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Quand il est en forme, quand il réussit à faire à peu près ce qu'il veut, Gilliam invente un idée par plan. Minimum. (...) Le spectateur, lui, n'a qu'à jouir du spectacle. (...) C'est un cinéma qui vit, qui ose (...).
Fidèle à l'esprit des contes, Gilliam expose un univers effrayant et onirique qui peut d'un plan à l'autre, vous emerveiller ou vous faire peur (..) Les frères Grimm apparaît alors comme une oeuvre gargouillant d'idées, d'ambiance et de grandes interprétations.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le film est un peu long à démarrer, mais, ensuite, on est propulsé dans une flamboyante fantasmagorie visuelle aux effets spéciaux spectaculaires (la transformation numérique de Monica Bellucci...), sans cesse étonnante et parfois impressionnante.
Le scénario dont il dispose n'est pas un modèle de construction cohérente et charpentée. Il est peuplé de personnages assez peu travaillés (...) Mais le fond lui importe assez peu finalement (...) C'est toujours orchestré avec l'emballante virtuosité d'une mise en scène qui nous embarque, crédules, dans le plus improbable des contes.
Mais, si Gilliam est virtuose, il a l'humour de préserver un côté naïf, "Ray Harryhausen", qui contribue beaucoup au charme du film (...) Film infiniment personnel et souvent séduisant, "les Frères Grimm" retrouve par instants le bonheur de la franche bouffonerie des "Aventures du baron de Münchausen" .
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) L'ex Monthy-Python marie, pour le meilleur et en grande pompe, le frisson du fantastique, l'humour de la farce et le merveilleux du conte de fées. Belles noces !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Au lieu de signer un joli spectacle, Terry Gilliam préfère secouer la féerie et ne pas suivre un chemin tout tracé. Son film s'invente chaotiquement et, surtout, comme on dit, au petit bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le réalisateur ajoute quelques touches d'un humour qui rappelle les grandes heures du Flying Circus. Décors sublimes et effets spéciaux, concourent à ce que la magie fonctionne.
Ni scénario de filiation, ni pauvre emploi du conte à valider le retour contemporain de la croyance. Si Gilliam use comme Burton de la mise an abyme, c'est surtout pour trouver dans les légendes de Grimm un supplément de matérialité.
Malgré cette revue d'effectifs des terreurs enfantines, ces "Frères Grimm" peinent à restituer l'atmosphère féérique de ces histoires. Même si l'inévitable conclusion nous affirme que tous vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, le conte n'y est pas.
Si "Les Frères Grimm" de Gilliam manque de profondeur, ce film n'en demeure pas moins une fort belle collection d'images, bénéficiant des habituels dons d'illustrateur de son réalisateur (...)
Si l'on retrouve l'univers merveilleux de [Terry Gilliam], on apprend peu de choses sur les frères Grimm, et, au bout d'une heure, le spectateur décroche.
Le film, généreux, est un peu lourd à digérer. Il conte l'immersion des célèbres frangins dans leur propre univers chimérique et, à vouloir jouer sur tous les tableaux (farce, épouvante, romance, action, fantasmagorie...), il rate souvent sa cible.
Alors, bien sûr, ce spectacle sans grande personnalité se laisse regarder, mais d'un réalisateur comme Terry Gilliam, on en attend beaucoup, beaucoup plus.
Le cinéaste intègre l'esprit Monty Python à l'univers féerique d'un Tim Burton et bricole une quête épique d'une loufoquerie désordonnée, mais traversée de moments magiques.
Le dernier délire de Gilliam, bordélique et irrésistible. L'illustration est comme d'habitude inégale, avec des effets qui vont du bâclé au stupéfiant (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Pas de doute, Terry Gilliam s'est amusé à parsemer son film de gags et de références absurdes et cartoonesques, mais il est resté dans l'ensemble assez sage, contant une histoire cohérente, une aventure somme toute assez classique de bout en bout. S'il a pu insuffler de son âme dans ce film de commande, il n'a pas pu en faire une oeuvre purement "gilliamesque".
Beau et vide à la fois. (...) Exit donc le scénario. Ne restent plus en conséquence de cause que des effets visuels à couper le souffle, comme seuls les budgets hollywoodiens parviennent à en produire (...).
La croyance, dans son projet, dans la force du cinéma, c'est justement ce qui a manqué à Terry Gilliam pour hisser son film dans les hautes sphères du conte fantastique, aux côtés de Sleepy Hollow (Tim Burton) ou de Dead Man (Jim Jarmusch). Totalement dénué de poésie, Les Frères Grimm fait penser, au contraire, à une éphémère attraction de fête foraine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un conte qui ne vaut que pour la présence de Matt Damon (...) Monica Bellucci est toujours aussi nulle (...) Matt Damon est toujours aussi merveilleux (...) il est difficile pour l'assez creux Heath Ledger de faire contrepoids.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Quand il est en forme, quand il réussit à faire à peu près ce qu'il veut, Gilliam invente un idée par plan. Minimum. (...) Le spectateur, lui, n'a qu'à jouir du spectacle. (...) C'est un cinéma qui vit, qui ose (...).
Score
Fidèle à l'esprit des contes, Gilliam expose un univers effrayant et onirique qui peut d'un plan à l'autre, vous emerveiller ou vous faire peur (..) Les frères Grimm apparaît alors comme une oeuvre gargouillant d'idées, d'ambiance et de grandes interprétations.
TéléCinéObs
"Fantasy" ébourriffante mise en scène par un Terry Gilliam en grande forme. (...) Il signe un film féerique et macabre, au casting impeccable.
Le Figaroscope
Le film est un peu long à démarrer, mais, ensuite, on est propulsé dans une flamboyante fantasmagorie visuelle aux effets spéciaux spectaculaires (la transformation numérique de Monica Bellucci...), sans cesse étonnante et parfois impressionnante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Le scénario dont il dispose n'est pas un modèle de construction cohérente et charpentée. Il est peuplé de personnages assez peu travaillés (...) Mais le fond lui importe assez peu finalement (...) C'est toujours orchestré avec l'emballante virtuosité d'une mise en scène qui nous embarque, crédules, dans le plus improbable des contes.
Positif
Mais, si Gilliam est virtuose, il a l'humour de préserver un côté naïf, "Ray Harryhausen", qui contribue beaucoup au charme du film (...) Film infiniment personnel et souvent séduisant, "les Frères Grimm" retrouve par instants le bonheur de la franche bouffonerie des "Aventures du baron de Münchausen" .
Rolling Stone
C'est peut-être un film de commande (...) mais cette fantaisie baroque (...) va comme un gant au réalisateur de Bandits, bandits.
Télé 7 Jours
(...) L'ex Monthy-Python marie, pour le meilleur et en grande pompe, le frisson du fantastique, l'humour de la farce et le merveilleux du conte de fées. Belles noces !
Télérama
Au lieu de signer un joli spectacle, Terry Gilliam préfère secouer la féerie et ne pas suivre un chemin tout tracé. Son film s'invente chaotiquement et, surtout, comme on dit, au petit bonheur.
Zurban
Le réalisateur ajoute quelques touches d'un humour qui rappelle les grandes heures du Flying Circus. Décors sublimes et effets spéciaux, concourent à ce que la magie fonctionne.
Brazil
En définitive, on n'a affaire qu'à un Gilliam éblouissant (c'est déjà énorme !) mais sans surprise voire régressif.
Cahiers du Cinéma
Ni scénario de filiation, ni pauvre emploi du conte à valider le retour contemporain de la croyance. Si Gilliam use comme Burton de la mise an abyme, c'est surtout pour trouver dans les légendes de Grimm un supplément de matérialité.
Elle
Malgré cette revue d'effectifs des terreurs enfantines, ces "Frères Grimm" peinent à restituer l'atmosphère féérique de ces histoires. Même si l'inévitable conclusion nous affirme que tous vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, le conte n'y est pas.
L'Ecran Fantastique
Si "Les Frères Grimm" de Gilliam manque de profondeur, ce film n'en demeure pas moins une fort belle collection d'images, bénéficiant des habituels dons d'illustrateur de son réalisateur (...)
Le Parisien
Si l'on retrouve l'univers merveilleux de [Terry Gilliam], on apprend peu de choses sur les frères Grimm, et, au bout d'une heure, le spectateur décroche.
Libération
Le film, généreux, est un peu lourd à digérer. Il conte l'immersion des célèbres frangins dans leur propre univers chimérique et, à vouloir jouer sur tous les tableaux (farce, épouvante, romance, action, fantasmagorie...), il rate souvent sa cible.
MCinéma.com
Alors, bien sûr, ce spectacle sans grande personnalité se laisse regarder, mais d'un réalisateur comme Terry Gilliam, on en attend beaucoup, beaucoup plus.
Paris Match
Le cinéaste intègre l'esprit Monty Python à l'univers féerique d'un Tim Burton et bricole une quête épique d'une loufoquerie désordonnée, mais traversée de moments magiques.
Première
Le dernier délire de Gilliam, bordélique et irrésistible. L'illustration est comme d'habitude inégale, avec des effets qui vont du bâclé au stupéfiant (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Pas de doute, Terry Gilliam s'est amusé à parsemer son film de gags et de références absurdes et cartoonesques, mais il est resté dans l'ensemble assez sage, contant une histoire cohérente, une aventure somme toute assez classique de bout en bout. S'il a pu insuffler de son âme dans ce film de commande, il n'a pas pu en faire une oeuvre purement "gilliamesque".
Chronic'art.com
Il y a dans ce Frères Grimm un tel grippage, un tel dessèchement que c'est l'oeuvre entière de l'ex Monty Python qui en prend pour son grade.
L'Humanité
Beau et vide à la fois. (...) Exit donc le scénario. Ne restent plus en conséquence de cause que des effets visuels à couper le souffle, comme seuls les budgets hollywoodiens parviennent à en produire (...).
Le Monde
La croyance, dans son projet, dans la force du cinéma, c'est justement ce qui a manqué à Terry Gilliam pour hisser son film dans les hautes sphères du conte fantastique, aux côtés de Sleepy Hollow (Tim Burton) ou de Dead Man (Jim Jarmusch). Totalement dénué de poésie, Les Frères Grimm fait penser, au contraire, à une éphémère attraction de fête foraine.
Les Inrockuptibles
Un conte qui ne vaut que pour la présence de Matt Damon (...) Monica Bellucci est toujours aussi nulle (...) Matt Damon est toujours aussi merveilleux (...) il est difficile pour l'assez creux Heath Ledger de faire contrepoids.