mis à part ça il est excellent, tout comme le premier.
Le premier opus était réussi, le deuxième beaucoup moins. La faute à Richet qui refuse de choisir et préfère tout, absolument tout, raconter. Du coup le film ne s'attarde sur rien alors que certaines scènes font doublons. Richet se veut exhaustif en narrant toutes les péripéties de son personnage, il veut se soucier de lui donner une épaisseur psychologique. Mais à vouloir en 2 heures jouer sur tous les tableaux il rate son film et va jusqu'à déséquilibrer son diptyque. Dommage...
Mesrine, l'ennemi public n°1 est une suite vraiment captivante malgré une histoire légèrement moins intéressante que le premier opus. La mise en scène est toujours aussi emballante et Vincent Cassel encore une fois génial dans son rôle et qui lui vaudra un césar du meilleur acteur amplement mériter. Une excellente biographie en deux parties a ne pas rater.
Brutal. 2° volet de cette saga totalement maitrisé par Jean-Francois RICHET qui nous dévoile la violence du personnage de MESRINE . Cet homme qui pouvait avoir comme tout un chacun sa part d'attendrissement était envahi de contradictions et d'une haine farouche de la société . Sa mort était inéluctable et peut-être la souhaitait-il . Bon moment .