Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
L'Autre Rive balance entre sagesse et férocité. Mais ce qui ne bouge pas, c'est la transparence poétique de ses personnages. Transparence unifiant la matière hétérogène d'un film hanté par les mythes et les récits primitifs; et qui permet de prendre en charge le dialogue avec un "grand classique" (La Nuit du Chasseur) en l'articulant à un inconscient aussi chargé que dans le plus atteint des David Lynch.
L'Ecran Fantastique
par Yannick Blay
Cette trame évoque immanquablement le chef-d'oeuvre de Charles Laughton. Entre road-movie et thriller poétique, L'Autre rive est pourtant loin d'en être une pâle copie, réussissant le tour de force d'être personnel tout en disposant des mêmes qualités émotionnelles que son illustre aîné. Le résultat est poétique autant que naturaliste, au point d'en devenir parfois quasi-surréaliste.
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Green, non seulement hypnotise son public sans peine, mais se délivre lui-même de toute tentation spectaculaire pour se concentrer sur un processus d'évidement. (...) Puisse la jouissance du gain refléter l'audace du pari.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Mathieu Carratier
Un cinéma exigeant et racé dont la beauté abrupte est devenue une espèce en voie de disparition. (...) Un film qui ne ressemble à aucun autre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Si L'Autre rive n'apporte finalement rien de plus à l'univers déjà exemplairement cohérent du cinéaste, il demeure la promesse d'un talent brut et sans équivalent dans le jeune cinéma indépendant américain.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
David Gordon Green, s'était jusque-là fait remarquer par des films psychologiques à l'européenne. En plongeant dans la violence primitive, biblique, manichéenne de l'Amérique, il montre un savoir-faire de cinéaste d'action et rentre un peu dans le rang.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sur la cartographie des auteurs américains, David Gordon Green se situerait dans une lignée réunissant Laughton, Eastwood ou Terrence Malick (...). Attaché à une forme classique, à une narration simple et fluide, il invente un monde, presque une mythologie, en inscrivant généreusement ses personnages dans leur environnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Christine Haas
La musique inquiétante de Philip Glass, la patte de Terrence Malick, producteur, et un style visuel très fort contribuent à l'efficacité de cette oeuvre vénéneuse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
Si l'émotion a parfois du mal à percer, on admirera tout de même une magnifique photo qui met en évidence la beauté des paysages du Sud des Etats-Unis, des acteurs hors pairs qui se donnent plus ici que dans une suite de Tomb Raider (...), et une musique de Philipp Glass qui colle parfaitement à l'univers.
Score
par Anthony Wong
Un drame aussi poignant que violent. Bien que par moments légèrement languissant, ce film demeure un gros morceau de cinoche indépendant à se mettre sous la dent.
La critique complète est disponible sur le site Score
Libération
par Didier Peron
Green s'empare de cette trame narrative pour s'adonner une nouvelle fois à sa vision léchée et nauséeuse du monde. (...) Green baigne ce récit de vengeance familiale dans un climat visuel huileux au chromatisme rutilant. (...) Enfin, dernière raison d'aimer ce film, l'ado qui joue Chris n'est autre que Jamie Bell qui, à 14 ans, fut l'incroyable Anglais à ressort du chef-d'oeuvre Billy Elliot de Stephen Daldry.
MCinéma.com
par Camille Brun
dans L'AUTRE RIVE, on est chez les " White trash ", ces Américains très pauvres qui ne vivent que d'expédients. Et c'est dans ce décor que David Gordon Green se perd en partie. Il en fait trop, et, malgré la très belle lumière, il n'y a pas un recoin d'image (...) des personnages qui ne soit " joliment " crade. Cette esthétique de la pauvreté dérange déjà pas mal, mais il faut y ajouter tous ces effets d'autant plus lourds qu'ils sont redondants, comme ces nombreux plans arrêtés où la couleur sature soudain, ou ces coups de zoom intempestifs.
Positif
par Pierre Eisenreich
On ne reprochera pas à David Gordon Green d'avoir emprunté le style poétique de son producteur, mais le contenu mériterait d'être amplement nuancé au milieu d'une forme qui accumule les effets non justifiés d'arrêt sur image et de solarisation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur un postulat rappelant celui de "la Nuit du chasseur", le réalisateur de l'excellent "George Washington" s'égare dans des effets de style aussi peu justifiés qu'envahissants. Mais réussit en revanche un portrait de l'adolescence en dérive sensible et juste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Yasmine Youssi
Certes le réalisateur parvient à recréer l'ambiance poisseuse de l'Amérique des petits blancs et Jamie Bell s'en sort très bien dans le rôle du frère aîné. Mais là où Laughton réussissait une oeuvre profonde, Green reste à la surface des choses, offrant finalement au public un film violent et sans grand intérêt.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
par La Rédaction
Pour l'anecdote, on relèvera le nom de Jamie Bell. Pour le reste, c'est un tissu d'invraisemblances dans une course-poursuite interminable et trop prévisible.
Télérama
par Frédéric Strauss
Les acteurs se décarcassent pour que ça fasse vrai, comme font vrais les beaux décors naturels, mais tout reste artificiel. Et les afféteries du metteur en scène (arrêts sur image, ralentis...) ne font que le souligner.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
L'Autre Rive balance entre sagesse et férocité. Mais ce qui ne bouge pas, c'est la transparence poétique de ses personnages. Transparence unifiant la matière hétérogène d'un film hanté par les mythes et les récits primitifs; et qui permet de prendre en charge le dialogue avec un "grand classique" (La Nuit du Chasseur) en l'articulant à un inconscient aussi chargé que dans le plus atteint des David Lynch.
L'Ecran Fantastique
Cette trame évoque immanquablement le chef-d'oeuvre de Charles Laughton. Entre road-movie et thriller poétique, L'Autre rive est pourtant loin d'en être une pâle copie, réussissant le tour de force d'être personnel tout en disposant des mêmes qualités émotionnelles que son illustre aîné. Le résultat est poétique autant que naturaliste, au point d'en devenir parfois quasi-surréaliste.
Les Inrockuptibles
Green, non seulement hypnotise son public sans peine, mais se délivre lui-même de toute tentation spectaculaire pour se concentrer sur un processus d'évidement. (...) Puisse la jouissance du gain refléter l'audace du pari.
Première
Un cinéma exigeant et racé dont la beauté abrupte est devenue une espèce en voie de disparition. (...) Un film qui ne ressemble à aucun autre.
Chronic'art.com
Si L'Autre rive n'apporte finalement rien de plus à l'univers déjà exemplairement cohérent du cinéaste, il demeure la promesse d'un talent brut et sans équivalent dans le jeune cinéma indépendant américain.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
David Gordon Green, s'était jusque-là fait remarquer par des films psychologiques à l'européenne. En plongeant dans la violence primitive, biblique, manichéenne de l'Amérique, il montre un savoir-faire de cinéaste d'action et rentre un peu dans le rang.
Le Monde
Sur la cartographie des auteurs américains, David Gordon Green se situerait dans une lignée réunissant Laughton, Eastwood ou Terrence Malick (...). Attaché à une forme classique, à une narration simple et fluide, il invente un monde, presque une mythologie, en inscrivant généreusement ses personnages dans leur environnement.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Paris Match
La musique inquiétante de Philip Glass, la patte de Terrence Malick, producteur, et un style visuel très fort contribuent à l'efficacité de cette oeuvre vénéneuse.
Rock & Folk
Si l'émotion a parfois du mal à percer, on admirera tout de même une magnifique photo qui met en évidence la beauté des paysages du Sud des Etats-Unis, des acteurs hors pairs qui se donnent plus ici que dans une suite de Tomb Raider (...), et une musique de Philipp Glass qui colle parfaitement à l'univers.
Score
Un drame aussi poignant que violent. Bien que par moments légèrement languissant, ce film demeure un gros morceau de cinoche indépendant à se mettre sous la dent.
Libération
Green s'empare de cette trame narrative pour s'adonner une nouvelle fois à sa vision léchée et nauséeuse du monde. (...) Green baigne ce récit de vengeance familiale dans un climat visuel huileux au chromatisme rutilant. (...) Enfin, dernière raison d'aimer ce film, l'ado qui joue Chris n'est autre que Jamie Bell qui, à 14 ans, fut l'incroyable Anglais à ressort du chef-d'oeuvre Billy Elliot de Stephen Daldry.
MCinéma.com
dans L'AUTRE RIVE, on est chez les " White trash ", ces Américains très pauvres qui ne vivent que d'expédients. Et c'est dans ce décor que David Gordon Green se perd en partie. Il en fait trop, et, malgré la très belle lumière, il n'y a pas un recoin d'image (...) des personnages qui ne soit " joliment " crade. Cette esthétique de la pauvreté dérange déjà pas mal, mais il faut y ajouter tous ces effets d'autant plus lourds qu'ils sont redondants, comme ces nombreux plans arrêtés où la couleur sature soudain, ou ces coups de zoom intempestifs.
Positif
On ne reprochera pas à David Gordon Green d'avoir emprunté le style poétique de son producteur, mais le contenu mériterait d'être amplement nuancé au milieu d'une forme qui accumule les effets non justifiés d'arrêt sur image et de solarisation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sur un postulat rappelant celui de "la Nuit du chasseur", le réalisateur de l'excellent "George Washington" s'égare dans des effets de style aussi peu justifiés qu'envahissants. Mais réussit en revanche un portrait de l'adolescence en dérive sensible et juste.
Zurban
Certes le réalisateur parvient à recréer l'ambiance poisseuse de l'Amérique des petits blancs et Jamie Bell s'en sort très bien dans le rôle du frère aîné. Mais là où Laughton réussissait une oeuvre profonde, Green reste à la surface des choses, offrant finalement au public un film violent et sans grand intérêt.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
Pour l'anecdote, on relèvera le nom de Jamie Bell. Pour le reste, c'est un tissu d'invraisemblances dans une course-poursuite interminable et trop prévisible.
Télérama
Les acteurs se décarcassent pour que ça fasse vrai, comme font vrais les beaux décors naturels, mais tout reste artificiel. Et les afféteries du metteur en scène (arrêts sur image, ralentis...) ne font que le souligner.