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Si certaines séquences, filmées en Cinémascope, et certains décors sont particulièrement spectaculaires, le scénario, en revanche, manque parfois de clarté pour un très jeune public. Restent les chansons de Phil Collins qui ponctuent l'action de leur bonne humeur.
Epique ou comique, il reste balourd, cet ours des cavernes, entraîné vers le bas par des gags usés et un graphisme qui louche vers le new age sans jamais rompre avec le canon disneyen.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce qui pourrait bien être le chant du cygne du département d'animation traditionnelle de Disney tend à montrer que le problème n'est pas qu'il ne parvient plus à faire des films comme au bon vieux temps, mais qu'il n'arrive pas à innover.
Tout semble convenu et artificiel. Le sentimentalisme dégouline, les rituels de la tribu évoquent une matinée au Châtelet d'antan, les chansons de Phil Collins sont d'un nunuche achevé (...) Même la partie comique est ratée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
Pas de surprise au rendez-vous mais du plaisir. Un plaisir dont il serait dommage de se priver, surtout sur grand écran.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Si certaines séquences, filmées en Cinémascope, et certains décors sont particulièrement spectaculaires, le scénario, en revanche, manque parfois de clarté pour un très jeune public. Restent les chansons de Phil Collins qui ponctuent l'action de leur bonne humeur.
Le Monde
Epique ou comique, il reste balourd, cet ours des cavernes, entraîné vers le bas par des gags usés et un graphisme qui louche vers le new age sans jamais rompre avec le canon disneyen.
Première
Ce qui pourrait bien être le chant du cygne du département d'animation traditionnelle de Disney tend à montrer que le problème n'est pas qu'il ne parvient plus à faire des films comme au bon vieux temps, mais qu'il n'arrive pas à innover.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Frère des ours incarne par sa niaiserie le déclin de l'animation traditionnelle.
Télérama
Tout semble convenu et artificiel. Le sentimentalisme dégouline, les rituels de la tribu évoquent une matinée au Châtelet d'antan, les chansons de Phil Collins sont d'un nunuche achevé (...) Même la partie comique est ratée.